Dimanche, 16h45. Quelque part en région parisienne.
Cunégonde s’agite dans son trois pièces cosy. Les mains moites, le front humide, la jeune blogueuse ingurgite son treizième Redbull d’une traite, broie la canette, la jette par-dessus l’épaule.
« Je leur ai promis… » marmonne-t-elle.
« Je leur ai promis ».
Sur son bureau, un Apple fatigué lui renvoie un écran blanc, sur lequel clignote un curseur menaçant.
C’est le moment de s’y remettre.
Craquage de doigts. Inspiration profonde. C’est parti.
…
19h30. Quatre mots plus tard.
Cunégonde ne peut que constater l’ampleur des dégâts : une force surhumaine semble avoir envahi tout son corps, paralysant sa créativité d’ordinaire foisonnante.
Trop faible pour résister, la talentueuse jeune femme se voit contrainte de rendre les armes.
Ses 300 000 abonnés devront se contenter d’un vulgaire « Top de mes articles » pour la newsletter du lundi.
Le cœur meurtri, Cunégonde se jette sur son lit, laissant exploser un torrent de larmes. Elle jure d’abandonner le blogging à tout jamais.
Et vous, le syndrome de la page blanche, vous connaissez ?
Blogueur, rédacteur web, écrivain, je vous donne mes solutions pour en finir avec l’angoisse de ne plus pouvoir écrire.
Syndrome de la page blanche : mythe ou réalité?
Ce qu’en pensent les écrivains célèbres
Le syndrome de la page blanche, ou leucosélophobie, c’est un débat vieux comme le monde.
Existe, n’existe pas. Chacun a son point de vue sur la chose.
Pour la romancière et critique littéraire Toni Morrison, cette peur de l’écrivain doit être respectée. Inutile d’essayer de rédiger quoi que ce soit pendant tout le temps où l’on ressent un blocage.
Selon l’écrivaine américaine Jodi Picoult, le syndrome de la page blanche n’existe tout simplement pas :
« Je ne crois pas au blocage de l’écrivain. Réfléchissez un peu — quand vous deviez rendre un devoir au lycée et que vous ne parveniez pas à écrire le moindre mot. Est-ce que votre blocage ne se résolvait pas la veille de la date limite ? Le syndrome de la page blanche, c’est avoir trop de temps à sa disposition. »
Pour Steven Pressfield, auteur et scénariste américain, l’angoisse de la page blanche agit comme une force surnaturelle sur les écrivains et les artistes. Une force si paralysante qu’elle nous distrait et nous empêche de mener à bien notre projet.
Ce qu’en pense la science
Le cerveau humain compterait 86 milliards de neurones. Tous interconnectés entre eux.
Michael Grybko, neuro-scientifique à l’Université de psychologie de Washington, explique que le phénomène de la page blanche n’est autre que le résultat de cette inter-connectivité :
« L’activité dans une zone du cerveau peut affecter négativement une autre zone. Nos émotions peuvent avoir un impact sur notre productivité et notre apprentissage… Lorsque l’activité dans la région du cerveau responsable du traitement des informations nécessaires pour écrire efficacement est modifiée, le résultat peut être un blocage de l’écrivain. » (Source).
10 techniques à mettre en place pour éradiquer le blocage de l’écrivain
Se connecter à son « pourquoi «
Un conseil fabuleux pour retrouver l’inspiration et se donner un bon coup de pied aux fesses…
Rappelez-vous les raisons pour lesquelles vous écrivez.
C’est ce qu’on appelle la « visualisation ». En gros, vous formez une image mentale de ce que vous voudriez obtenir, devenir… pour :
- augmenter vos capacités physiques et mentales ;
- améliorer une situation ;
- atteindre un but, etc.
Les sportifs de haut niveau utilisent la visualisation. Les entrepreneurs à succès utilisent la visualisation. Je l’utilise moi-même quand je suis confrontée au syndrome de la page blanche.
Dans son livre Emotional Agility, Susan David décrit comment nous atteignons plus facilement nos objectifs quand on se rappelle souvent pourquoi on VEUT les atteindre. C’est valable pour la perte de poids, l’exercice physique mais aussi pour l’écriture.
Quand on oublie pourquoi on écrit, l’écriture devient une tâche. Non plus un plaisir.
Petite anecdote : j’ai crée un « vision board » sur le bureau de mon ordinateur. Quand la procrastination m’envahit, un simple clic, et je me reconnecte à mon « pourquoi » 🙂
Voici un tuto sympa trouvé sur le net pour créer un vision board facilement sur Canva :
Et vous, pourquoi écrivez-vous ?
Vaincre le syndrome de la page blanche : se transformer en machine à idées
Pour surmonter ce fichu syndrome de la page blanche, il vous faut des idées. Le manque d’inspiration vient d’ailleurs du fait que vous n’avez pas de liste d’articles de blog sous la main.
Et ça, permettez-moi de vous le dire : ce n’est pas bien !
Heureusement, je vous ai préparé une méga liste de 70 idées d’articles de blog rien que pour vous. Cliquez ici pour la télécharger :
Alors, c’est bien beau tout ça, mais existe-t-il d’autres moyens de transformer notre cerveau ramolli en générateur d’idées bouillonnant ?
Oui, chers amis.
Ouvrez grand vos mirettes.
Faire autre chose
Difficile d’y voir clair quand on a le nez collé à son ordinateur 3-4 heures d’affilée.
Robert Greene, auteur américain, l’explique d’ailleurs très bien dans son bestseller « Mastery ». Il y analyse la vie de grandes figures historiques comme Darwin, Henri Ford, Mozart, Freddie Roach… et essaie de comprendre les facteurs communs qui ont conduit à leur réussite.
Voici ce qu’il dit :
« Le cerveau est constamment à la recherche de similitudes, de différences et de relations entre ses pensées et ses expériences. Votre tâche est de nourrir cette tendance naturelle… Et l’un des meilleurs moyens d’y parvenir consiste à lâcher prise sur votre problématique actuelle…
Lorsque nous sommes absorbés par un projet particulier (la rédaction d’un article, d’un livre, d’un guide), notre attention tend à devenir de plus en plus étroite à mesure que nous nous concentrons…
Lorsque nous sommes plus détendus, notre attention s’élargit naturellement et nous recevons davantage de stimuli. La plupart des découvertes scientifiques… se produisent lorsque le penseur ne se concentre pas directement sur le problème. »
Conclusion :
- ne vous forcez pas ;
- allez nourrir votre esprit de stimuli extérieurs ;
- ayez toujours de quoi noter (les idées, c’est aussi fugace qu’un rayon de soleil en plein mois de janvier).
Demander à ses lecteurs
Qui mieux que votre audience pour parler des problèmes qu’elle rencontre ?
Pour obtenir de nouvelles idées et être certain de viser dans le mille, adressez-vous directement à vos lecteurs et/ou vos abonnés. Les formulaires Google Forms sont top pour ça.
Demandez-leur :
- ce qui les touche ;
- ce qui les frustre ;
- de quoi ils rêvent ;
- comment ils se voient dans 10 ans, etc.
Génial, mais que faire avec toutes ces infos ?
Patience, patience. Voici mon plan :
- Dans un premier temps, analysez les données récoltées.
- Dans un second temps, regroupez-les par thème, puis par sous-thème (qui correspondront à des angles différents).
- Mettez en forme vos idées sous forme de Mindmap.
- Enfin, voyez ce que vous pouvez générer comme mots clés pertinents.
Tadam.
Vous avez la liste de vos 20, 30, 50 prochains articles.
Mais non, ne me remerciez pas…
Respecter un processus de rédaction pour combattre la procrastination
Bloguer vous paraît une tâche insurmontable, vous aussi ?
Quand j’ai commencé ce blog, je voyais chaque article comme un projet énnnOOOORRRRMMMMEEEE. Plus le sujet était complexe, plus je procrastinais. Alors je m’y mettais le samedi matin et passais mon weekend dessus.
Exit enfants, mari, amis. Ma vie, c’était mon blog.
Mais tout a changé quand j’ai trouvé THE recette pour créer du bon contenu sans finir sur les rotules à la fin du week-end.
En gros, l’idée, c’est qu’écrire un article de blog comporte plusieurs phases :
- trouver l’idée ;
- définir ses mots clés ;
- construire un plan ;
- rédiger ;
- éditer.
En étalant le processus sur plusieurs jours, vous ne publierez plus jamais de contenu à la sueur de votre front. Mieux : vous aurez plus de temps pour produire des articles de blog parfaits.
Vous voulez connaître mon programme perso ?
- Jour 1 : SEO + construction de la structure détaillée ;
- Jour 2 : rédaction des parties ;
- Jour 3 : relecture, édition, maillage interne et externe ;
- Jour 4 : visuels, relecture ;
- Jour 5 : publication et promotion.
Top, non ?
Et si vous vous demandez comment rédiger des articles optimisés, je vous accompagne lors d’un coaching privé. Cliquez pour en savoir plus.
Oublier la perfection et l’originalité
Le syndrome de la page blanche est lié à une peur irascible de ne pas être à la hauteur. Conséquence : plus vous voudrez être le meilleur, plus vous vous mettrez la pression.
C’est génial d’apporter de nouvelles idées. Mais à moins que vous n’ayez l’âme d’un inventeur, difficile d’innover chaque semaine.
Oui, vous allez publier le 150ème article sur « Comment éviter les bouffées de chaleur à la ménopause ? ». Et alors, vous surpasserez les 149 autres.
L’article en première position sur Google liste 6 astuces ?
Vous en donnerez 10.
Il fait à peine 1 500 mots et survole la question ?
Sortez de vos tripes un guide atomique de 4 000 mots avec des chiffres, des compte-rendus scientifiques, des astuces de grand-mère, des témoignages, etc.
Vous avez compris le truc ?
Les internautes ne recherchent pas de l’originalité à tout prix, mais de la qualité. Gardez cela en tête pour ne plus vous mettre une pression de dingue.
Passons à la technique suivante.
Attention, c’est de la bombe.
Dicter son contenu pour dire stop au syndrome de la page blanche
Quand on doit rédiger un article de blog ou un mail, que fait-on ?
On s’assoit, on ouvre notre ordinateur et on se met à écrire comme notre prof de Français de 4ème :
« Très chers abonnés, c’est avec une joie non dissimulée que je vous retrouve aujourd’hui. Le sujet du jour sera…. »
Stop.
Inutile de continuer. Votre lecteur dort déjà.
Pour engager votre audience, écrivez comme si vous parliez. Ce style de rédaction transpire la sincérité. Il fait de vous une personne vraie, une personne cool. Une personne qu’on aime retrouver chaque semaine pour partager un moment sympa autour d’un bon café.
Vos mails, par exemple : personnalisez-les avec le prénom de la personne qui vous lit. Demandez comment elle va. Racontez des anecdotes sur votre vie privée. Posez des questions et demandez lui de répondre.
Pour vos articles, ce que je vous conseille de faire, c’est d’abord de vous enregistrer à l’oral, sur votre téléphone par exemple. « Parlez » votre article. Puis, transcrivez ces mots à l’écrit. Ce premier jet sera une base solide pour écrire un article de blog vivant et punchy.
Se mettre dans de bonnes conditions
Certaines personnes ont besoin de rituels pour dire à leur cerveau : « Bon, là Coco, c’est le moment de se mettre au boulot ! ».
Il y en a qui s’isolent dans une pièce de la maison. D’autres qui se préparent un breuvage réconfortant avant de s’installer à leur bureau. Je connais une collègue qui a besoin de musique pour pouvoir écrire.
La majorité d’entre nous devra se couper de toute source de distractions (notifications des réseaux sociaux, téléphone, etc.) pour favoriser la productivité.
Je dois avouer que je suis plutôt chanceuse sur ce point. Je n’ai pas besoin de rituels pour me mettre à travailler. Je peux travailler de quasiment n’importe où, avec :
- mon fils qui me grimpe sur le dos ;
- mes ados qui discutent de la prof d’anglais ;
- le match de foot à la télé, volume 50.
Suivre une formule
J’aime les formules. Car quand vous avez trouvé celles qui fonctionnent, c’est l’assurance de créer du contenu qui passionne toujours.
Voici quelques formules et 1 plan type qui vous aideront à démarrer un article si vous êtes en panne d’inspiration :
- Pour les titres :
- [Résultat Final] + [Période] + [Objections] : Avoir 5 000 abonnés en 1 mois même si vous ne connaissez rien au blogging
- X Façons de Booster votre ____ Sans _____
- [X Façons] de Parvenir à [Résultat Alléchant] Sans [Effet Secondaire Négatif]
- Pour le corps de l’article :
- Problème (quelle galère vivent vos lecteurs quotidiennement ?)
- Implication Négative (qu’est-ce que ça provoque chez eux ?)
- Solutions
- Résultat (que va-t-il leur arriver s’ils suivent vos conseils ?)
Se fixer une contrainte
Les contraintes stimulent la créativité.
En vous imposant des contraintes (de temps, de forme, etc.), vous étouffez gentiment le syndrome de la page blanche.
Exemples :
- dans X minutes, je dois avoir fini de rédiger ce paragraphe ;
- dans X minutes, je dois avoir listé 10 mots clés ;
- dans X minutes, je devrai avoir mis en place ma newsletter ;
- dans X minutes, je devrai avoir trouvé 3 citations pour illustrer mon argument, etc, etc..
Trouver de l’inspiration ailleurs
Un des meilleurs moyens de donner un coup de fouet à votre productivité est d’aller voir ce que font vos concurrents.
Pour cela, rendez-vous sur Google.
Admettons que votre article traite des huiles essentielles. Tapez « Meilleures huiles essentielles », ou encore « Comment trouver les meilleures huiles essentielles ? »
Émergez-vous dans l’univers d’autres personnes, vous commencerez à accumuler quelques idées. Mais ne plagiez surtout pas. Vous valez mieux que ça.
Reprenez les infos glanées ici et là et procédez comme suit :
- recherchez ce qui fait défaut ;
- voyez ce que les gens posent comme questions sur votre thématique dans Quora ;
- scrutez les groupes Facebook ;
- lisez les commentaires laissés chez les concurrents.
En comprenant ce qui manque chez les autres, vous saurez comment contribuer au mieux.
Commencer à écrire, tout simplement
Selon James Clear, entrepreneur et auteur américain, un hack imparable pour cesser de procrastiner consiste à commencer à agir. Il s’inspire de la théorie de Newton :
“Les objets au repos ont tendance à rester au repos… Les objets en mouvement ont tendance à rester en mouvement. Concernant la productivité, cela veut dire une chose : le plus important est de commencer. Une fois que c’est fait, il est plus facile de rester en mouvement. »
Si vous êtes confronté à l’angoisse de la page blanche :
- ouvrez votre ordinateur ;
- coupez les sources de distractions ;
- écrivez.
Vous ne savez pas quoi écrire ? Sortez tout ce qui vous passe par la tête. Qui c’est, peut-être que de ce fouillis intellectuel sortira l’article du siècle.
Vous aussi, il vous arrive d’être touché par le syndrome de la page blanche ? Venez en discuter en commentaire.
Sur ce, j’ai un article à écrire pour la semaine prochaine !
Merci Jennifer pour cet article. Je m’en suis délecté. La page blanche étant un syndrome que je connais bien. Me mettant toujours beaucoup trop la pression.. Ton article tombe à point nommé. 🙂
Hello,
Super, je suis contente si mon article peut t’aider. Bon courage !
Jennifer, j’ai toujours autant de plaisir à te lire.
La vidéo : merci à la demoiselle pour la démonstration de Canva, désormais, je vais l’utiliser à son maximum.
Où as-tu eu ton personnage ? je l’aime trop !
Et ta fenêtre pop-up, tu l’as eu où ?
Merci encore, Jennifer
Catherine, mille mercis pour ton commentaire.
Alors, mon personnage, c’est un Bitmoji. J’avoue que je l’aime beaucoup aussi. Elle et moi, on ne fait qu’un 🙂
Pour tous les formulaires de mon site, j’utilise Thrive Leads (plugin payant à intégrer à WordPress).
Voilà, tu sais tout 🙂
Merci pour tes réponses, Jennifer
De rien, Catherine.
Bonjour Jennifer
J’ai dévoré ton article. J’adore ton style et merci pour tes conseils. Je vais allez en votre d’autres….
Nadia
Bonjour Nadia,
Bon, ben…bon appétit alors 🙂
Hello Jennifer !
Superbe article qui me sera très utile, moi qui galère toujours à me lancer dans la rédaction de mes articles.
En effet, j’ai toujours tellement d’infos, d’idées en tête, qu’il m’arrive parfois de me retrouver devant ma page blanche et de ne pas réussir à commencer… Du coup, le dernier conseil est certainement celui qu’il va falloir que je mette en application quoi qu’il arrive.
Hello,
Avoir plein d’idées est plutôt une bonne chose. Mais attention, je te conseille de ne traiter qu’une idée par article. Les autres pourront constituer d’autres articles sur le même sujet. De plus, quand on a tendance à avoir des idées qui partent dans tous les sens, la meilleure chose à faire est un plan. Bon courage 🙂
Hello Jennifer, C’est assez rigolo car le syndrome de la page blanche, je l’ai souvent parce que j’ai trop d’idées dans ma tête qui se bousculent. Je veux souvent trop en dire dans mes articles qui sont souvent assez longs. Ce qui a aidé à me canaliser, c’est le conseil que tu donnes sur le processus de rédaction à mettre en place. J’ai beaucoup moins l’angoisse de me sentir submergée par ce trop plein d’idées et j’avance pas à pas. Une autre difficulté que je peux avoir c’est comment commencer mes phrases spontanément et naturellement (sans avoir le style prof dont tu parles !). Je vais essayer de tester l’enregistrement à l’oral.Merci pour ce contenu de qualité !
Hello Johanna,
Pour le trop plein d’idées, la rédaction d’un plan devrait régler le problème. Attention à ne pas partir dans tous les sens tout de même, il faut rester cohérent. Si tu sens que tu développes trop d’idées dans un seul article, c’est peut-être que tu peux rédiger plusieurs articles sur le même sujet mais sous des angles différents. Tu me redonneras ton feedback pour l’enregistrement à l’oral ? Je compte rédiger un article sur « Comment commencer un article? » justement.
Belle journée.
Merci pour ces retours. Je te dirai pour l’enregistrement oral. Comme pour tout , le plus dur c’est de commencer effectivement.
OK, j’attends de tes nouvelles alors.
Hello Johanna,
Pour le trop plein d’idées, rédige un plan, ça réglera le problème. Attention à ne pas partir dans tous les sens tout de même, il faut rester cohérent. Si tu sens que tu développes trop d’idées dans un seul article, c’est peut-être que tu peux rédiger plusieurs articles sur le même sujet mais sous des angles différents. Tu me redonneras ton feedback pour l’enregistrement à l’oral ? Je compte rédiger un article sur « Comment commencer un article? » justement.
Belle journée.
Merci tellement! Cette semaine, je n’étais pas du tout inspiré… quelques recherche sur Google comme tu le suggères m’ont repartie!!!! Et voilà que j’ai plein d’idées. Promis, je vais me faire une liste de sujets que je pourrais traiter, de cette façon, je ne devrais plus revivre le syndrome de la page blanche.
De rien Josee. C’est ce que je fais aussi, les recherches sur Internet. Puis je compile toutes mes idées dans un fichier Excel. Mais bon, il y a encore des moments où, malgré mon fichier, je cherche encore de nouveaux sujets qui pourraient s’avérer encore mieux. Aaaah perfectionnisme, quand tu nous tiens!
Extra cet article ! C’est un encouragement pur et dur à ne plus procrastiner et à s’y mettre un bon coup. Je vais appliquer ta méthode de travail et la structuration des articles. Tout cela est bien précieux ….
Merci Anne-Claire. Tu me donneras ton feedback…