10 Outils Blogging Peu Connus pour Booster sa Productivité

10 Outils Blogging Peu Connus pour Booster sa Productivité

Vous aussi, vous avez entendu le discours des adeptes de La Semaine de 4 Heures sur le blogging ?

Travailler quelques heures par semaine, se la couler douce au bord d’une piscine, et toucher le pactole.

Sauf que si vous avez déjà démarré votre blog, vous vous êtes sûrement rendu compte que la réalité était tout autre.

Bloguer prend du temps.

Bien plus que 4 heures par semaine si vous souhaitez un minimum de sérieux.

Depuis que je blogue, mon dada, c’est la productivité et la gestion du temps. Je recherche çà et là des outils qui pourraient m’aider à me libérer des minutes précieuses.

Et la bonne nouvelle, c’est que des outils blogging pour être plus productif, ce n’est pas ce qui manque.

Dans cet article, je vous donne une liste d’outils pratiques qui serviront aussi bien aux blogueurs purs et durs qu’aux rédacteurs web freelance.

À vos chronos 😉

E.ggTimer.com : pour rester focus sur son travail

outils blogging pour améliorer sa productivité

E.ggTimer.com  est un chrono en ligne très simple à utiliser. Vous choisissez la durée pendant laquelle vous voulez rester concentré et cliquez sur « Go ». S’affiche à l’écran un énorme chrono. Quand le temps expire, vous recevez une notification. Vous pouvez aussi demander à sectionner vos plages de travail en cycle 25/5. Vous travaillez 25 minutes, vous faites une pause de 5 minutes (méthode Pomodoro).

Comment cet outil blogging vous aide à être plus productif ? Ayant moi-même testé la méthode Pomodoro, je peux vous dire qu’elle est très puissante. Il est tellement facile de laisser notre esprit vagabonder ou d’aller faire un tour vite fait pour checker ses mails. Là, vous n’avez pas le choix : il faut bosser.

Toggl : pour analyser votre productivité

Toggl est un logiciel de suivi du temps qui va vous aider à repérer là où vous êtes plus ou moins productif.

Créez un fichier, nommez-le et appuyez sur « Démarrer ». À la fin, arrêtez le chronomètre et votre tâche sera stockée dans vos archives. Vous aurez accès à des analyses croisées et exportables: top pour avoir une idée précise du nombre d’heures consacrées à un dossier précis.

Toggl peut être utilisé sur le web, sur votre bureau ou sur votre mobile avec la possibilité de soutenir des équipes et de générer des rapports.

Zoomy App : pour ne plus perdre de temps à chercher des photos

Zoomy App regroupe toutes les photos libres de droit disponibles sur le web :

  • plus de 130 000 photos gratuites ;
  • plus de 50 sources avec photos haute définition : Unsplash, SplitShire, etc.;
  • recherche par mots clés et Emoji ;
  • filtrage des photos par forme et par couleur ;
  • stockage des photos par collection.

Vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les photos gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans demander l’autorisation à quiconque.

LanguageTool : pour écrire des articles de blog zéro faute

LanguageTool est un logiciel de relecture assisté par ordinateur. Un outil blogging absolument IN-DIS-PEN-SA-BLE pour les blogueurs et rédacteurs web.

Deux possibilités :

  1. Vous collez votre texte sur le site et cliquez sur le bouton « Vérifier le texte ». Vos fautes seront surlignées.
  2. Vous téléchargez l’extension sur Google Chrome ou Firefox. Sur n’importe quelle page web, vous sélectionnez du texte et cliquez sur le widget « LT » pour lire les recommandations.

En version gratuite, vous pouvez vérifier jusqu’à 20 000 caractères.

LinkTree : pour partager plusieurs liens sur Instagram

Avis aux férus d’Instagram !

LinkTree vous permet de partager plusieurs pages web à partir d’une seule et même URL. En quoi c’est génial ? Parce que sur ce réseau social, vous ne pouvez insérer qu’un lien vers votre blog, et uniquement sur votre bio. Avec LinkTree, vous pouvez partager plusieurs liens.

ImageSEO : pour bien optimiser vos images

ImageSEO est un plugin WordPress qui va vous aider à améliorer le référencement des images.

Il vous fait gagner du temps en appliquant automatiquement un attribut alt et un titre à vos images. Et vous êtes certain d’appliquer les meilleures stratégies en matière d’optimisation de vos visuels (n’oublions pas que plus de 20% du trafic organique de Google provient de la recherche d’images).

Pocket : vos contenus préférés en un seul endroit

outils-blogging

Avant d’écrire un article de blog, vous recherchez certainement de l’inspiration sur internet. Et au lieu d’avoir un liste de favoris longue cooooooooooooommmmmme ça sur votre ordi ou votre smartphone, pensez à Pocket. Cet outil blogging vous permet d’enregistrer du contenu à lire plus tard, et cela en un seul clic. Vous pouvez ajouter des balises pour mieux organiser votre contenu enregistré.

Enregistrez le contenu directement à partir de votre navigateur Web, par e-mail ou à partir d’une variété d’applications différentes, notamment Flipboard, Pulse et Twitter.

L’interface de Pocket est minimaliste et fonctionnelle.

Buffer : pour planifier vos posts sur les réseaux sociaux

outils-blogging

Les réseaux sociaux font partie intégrante de la stratégie d’acquisition de trafic d’un blogueur. Mais gérer une page Facebook, un compte Twitter, LinkedIn ou encore Instagram est chronophage.

C’est en ça que Buffer est une petite merveille. L’outil vous donne la possibilité de planifier vos publications sur plusieurs semaines. Vous prenez par exemple 30 minutes le weekend pour créer vos contenus Facebook de la semaine, ça vous évite de perdre du temps chaque matin à rédiger un post.

Pablo (de Buffer) : pour créer des visuels inspirants

Pablo vous permet de créer des images accrocheuses à partager sur les réseaux sociaux comme  Instagram, Facebook et Twitter.

On sait tous que les visuels génèrent beacoup plus d’engagement sur les réseaux. Le problème, toujours pareil, c’est le temps qu’il faut pour les créer.

Ouvrez simplement cet outil, collez du texte, choisissez un arrière-plan et c’est prêt.

Pablo fait partie de Buffer, vous pouvez donc facilement planifier le partage de ces images via votre compte.

Squoosh : pour alléger vos images

Squoosh est un site qui vous permet de redimensionner et d’alléger les images que vous souhaitez importer sur votre CMS. C’est un des outils blogging les plus simple à utiliser. Il suffit de sélectionner votre fichier, l’appli se charge de l’optimiser.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Métiers du Web : 5 Professions À Fort Potentiel

Métiers du Web : 5 Professions À Fort Potentiel

Marre de votre boulot ? Envie de travailler à domicile, sur internet ?

Vous êtes donc comme ces 9 Français sur 10 qui songent à la reconversion professionnelle.

Comme je vous comprends. Je travaille sur le web depuis 2011 et ne changerais mon job pour rien au monde.

Mais justement, pour quel métier du web êtes-vous fait ?

Dans cet article, je vous liste 5 professions à exercer en freelance sur internet ainsi que les compétences à posséder, les formations à suivre, les salaires, etc.

Vous verrez que ces métiers du digital ont un potentiel de dingue. Qu’il est possible de gagner plus qu’un cadre, tout en travaillant où et quand vous le souhaitez, en mode nomad digital.

La classe.

Let’s go…

Ce qu’il faut savoir avant de travailler sur le web

métier du web : 5 professions à fort potentiel

Vous voulez quitter votre travail pour travailler sur internet ? Génial. Vous prenez votre vie en main, c’est tout à votre honneur.

Mais avant de vous lancer à corps perdu dans l’inconnu, vous planter et supplier votre patron de vous reprendre dans 6 mois, quelques recommandations :

  1. Faites un bilan général de ce que vous aimez faire. Écrire ? Analyser ? Coder ? Animer un groupe sur un réseau social ? Vos réponses influeront sur la direction à prendre. Car non, tous les métiers du web ne se valent pas. Ce n’est pas parce que je suis rédactrice web que je pourrais devenir webdesigner par exemple.
  2. Parcourez les forums ou les groupes FB pour avoir une idée des tarifs à appliquer. Vous pourrez alors déterminer les vôtres en fonction de la concurrence et de votre niveau de vie.
  3. Étudiez la concurrence. Quels services supplémentaires proposent-ils ? Ont-ils un site internet professionnel ? Comment font-ils pour se faire connaître ?
  4. Quels moyens allez-vous mettre en oeuvre pour apprendre le métier ? Existe-t-il des formations sérieuses ? Sont-elles en ligne ou en présentiel (auquel cas il faudra que vous puissiez vous déplacer) ?
  5. Songez dès maintenant à la stratégie marketing que vous allez adopter pour avoir des clients (email de prospection, réseautage, etc.).
  6. Quel statut allez-vous adopter ? Je vous conseille, dans un premier temps, de vous lancer en micro-entreprise. Et si vous souhaitez créer une entreprise de type SASU, EI, EIRL, mieux vaut vous faire accompagner.
  7. Avez-vous de la motivation à revendre pour devenir freelance du web ? Débuter en tant qu’indépendant implique souvent une période de latence plus ou moins longue. Quand je me suis inscrite en micro-entreprise, j’ai mis 2 mois pour décrocher mon premier contrat. Mais je ne me suis pas laissée aller pour autant. J’ai profité de ce temps pour en apprendre plus sur la rédaction web.
  8. Savez-vous vous remettre en question ? Quand on travaille seul, personne n’est là pour nous rappeler à l’ordre ou nous donner des conseils. Savoir prendre de la distance de temps à autre pour analyser ce qui fonctionne ou non est une qualité nécessaire quand on exerce un métier du web.
  9. Prenez contact avec des anciens de la profession. À moins qu’ils ne soient super occupés, vos futurs « collègues » virtuels seront toujours à même de répondre à vos interrogations. Une fois que vous aurez noué des relations professionnelles respectueuses, demandez s’ils n’ont pas besoin de sous-traiter 😉
  10. Développez vos connaissances des réseaux sociaux. Impossible de travailler sur le web sans être présent sur Facebook, Twitter, Linkedin ou encore Instagram. Sélectionnez ceux sur lesquels votre cible se trouve et mettez le paquet pour tout apprendre.

Ça en fait des choses à appréhender, je sais. Mais un freelance bien averti en vaut deux.

Plus vous serez préparé, plus vous multipliez vos chances de réussite.

5 professions pour se lancer sur internet

Métier du web n° 1 : Rédacteur web SEO

Qu’est-ce qu’un rédacteur web ?

Le rédacteur freelance est un créateur de contenus numériques. Il rédige, pour le compte de ses clients (sites de e-commerce, agences de communication, grandes entreprises du secteur privé et public, collectivités territoriales, associations…) des textes optimisés pour le référencement naturel.

Aujourd’hui, et encore pour trèèèèèès longtemps je pense, l’importance d’être présent en ligne et d’être bien référencé sur Google placent les contenus au cœur de la stratégie digitale des entreprises. Voilà pourquoi ce métier du web a encore de très beaux jours devant lui.

Compétences du rédacteur web

  • Français irréprochable
  • Référencement naturel
  • Savoir rechercher et analyser
  • Écrire rapidement (cela s’apprend)
  • Connaître les bonnes pratiques d’écriture pour le web

Salaire du rédacteur web

En moyenne 2 000 €/mois. Des disparités existent, avec un éventail de rémunération allant de quelques centaines d’euros à 5 000 €/mois.

Formation rédacteur web

Principalement formation en ligne. Devenir rédacteur web est souvent le résultat d’une reconversion professionnelle. Pour une formation post-bac, il existe des DUT Information-communication ou encore des Licence Pro en communication.

Vous souhaitez commencer une carrière dans la rédaction web mais ne savez comment trouver des clients ? La formation Stratégie Gagnante est faite pour vous.

 

Métier du web n°2 : Expert SEO

Qu’est-ce que c’est ?

Devenir consultant SEO est sans doute un des meilleurs plans pour s’assurer une carrière professionnelle bien remplie.

En effet, vu le nombre de sites présents sur internet (et ceux qui vont y arriver), seule une stratégie SEO efficace permet d’avoir une bonne visibilité.

C’est pour cette raison que les entreprises, les blogueurs, les YouTubeurs, etc. font appel à des consultants SEO pour améliorer le référencement naturel de leur site web. Après avoir réalisé un audit SEO, le freelance va mettre en place des stratégies de contenus et de netlinking et suivre les résultats en mode « test and learn ».

Compétences de l’expert SEO

  • Connaissance des langages de programmation web
  • Travail en équipe (le SEO collabore avec le rédacteur web, le webdesigner, le community manager, etc.)
  • Connaissance en webmarketing
  • Capacité à évaluer ses actions
  • Savoir se former tout au long de sa carrière : les règles du SEO changent tous les 4 matins, une veille est indispensable.

Salaire du consultant SEO

En moyenne, un expert en référencement freelance débutant gagne entre 2 000 et 3 000 euros par mois, et jusqu’à 5 000 euros par mois une fois reconnu.

Formation pour devenir expert SEO

Même s’il existe des formations sur le web, la plupart des professionnels du référencement naturel ont une formation assez généraliste (webmarketing, webmaster, etc.) Ils ont appris le SEO en testant des méthodes sur leurs propres sites ou ceux de leurs clients.

Car il n’y a pas de meilleure formation que l’expérience en SEO. On ne devient pas expert SEO en potassant quelques guides de référence sur le sujet. Il passer du temps à tester et à apprendre. Et une fois que vous pouvez prouver que vos actions augmentent le trafic des sites sur lesquels vous travaillez, c’est bingo !

Métier du web n°3 : Trafic manager

Qu’est-ce que c’est ?

Le trafic manager gère les campagnes publicitaires de ses clients sur internet : conseil sur le choix des supports à adopter, mise en œuvre et analyse des actions mises en place (fréquentation, audience, nombre de clics). Son objectif : acquérir du trafic sur un site à partir des réseaux sociaux.

Compétences du traffic manager

  • Fibre commerciale
  • Savoir manier les chiffres
  • Sens de la communication sur internet
  • Réactivité
  • Rigueur et méthode
  • Disponibilité

Salaire du traffic manager

Entre 1 800 € et 2 100 € pour un débutant. 3 500 € pour un traffic manager confirmé, selon le volume de trafic à gérer.

Formation traffic manager

2 années d’études après le Bac sont nécessaires pour devenir traffic Manager. Les filières recommandées sont : la publicité, le e-­commerce, le marketing, la communication numérique.

Métier du web n°4 : Webdesigner

Qu’est-ce que c’est ?

Le webdesigner pense et crée l’identité visuelle d’un site internet (illustrations, bannières, animations…) en fonction du public auquel il s’adresse, des impératifs du marketing et des contraintes techniques. L’idée, c’est de séduire les internautes pour qu’il reste un maximum de temps sur le site.

Compétences du webdesigner

  • Connaissance des règles de l’ergonomie
  • Maîtrise des logiciels de retouche d’images et de conception graphique
  • Connaissance de WordPress et/ou autres CMS
  • Connaissance du HTML/CSS
  • Sens de l’esthétique
  • Créativité

5 métiers du web à fort potentiel

Salaire du webdesigner

Environ 1 800 € brut par mois pour un web designer débutant. Entre 2 300 € bruts et 4 800 € par mois.

Formation webdesigner

Pour devenir webdesigner, une formation de 3 à 5 ans d’études est demandée. Soit en école des beaux-arts, en école d’arts appliqués ou en école spécialisée en communication, design et multimédia.

Mais vous pouvez aussi suivre une formation en ligne et créer ensuite des sites qui serviront de modèles à montrer à vos prospects.

Métier du web n° 5 : Copywriter

Qu’est-ce qu’un copywriter ?

Le but d’un copywriter est, grâce aux mots, de trouver des formules percutantes. Le but ici ? Attirer l’attention, éveiller un désir et déclencher une action chez le lecteur.

Exemples :

  1. “Retrouvez des dents éclatantes de blancheur”  est beaucoup plus vendeur que  “Débarrassez-vous des dents jaunes ».
  2. « Mince et beau en 2 mois à peine ». Beaucoup mieux que « Perdez 10 kilos en 2 mois ».

Vous avez compris le principe ?

En véritable connaisseur de sa cible, il écrit des :

  • publicités dans des magazines, pour la télé ou la radio ;
  • brochures ;
  • articles de blog ;
  • pages de vente ;
  • posts sur les réseaux sociaux ;
  • newsletters.

Compétences du copywriter

  • Aisance linguistique
  • Créativité
  • Culture générale très développée
  • Curiosité

Salaire du copywriter

En début de carrière, il est tout à fait possible d’exploser les chiffres si la rédaction d’une seule page de vente a multiplié les ventes d’un client par exemple. Il n’y a donc pas de salaire moyen. Tout dépend de votre talent. Les plus grands copywriters sont millionnaires !

Formation en copywriting

Il n’existe pas de formation officielle pour devenir copywriter.

Et c’est ça qui est top.

Ce métier du web est accessible (si tant est que vous disposez des compétences) et la concurrence est très faible (justement parce que ne s’improvise pas copywriter qui veut).

Comment faire alors si vous voulez vous former au copywriting ?

  1. Lire beaucoup : des pubs, des objets de mails, des classiques sur le copywriting, mais aussi toutes sortes de livres. Comme le disait Joseph Sugarman : plus un copywriter a de connaissances, plus il est bon dans son domaine.
  2. Écrire beaucoup : il est souvent recommandé de recopier de bonnes pubs ou pages de vente à la main pour s’imprégner de ce qui fonctionne. D’une manière générale, essayez d’écrire chaque jour un texte. Peu importe le sujet. L’important, c’est d’améliorer sa façon de rédiger progressivement, en utilisant les techniques de copywriting que je recommande ici.
  3. Prouvez votre savoir-faire en proposant à des entrepreneurs de rédiger pour eux.

(*sondage du Groupe AEF pour Nouvelle vie professionnelle)

Alors, quel métier du web allez-vous choisir pour votre future vie professionnelle ? Dites-moi tout en commentaires 🙂

techniques de copywriting

Apprendre la Rédaction Web : Où, Quand, Comment ?

Apprendre la Rédaction Web : Où, Quand, Comment ?

Envie de devenir rédacteur web professionnel ?

Vous n’aurez donc pas d’autre choix que d’apprendre la rédaction web et tout ce qui gravite autour de ce métier : le référencement naturel, les techniques d’écriture pour le web, le webmarketing, la prospection client , etc.

Vous vous en doutez, ces compétences ne s’apprennent pas en une semaine, en lisant des blogs ou des livres, si qualitatifs soient-ils.

Non, ce qu’il vous faut, c’est vous former à la rédaction web de façon concrète et méthodique.

Voici les options qui s’offrent à vous.

Apprendre la rédaction web gratuitement : possible ou pas ?

Une question de personnalité

Tout dépend de votre faculté à apprendre seul et votre motivation. C’est comme pour tout. Si vous avez de la volonté à revendre, et une pointe de talent tout de même, je pense que c’est possible.

Le web regorge de très bons sites pour apprendre la rédaction web et débuter en SEO gratuitement.

Je pense notamment à la Formation Rédaction Web Sauce Writing, Ecrire Pour le Web, Rédacteur.com, Abondance.com, Miss SEO Girl, et bien sûr… mon blog (hi hi!).

Vous y apprendrez les techniques de la rédaction web, les qualités d’un bon rédacteur web professionnel, les erreurs à ne pas commettre quand on est débutant. On vous donnera aussi des conseils sur le freelancing, sur la manière de gérer les clients en rédaction web, les situations de crise aussi.

En gros, après avoir écumé les meilleurs sites, blogs et bouquins, vous aurez une vision générale du métier. Ce qui est déjà pas mal. Mais loin d’être suffisant.

Les limites de se former gratuitement aux métiers du web

apprendre la rédaction web

Apprendre seul à rédiger pour le web pour en faire à métier n’est pas aussi simple que ça en a l’air. Cela requiert pas mal de temps.

Récapitulons ce qu’un rédacteur doit savoir faire :

  • écrire des articles pour le format web ;
  • connaître le référencement naturel ;
  • synthétiser une tonne d’informations en très peu de temps ;
  • suivre un brief client ;
  • chercher des mots clés intéressants selon le volume des recherches et l’intention de l’internaute ;
  • se vendre pour trouver des clients ;
  • corriger ses fautes pour rendre un texte irréprochable ;
  • être force de proposition auprès des clients pour les fidéliser ;
  • etc.

Ça fait pas mal de compétences à acquérir seul.

Conclusion : oui, pour les plus doués, c’est possible d’apprendre la rédaction web pour pas un rond. Vous serez confronté à vous-même, à vos limites. Il faut être fort mentalement et ne jamais rien lâcher.

Pour les autres, à moins d’avoir 8h par jour à consacrer à votre nouvel apprentissage, ça risque de vous prendre des années.

Et en attendant, les rédacteurs web formés convenablement vont arriver sur le marché et vous grappiller des commandes.

Se former à la rédaction web à domicile : les solutions

Les formations privées en ligne

Si apprendre la rédaction web tout seul, sans méthode et sans un mentor pour vous guider n’est pas votre truc, optez pour une formation de rédacteur web délivrée en ligne par un professionnel.

Ce type de formation a l’avantage :

  • de ne pas être trop chère (le prix doit être considéré plus comme un investissement puisque la formation vous forme à un métier qui vous rapportera de l’argent) ;
  • d’être suivie où et quand vous voulez. Si vous travaillez en parallèle, c’est le top.

Comment bien choisir votre formation en rédaction web ?

Il n’y a qu’à jeter un œil 2 minutes sur Google pour comprendre qu’apprendre la rédaction web via une formation à distance n’est pas ce qui manque. Vous en trouverez pour tous les goûts et tous les budgets. Niveau timing, certaines proposent de vous former en 3 jours (si, si, je vous assure), d’autres en plusieurs mois (plus pertinent à mon avis).

Pour faire le bon choix :

  • scrutez le programme de la formation. Vous semble-t-il complet ? Aborde-t-il les pans essentiels de la profession (SEO, marketing, copywriting, etc.);
  • contactez des anciens élèves pour avoir leur avis ;
  • écrivez un mail au formateur/à la formatrice : plusieurs jours sans réponse peut être le signe d’un manque de disponibilité ;
  • vérifiez s’il y a un suivi personnalisé : payer 500 € et se retrouver perdu au milieu d’une plateforme en ligne n’a que très peu d’intérêt.

Je n’ai pas parlé de prix ici. C’est en effet un paramètre assez personnel. Petit conseil tout de même : pour les formations onéreuses, vérifiez qu’elles soient de grande qualité (coaching(s) personnel(s), garanties, identité de l’enseignant…).

Les MOOCs payants en ligne

apprendre la rédaction web

Pour quelques dizaines d’euros, il est possible d’apprendre la rédaction web en ligne grâce aux MOOCs (Massive Open Online Course). Certains MOOCs sont présentés comme gratuits, mais vous devrez souvent sortir la carte bleue au bout de quelques heures de formation.

Les cours sont organisés en séquence, ou module, et délivrés par des professionnels de la communication, de la rédaction, etc. Attention, il y a souvent des dates précises pour ces formations, donc inscrivez-vous pour être tenu au courant de l’ouverture des cours. Quelques plateformes de Moocs où vous pourriez trouver votre bonheur :

  • Fun-mooc : regroupe plus de 150 cours, dans des domaines très variés. Il faut s’inscrire en avance et rester à l’affût des prochains cours qui pourraient vous intéresser ;
  • Coursera : les formations gratuites des meilleures universités américaines. Non-anglophones, ne fuyez pas, la plateforme propose des cours sous-titrés ;
  • Unow :  les cours sont variés, très intéressants et les cas pratiques vous mettent vraiment en situation. Fouillez dans leur catalogue de formations, vous trouverez votre bonheur ;
  • My Mooc : des cours gratuits ou payants, sur des sujets variés.

Ces cours en formation web (quand on en trouve!) sont néanmoins très limités. Vous y apprendrez les aspects globaux du métier, mais rien de transcendant pour pouvoir espérer apprendre la rédaction web professionnelle.

Devenir rédacteur web SEO professionnel : les études après le bac

Quel cursus choisir pour apprendre la rédaction web ?

L’Onisep, sur sa fiche métier du rédacteur web, propose les formations et diplômes suivants.

 Bac + 2

  • DUT Information-communication option communication des organisations
  • DUT Information-communication option information numérique dans les organisations
  • DUT Information-communication option journalisme

 Bac + 3

  • Journaliste
  • Licence pro métiers de la communication : chargé de communication
  • Licence pro métiers de l’information : métiers du journalisme et de la presse
  • Licence pro métiers du numérique : conception, rédaction et réalisation web

 Bac + 5

  • Diplôme de l’école supérieure de journalisme de Lille
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Bordeaux
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Grenoble
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Lille
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Lyon
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Paris
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Rennes
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Saint-Germain-en-Laye
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Strasbourg
  • Diplôme de l’Institut d’études politiques de Toulouse
  • Formation du centre de formation de journalistes (CFJ)
  • Manager de la communication numérique (IIM)
  • Master communication des organisations
  • Master journalisme

L’absence de réelle formation pour rédacteur web frappe aux yeux. Et pour cause, le métier est encore jeune. Ce qui explique que les écrivains freelances viennent d’horizons divers, avec des parcours professionnels et personnels variés. Votre expérience, votre regard sur la vie, votre façon d’appréhender les choses… voilà d’ailleurs qui fait qu’un rédacteur web n’est pas un autre.

Les inconvénients des études de rédaction web

Les limites de ces études ?

Le coût (plusieurs milliers d’euros étalés sur plusieurs années), mais surtout le temps. La plupart des aspirants rédacteurs web ont déjà passé quelques années en tant que salarié et souhaitent se reconvertir professionnellement. Et reprendre des études à 30, 40, 50 ans, voire plus, n’est pas très judicieux.

Tic tac, tic tac, le temps compte. Plus de possibilité d’en perdre sur les bancs de la fac.

Sans compter qu’il est difficile de suivre des cours en ayant un job, une vie de famille et des responsabilités à côté.

Quand se former pour devenir rédacteur web ?

Il n’y a pas d’âge pour devenir rédacteur web. Seule la volonté et l’envie de changement sont la règle.

Je dirais qu’à partir du moment où votre travail ne vous plaît plus et que ce métier du web vous attire, il faut vous lancer. Ce peut être :

  • à la suite d’un burn-out ;
  • après un congé maternité ;
  • pendant un congé parental ;
  • parallèlement à son travail, le soir et les week-ends par exemple ;
  • pendant un congé sabbatique ;
  • suite à une longue maladie ;
  • etc.

Je vous parle d’ailleurs des signes qui prouvent que c’est le moment de quitter son travail dans un autre article.

L’essentiel, c’est de disposer d’une dizaine d’heures par semaine pour étudier la rédaction web et pratiquer. À ce rythme, vous devriez être opérationnel en 4 mois à peu près.

Apprendre la rédaction web ne se fait donc pas du jour au lendemain, ou entre deux rendez-vous professionnels. Pour réussir dans ce métier, vous devrez être doté de compétences multiples, et pouvoir en donner la preuve. Oui, vous pouvez toujours tenter l’apprentissage de la rédaction web en autodidacte. Si vous disposez de beaucoup de temps, ça peut le faire. Mais avouez qu’être accompagné par un(e) professionnel compétent est bien plus pertinent.

Cet article vous a plu, vous connaissez un ami qui rêve de devenir rédacteur freelance? Partagez l’article,

techniques de copywriting

 

Comment Rédiger une Newsletter Efficace ?

Comment Rédiger une Newsletter Efficace ?

Comment rédiger une newsletter efficace ?

Ceci est un article invité du site journalb2b.com.

L’envoi d’une newsletter est un outil marketing qui a fait ses preuves durant de nombreuses années. Cet outil, qui diffère du mailing ou de l’envoi de courriel commerciaux, est communément appelé infolettre. Une newsletter sert à diffuser des contenus divers concernant l’actualité des entreprises, des informations sur tel produit ou service.

Lorsqu’une newsletter est bien conçue et rédigée, elle peut être la source de bénéfices incroyables à l’entreprise en termes de fidélisation et de rétention, de connaissance des clients, d’amélioration du trafic sur le site web, de constitution des bases de données client.

Cependant, ce type de contenu a commencé au fil des années à perdre de l’intérêt aux yeux des utilisateurs car la newsletter est assimilée à des mails commerciaux. Les abonnés ont aussi tendance à se désabonner ou à se désintéresser de ce type de mail lorsque le contenu qui leur est proposé ne suscite pas forcement leur intérêt ou ne parvient pas à leur offrir une information précieuse ou une certaine plus-value.

Comment rédiger une newsletter efficace de sorte à capter l’intérêt de nos abonnés et profiter des nombreux avantages potentiels de ce type de contenu ?

Au-delà des choix stylistiques que chacun est libre de faire, toutes les newsletters ont cependant des caractéristiques communes qui sont son objet, l’expéditeur, le destinataire, le choix du template et des images.

L’objet, élément clé pour créer une newsletter qui accroche

rédiger une newsletter efficace


Toutes les newsletters doivent avoir un objet qui puisse solliciter l’intérêt des abonnés et les pousser à consulter la newsletter. L’objet sert à vous faire savoir immédiatement de quoi parlera la newsletter. 

L’objet de la newsletter doit être captivant et invitant. En effet, vous pouvez rédiger la newsletter parfaite, mais si vous ne prenez pas soin de son objet en faisant en sorte qu’il soit accrocheur pour augmenter le « taux d’ouverture » de votre infolettre, cela ne sert à rien.

Alors comment faire pour trouver un objet de newsletter efficace ?

Retrouvez plus d‘articles sur les techniques de rédaction web et SEO sur Businesspress !

Plusieurs éléments peuvent faire en sorte de transformer un simple objet en un objet accrocheur : 

  • être bref et poser des questions et inviter à l’action ;
  • essayez d’être clair et direct ;
  • éviter les mots « gratuit »,  » valable jusqu’à ce soir minuit « , « en exclusivité pour vous », « code cadeau », « ne manquez pas … » ;
  • les caractères spéciaux et les points d’exclamation ;
  • éviter d’écrire en majuscules.

Évidemment, l’objet doit être différent pour chaque envoi et il est conseillé d’éviter les mots qui contiennent des références explicites aux prix, coûts et promotions. En effet, votre newsletter pourrait se retrouver dans les SPAM.
Par ailleurs, il est préférable de donner immédiatement les informations les plus importantes dans votre objet.

Certaines études statistiques ont montré que les meilleurs taux d’ouverture étaient enregistrés avec des objets très longs, c’est-à-dire plus de 60 caractères, ou à l’inverse très courts, donc à moins de 15 caractères. Personne ne sait quel est le nombre magique, l’important est de ne pas ennuyer votre cible.

Soigner les noms des expéditeurs et des destinataires

Qui envoie et qui reçoit la newsletter ? En ce qui concerne le nom de l’expéditeur, il vaut mieux éviter les noms tels que news, promos, etc … si vous ne voulez pas être archivé ou classé en tant que SPAM.
Les noms des destinataires, c’est-à-dire ceux de vos abonnés,  peuvent être collectés dans des bases de données puis être divisés en listes. Chacun de ces éléments peut être classé avec une cible utilisateur spécifique. 

Définir l’aspect graphique de la newsletter

Il est très important de choisir ou de créer un modèle responsive, c’est-à-dire capable de s’adapter à différents écrans, tels que le bureau et le mobile. Certaines platesformes de e-marketing proposent des « templates » prêts à l’emploi, pour permettre à quiconque de créer des newsletters attrayantes et personnalisables, sans avoir besoin de compétences en langage graphique ou HTML.

Avant d’opter pour un style en particulier, il convient de vérifier l’âge de vos utilisateurs cibles. Ceci vous sera d’une grande utilité !

rédiger une newsletter

La structure au sein de ces modèles reprend la structure classique d’une newsletter, à savoir :

  • un en-tête ;
  • la partie image ou logo ;
  • le texte, c’est-à-dire le corps de la newsletter ;
  • et un pied de page, où l’on peut trouver les informations légales du destinataire et la possibilité de se désinscrire de la liste de diffusion.

Comment choisir le bon contenu pour la newsletter : textes et images

Chaque newsletter est composée d’en-têtes, de corps et de pied de page. Mais comment les remplir ? Comment créer le bon contenu textuel et visuel pour une newsletter efficace?

Tout d’abord, pour créer un contenu intéressant pour vos utilisateurs, vous devez savoir quel âge ils ont et pour quelle raison ils se sont enregistrés dans votre base de données, que ce soit pour le travail, les loisirs ou d’autres raisons.
Une fois que vous avez une vision plus claire du profil et des besoins de vos abonnés, tout deviendra plus simple, du ton à adopter jusqu’au lexique à employer, en passant par le choix des images.

Soigner le contenu de votre newsletter

 


Vous pouvez suivre la méthode de la pyramide inversée: organiser le contenu du plus « générique » au plus ciblé jusqu’à aller au cœur du sujet. Attention à ne pas faire trop long : le lecteur ne va pas prendre le temps de lire tout le texte.

Écrivez un texte générique sous l’en-tête (encore une fois pour ne pas finir dans les SPAM), qui révélera progressivement où vous voulez en venir. Essayez d’utiliser des listes à puces pour signaler aux lecteurs les points les plus importants à retenir.

Enfin, ajoutez un lien avec un appel à l’action, c’est-à-dire une invitation à agir, à effectuer une action. Le message doit être aussi efficace que possible (par exemple : « Réservez votre formation maintenant! »). Le bouton doit attirer l’attention, mais sans être trop intrusif dans la page. Attention à ne pas trop dévier du style de la marque ou du logo pour ne pas confondre le lecteur !

Cela peut sembler étrange, mais il est préférable de placer le lien avec l’appel à l’action en bas du texte, afin de donner au lecteur l’occasion de lire tout le contenu de votre newsletter ! 

Le choix des images pertinentes

Les images comptent parfois plus que les mots, car les utilisateurs sont paresseux et ont peu envie de lire. C’est pourquoi il faut essayer d’insérer les points les plus importantes sur les images.


Choisissez toujours des images évocatrices mais authentiques, sans tomber dans la banalité (comme l’image d’une plage ou d‘une île paradisiaque car cela pourrait certainement mettre à mal votre crédibilité).

Mieux vaut prendre des photos ad hoc quand cela est possible et éviter de se servir des banques d’images, en particulier à des occasions telles que Noël, la Saint-Valentin ou Pâques, où tout le monde envoie des newsletters similaires. En résumé, démarquez-vous !

 

Rédactrice Web et Confinement : 10 Astuces pour Survivre

Rédactrice Web et Confinement : 10 Astuces pour Survivre

Coronavirus : 10 astuces pour survivre au confinement quand on est rédactrice web freelance et maman

Ceci est un article invité, rédigé par Nabila. De formation juridique, Nabila est rédactrice web SEO, formée auprès de Lucie Rondelet. Ses thèmes de prédilection sont : la psychologie, le développement personnel, la spiritualité, entrepreneuriat mais sa culture générale et son ouverture d’esprit lui permettent de rédiger sur des thématiques très variées.

 

Visiblement cette maman a pris une décision radicale (ses trois enfants couchés comme des sardines, ligotés et bâillonnés !) pour pouvoir enfin travailler tranquillement

Si l’humour de cette image n’est pas du meilleur goût, en tant que maman travaillant à domicile, elle vous a certainement fait sourire, n’est-ce pas ?

Parce qu’on ne va pas se mentir, en tant que rédactrice web freelance, travailler à la maison, on y est habituée et on aime ça. 

Mais quand les enfants sont là, toute la journée, avouez que rester concentrée tout en supervisant un ou plusieurs petits monstres interdits de sortie en extérieur, cela peut ressembler à de la haute voltige !

Dans cet article, vous trouverez 10 astuces pour survivre au confinement quand on est rédactrice web freelance et maman. 10 astuces pour vous aider à concilier productivité, bien-être et vie familiale intense durant cette période exceptionnelle

Booster votre productivité de rédactrice web : les règles d’or

rédactrice web et confinement : comment faire

Astuce n°1 : Prévoir des plages horaires de travail en continu

Tous les trucs et astuces pour booster votre productivité, vous les appliquez déjà hein, puisque vous êtes une rédactrice web qui déchire, pas vrai ?  

Mais rester focus avec les enfants et le conjoint, qui vous tournent autour toute la journée, avouez que ça remet en cause les meilleures théories scientifiques sur la concentration et l’attention !

Dans ces conditions, je vous invite à bloquer, si possible, des plages horaires de travail d’au minimum de deux heures. 

Pour ma part, l’une des meilleures habitudes que j’ai mises en place ces dernières années est de me lever deux heures plus tôt le matin et d’avancer sur les tâches qui me demandent le plus d’attention, lorsque toute la famille dort encore.

Cela me permet surtout de rester concentrée sur une durée plus longue, sans être interrompue.

Vous n’êtes pas du tout du matin ? Dans ce cas, négociez avec votre conjoint et/ou vos enfants un créneau de deux ou trois heures durant lequel « Maman ne devra être dérangée sous aucun prétexte ». 

Astuce n°2 : Fuir les distractions extérieures

Pour augmenter sa productivité, pas de secret !

Vous devez vous couper de tout ce qui pourrait vous déranger et faire dévier dangereusement votre attention.

Rien de plus frustrant que d’être interrompue par une notification mail, Facebook ou Instagram sans importance, en plein milieu de la rédaction d’un article à destination de notre plus gros client sur le thème de « l’histoire du joint de culasse, de 1920 à nos jours ».

Pour éviter cela, coupez vos notifications.

Une solution encore plus radicale, qui m’a permis de boucler un article sur le zéro déchet, après des jours de procrastination infructueux (merci aux SMS de ma sœur et son journal de bord quotidien et très documenté sur les poussées dentaires de son petit dernier…) : mettre le smartphone en mode avion et ainsi couper SMS et appels.

Astuce n°3 : Savoir prioriser

Vous le savez comme moi, hiérarchiser ses tâches en fonction de leur priorité et savoir organiser son travail sont les clés de la réussite pour tous les freelances.

Il existe deux méthodes extrêmement connues dans la thématique de la gestion et de l’organisation du temps. Il s‘agit de la loi de Pareto et de la matrice d’Eisenhower.

La loi de Pareto, également appelée la loi 80/20 consiste à faire le tri entre l’essentiel et l’accessoire. 

Selon cette règle, si l’on veut être productif, on doit sélectionner les actions représentant 20% de son temps et qui apportent 80% des résultats. En parallèle, c’est également de mettre de côté les tâches qui prennent 80% de nos ressources pour seulement 20% de bénéfices.

Exemple : Vous avez 50 fiches produits à réaliser pour le lendemain, pour un client en rédaction web certes régulier mais pas très bon payeur. 

En parallèle, cela fait plusieurs jours que vous planchez sur un article invité pour un de vos blogueurs préférés et qui pourrait vous faire bénéficier d’une plus grande notoriété et donc potentiellement d’une clientèle supplémentaire.  

A votre avis, quelle action privilégier ? Si la raison pourrait faire pencher vers les fiches produits pour le court terme, en réalité c’est l’article invité qui vous rapportera le plus de bénéfices sur le moyen-long terme…

Voilà donc une application de la loi de Pareto (selon moi, je précise…)

La matrice d’Eisenhower est une méthode qui consiste à classer les tâches suivant leur degré d’importance et d’urgence

  1. Les tâches importantes et urgentes sont à réaliser en priorité ;
  2. Les tâches importantes, mais peu urgentes peuvent être reportées ;
  3. Les tâches non importantes, mais urgentes pouvant être déléguées ;
  4. Enfin, les tâches ni importantes ni urgentes peuvent être annulées ou reportées.

Pour ma part, ce n’est pas vraiment dans un cadre professionnel que j’ai pu vérifier l’efficacité de cette méthode.

Imaginez : un samedi matin tranquille, une fois n’est pas coutume, vous traînez au lit (le repos bien mérité de la guerrière après une semaine particulièrement intense), votre conjoint est déjà levé, il fait faire des activités manuelles aux enfants. 

La vie est belle, tout est sous contrôle….

Quand soudain, le coup de fil qui tue : votre amie d’enfance, Pauline, de passage à Paris, s’invite dans deux heures avec mari et enfants, pour déjeuner chez vous !

Branle-bas de combat dans la maisonnée, toute la petite famille mise à contribution pour faire de votre petit appartement encombré, un endroit spacieux, bien rangé, une vraie maison IKEA.

Là où la matrice d’Eisenhower est utile, c’est pour s’orienter vers les tâches ménagères vraiment importantes et urgentes, celles liées aux endroits où il y aura vraiment du passage de vos invités.

C’est par exemple reprendre votre conjoint qui s’attaque au nettoyage à grandes eaux des murs et des portes, tâche ni importante ni urgente dans le cas présent !

Il faudra plutôt l’orienter vers le rangement du placard de l’entrée, important et urgent, puisqu’au moment de l’arrivée et du départ de vos amis, tout ce petit monde va certainement y stationner un bon moment… 

Vous voyez ce que je veux dire, les départs qui n’en finissent plus, les dernières discussions sur le pas de la porte ?

Enfin, tout ceci, vous me direz, c’était avant le confinement…

Sur ce point, au moins, on va être tranquille un petit moment.

Astuce n°4 : Ne pas commencer de tâches avant d’avoir terminé celles en cours

Pour en revenir à notre super organisation de killeuse de la rédaction web et maman, on pense souvent être plus efficace parce qu’on fait plusieurs choses à la fois.

C’est vrai que dans notre monde actuel, il nous arrive souvent à la fois de lire ses mails, répondre au téléphone, consulter sa page Facebook et rédiger un article…

Pourtant, c’est est le meilleur moyen de se disperser car à vouloir tout faire, on ne fait pas grand-chose finalement.

Donc, dans la mesure du possible, il est conseillé de se lancer dans une tâche à la fois, de la terminer et de passer à une autre. 

Moi, j’appelle cela aussi « Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras » (je l’aime beaucoup ce proverbe…)

Je ne sais pas pour vous, mais de mon côté, j’aime beaucoup l’idée qu’une tâche est finie et que je n’aurai pas à y revenir.

Tout ce qui libère de la charge mentale est bon à prendre, n’est-ce pas ? 

Tenir compte du rythme de la famille quand on est rédactrice web en confinement

rédactrice web et confinement

Une première semaine de confinement avec les enfants et le conjoint vient de se terminer et vous avez tenu le coup ? Bravo !

Je ne veux pas casser l’ambiance mais savez-vous que nous sommes vraisemblablement partis pour 5 à 7 semaines de confinement en famille selon les zones A, B ou C (vacances scolaires d’avril comprises) ?

Allez, force et honneur !

On ne va pas se laisser abattre, on est des freelances, on a l’habitude de gérer des crises et de trouver des solutions !

Dans la suite de cet article, je vous donne toutes les astuces pour que tout se passe pour le mieux avec vos chères petites têtes blondes !

Astuce n°5 : Faire preuve de pédagogie et de patience (plus que d’habitude…)

« Trop bien, y’a plus école ! » 

 Qui n’a pas vu ses enfants fous de joie, danser devant la télévision, après l’annonce du Président de la République de la fermeture de tous les établissements scolaires jusqu’à nouvel ordre ?

Pour les enfants, au départ, le confinement n’est pas vraiment un problème, puisqu’ils sont avec papa et maman !

Mais peu à peu les tensions risquent de surgir car il faut gérer les devoirs, les écrans et l’ennui…

De plus, certains enfants, peuvent, à terme, être stressés par la situation nouvelle et les informations entendues ici et là.  

Ils ont alors tendance à se montrer « pot de colle » avec vous car c’est la seule façon qu’ils ont trouvé pour exprimer leur stress.

Si c’est le cas chez vous, n’hésitez pas à prendre un moment pour expliquer, en utilisant des mots simples, les raisons du confinement, en quoi le virus est dangereux et qu’il y a des chances réelles de le vaincre prochainement. 

Privilégiez l’écoute et la communication bienveillante.

Je sais : c’est plus facile à dire qu’à faire…

Vous allez forcément être irritable, après plusieurs jours à jouer les arbitres, dans un plus ou moins grand espace, sans avoir pu mettre le nez dehors…

Pourtant, dites-vous qu’avec les enfants, surtout les plus jeunes, le fait d’évoluer dans une ambiance sereine est le plus important.

Si vous sentez que vous êtes à deux doigts de craquer, n’hésitez pas à passer le relais à votre conjoint, pour vous isoler, le temps de vous calmer : prenez un bain chaud, écoutez une playlist de musiques apaisantes au casque, faites une séance de méditation.

Astuce n°6 : Superviser les devoirs sans pression inutile

N’en déplaise aux enfants, confinement n’est pas synonyme de vacances scolaires

Le gouvernement a mis en place des plateformes éducatives pour que les élèves puissent suivre les cours à distance, les enseignants envoient également des cours spécifiques par mail.

Idéalement, fixez un cadre dès le départ.

Préparez avec les enfants un planning journalier prévoyant les heures de lever et de coucher, les plages de travail scolaires, les repas, les temps de pause, les jeux, les activités détente en famille.

En général, les enfants aiment avoir un rythme régulier et pouvoir anticiper ce qu’ils vont faire par la suite, sauf s’il s’agit bien sûr d’ados en pleine crise !!

En ce qui concerne les apprentissages, ne vous mettez pas la pression ! 

Votre progéniture n’a pas besoin de faire ses devoirs 8 heures d’affilée.

Vous pouvez par exemple prévoir les activités scolaires le matin, quand les capacités intellectuelles de nos chères têtes blondes sont à leur maximum et les activités ludiques l’après-midi, en alternant la supervision avec votre conjoint.  

Astuce n°7 : Laissez les enfants s’autonomiser

Après les activités scolaires, place à la détente !

On pense tout de suite aux activités manuelles, très nombreuses et qui peuvent vous laisser quelques heures minutes de répit….

Inutile de toutes les énumérer, un petit tour sur PINTEREST vous donnera énormément d’idées.

Quelques exemples : dessins, origamis, coloriages, pâte à modeler….

Je vous fais grâce de la peinture et de la pâte à sel (est-ce vraiment le moment de se rajouter du nettoyage supplémentaire quand c’est déjà la forêt vierge dans la chambre des enfants, je vous le demande ?)

Pour ceux qui ont la chance de disposer d’un jardin, une multitude d’activités peuvent occuper quelques temps les enfants : faire des jeux d’extérieur, observer les insectes, collectionner des feuilles…

En ce qui concerne les écrans, déculpabilisez-vous !

La période est suffisamment exceptionnelle pour lâcher prise sur le sujet.

Il suffit simplement de sélectionner du contenu éducatif et culturel.

Ça tombe bien, en cette période, de nombreux éditeurs ouvrent l’accès gratuitement à leur contenu, compte tenu de la situation.

Pensez aussi à vous : vous n’êtes pas seulement rédactrice freelance et maman

rédactrice web et confinement : les astuces pour bien travailler

Vous connaissez la métaphore du masque à oxygène ?

Si vous avez déjà pris l’avion, vous savez que lors de la présentation des consignes de sécurité par les hôtesses de l’air et les stewards, on vous explique, notamment, de quelle manière utiliser le masque à oxygène qui tombe devant vous en cas de dépressurisation de l’appareil.

Ce qui m’a toujours surprise et que je comprends mieux maintenant que je suis maman, c’est que si l’on est avec un enfant, il est indispensable de mettre d’abord le masque sur son propre visage avant d’en mettre un à l’enfant.

Pourquoi ? Parce que si on s’évanouit avant d’avoir pu apposer le masque sur son visage, on ne pourra apporter d’aide à personne.

Moralité : si vous voulez prendre soin des autres, vous devez d’abord prendre soin de vous-même.

Astuce n°8 : Reposez-vous

Pour être encore plus productive, vous devez vous reposer

Idéalement, vous devez vous laisser des espaces dans votre agenda pour du « néant » au moins une fois par semaine.

Cela vous permettra de faire faire une pause à votre mental, ce qui contrairement à ce que l’on pourrait croire, est loin d’être une perte de temps.

Si vous êtes vraiment dans l’impossibilité de vous accorder une vraie pause « non, rien de rien, je ne ferai rien », réalisez des tâches qui vous demanderont moins d’attention, comme créer des visuels Instagram, rechercher des photos sur Internet etc… 

Attention : Essayez tout de même de limiter les pauses « réseaux sociaux », ce n’est pas forcément bon pour vos yeux ni pour votre crâne.

Efforcez-vous de vous lever, de marcher, de prendre un bol d’air frais sur votre terrasse ou à votre fenêtre.  

Cela vous sera forcément plus bénéfique.

Astuce n°9 : Pratiquez des activités qui vous plaisent

Le confinement peut également être une opportunité pour se reconnecter à soi et à ce qu’on aime faire. 

Vous avez déjà terminé le visionnage de vos séries NETFLIX en retard ? Vous connaissez toutes les combinaisons gagnantes de vos jeux de sociétés préférés par cœur ?  

Trouvez ou retrouvez des activités que vous appréciez particulièrement.

Vous n’aviez plus le temps de vous remettre au sport ? Pas d’excuses, durant cette période, de nombreux programmes de gym, yoga, fitness sont mis en ligne gratuitement.

Vous avez toujours voulu vous mettre au tricot ou au point de croix, maintenant que vous avez un peu plus de temps, profitez-en, lancez-vous !

Astuce n°10 : Soyez sur les starting-blocks pour l’après-confinement

Et si on voyait cette quarantaine comme une opportunité unique de faire le bilan sur son activité professionnelle ?

C’est le moment idéal pour : 

  • redéfinir ses objectifs (après tout, nous sommes encore en début d’année);
  • faire une prospection ciblée sur les prospects qui partagent vraiment nos valeurs;
  • préparer du contenu à l’avance pour son propre blog….

Et si c’était également l’occasion de se former et repenser les services que l’on offre à ses clients en tant que rédactrice web ? Copywriting, Community Management, SEO (Search Engine Optimisation) les possibilités sont infinies. 

 Et vous ? Quelles sont vos astuces durant cette période ? Discutons-en en commentaires.

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Quitter Son Travail : 13 Signes qui Prouvent que C’EST LE BON MOMENT

Quitter Son Travail : 13 Signes qui Prouvent que C’EST LE BON MOMENT

Soyons honnêtes, on a tous rêvé à un moment ou à un autre de changer de vie, de quitter son travail pour se lancer en freelance ou parcourir le monde. Ou les deux en même temps.

Combien d’entre nous sont passés à l’acte ?

Et pourtant, il arrive que notre job perturbe notre équilibre physique, mental et psychologique.

Comment déterminer si votre sentiment de ne pas être épanoui au travail est passager si c’est une situation plus profonde qui nécessite une reconversion professionnelle ?

Quels sont les signes qui montrent qu’on n’est pas heureux au travail et qu’on devrait en changer le plus rapidement possible ?

 

Quitter son travail : les signes à surveiller

 

Vous redoutez d’aller au travail

 

Vous endormez-vous chaque nuit en redoutant le jour suivant ? Ressentez-vous un stress, une angoisse liée au fait de revoir votre patron, vos collègues de travail ? Si vous redoutez profondément de passer chaque jour 8 heures en entreprise, il est peut-être temps de penser à une reconversion professionnelle.

Vous avez du mal à vous lever le matin

 

Vous avez beau mettre votre téléphone à 5 mètres pour vous pousser à vous lever, programmer une sonnerie en mode Bootcamp censée vous mettre un coup de pied aux fesses, préparer vos habits et votre petit dèj’ la veille, rien n’y fait : vous angoissez à l’idée d’aller au travail.

 

Vous procrastinez au bureau

 

Vous tournez en rond, plus que vous ne travaillez réellement. Tout le monde voit son attention faiblir de temps en temps. Mais si aucune de vos tâches ne vous passionnent, si vous passez des heures sur Facebook, Insta… demandez-vous si votre poste actuel vous convient vraiment. Vous êtes peut-être atteint d’un mal-être professionnel incurable.

Si jamais les symptômes perdurent, envisagez de consulter… les offres d’emploi.

 

Vous avez des ennuis de santé

 

Vous enchaînez les gastros, les grippes, les lumbagos… Vous ne dormez plus suffisamment. Vous ne supportez plus rien : les cris des enfants, le/la conjoint(e), vous-même. C’est bien simple, dès que quelqu’un parle de « travail », « patron », ou « bureau », votre frôlez la crise de tachycardie et vous avez envie de vous jeter sur votre boîte de Valium.

Stop, votre corps vous envoie sûrement des signaux d’alerte.

Aucun travail ne vaut la peine de sacrifier son bien-être.

 

Vous n’êtes pas récompensé à votre juste valeur

 

Vous avez terminé ce fichu dossier sur lequel vous bossez d’arrache-pied depuis 6 mois. Et avant la date prévue. Vous le présentez au boss, aussi fier qu’une maman devant le premier dessin de sa progéniture. Vous attendez la pluie de compliments. Et puis…

Rien.

Vous auriez pu avaler des marshmallows par le nez en moins de 15 secondes que ça aurait eu plus d’effets.

Être reconnu pour son travail, c’est la base de la motivation professionnelle. Alors, les supérieurs qui ne vous félicitent jamais et qui refusent systématiquement vos demandes d’augmentation pourtant légitimes…

NEXT.

 

Vous vous ennuyez comme un rat mort

 

Vous êtes arrivé à 8h30. Vous faites une pause à 45. Une autre une demi-heure plus tard. À 11 heures, vous avez fini votre journée.

Le calvaire commence…

Il va falloir tuer 6 heures à coup de tchat sur Messenger, commandes sur Wish et discussions autour de la machine à café.

 

Vous ne dites jamais rien de positif sur votre job

 

Le patron est un tyran, la secrétaire est aussi intéressante qu’un documentaire de Chasse&Pêche, la collègue qui partage votre bureau sent la friture, les horaires sont difficiles, le salaire trop bas…

Chaque soir, en rentrant, vous vous plaignez sans cesse. Votre conjoint(e) vous écoute sans dire un mot, puis vous levez les yeux et vous vous rendez compte qu’il / elle en avait assez de vous entendre et qu’il / elle a fait ses valises il y a plus d’une semaine déjà !

 

Vous n’avez aucune perspective d’évolution

 

Ne perdez pas de temps avec un poste qui n’offre aucune possibilité d’avancer. Consacrez votre temps et votre énergie à un projet de vie qui vous correspond, pas à une entreprise qui veut que vous restiez scotché au même fauteuil de bureau pendant 35 ans.

Quitter son travail, c’est aussi grandir.

 

La culture d’entreprise… ce n’est pas pour vous

 

Si vous avez envie d’un environnement de travail flexible, mais que vous êtes coincé dans un travail traditionnel en 9-17,  vous ne serez probablement jamais satisfait, peu importe combien vous aimez les autres aspects de votre job.

Si vous avez essayé – et échoué – de négocier un horaire qui vous convient, envisagez un emploi qui s’adaptera à votre style de vie rêvé.

 

Vous ne pouvez pas vous exprimer au travail

 

Vous devez vous sentir suffisamment confiant et à l’aise au travail pour exprimer votre opinion, partager vos pensées et vous exprimer. Un environnement professionnel oppressant n’a jamais rendu quiconque heureux.

 

Vous enviez tous ces gens qui ont un job de rêve

 

Vous lisez des blogs (comme celui-ci) de personnes qui aiment leur job, qui sont passionnées, qui ont réussi leur vie et ça vous donne envie de faire pareil.

 

Vos enfants vous manquent

 

Je discute souvent avec des mamans qui envient mon mode de vie. Je suis là quand les enfants rentrent de l’école, pas de nounou miracle à chercher, de plan B à dégainer quand ils sont malades, pas de stress le matin parce que je suis en retard au travail.

Et le fait de ne pas être assez présente pour les enfants peut être une réelle frustration, notamment chez les mamans.

À un certain moment, si les enfants manquent, c’est que l’idée de quitter son travail nous guette.

 

Vous lisez cet article

 

Logique 🙂

Si vous lisez ces lignes, c’est que vous envisagez déjà de quitter votre emploi. Alors, il est peut-être temps de passer à autre chose.

 

Et que faire après avoir quitté son travail ?

 

Alors, oui, c’est facile pour moi de vous dire qu’il faut quitter son emploi quand rien ne va plus. Mais vous pourrez me rétorquer que les factures, elles, ne s’envolent pas comme par magie. Il faut toujours payer le loyer, l’essence, la nourriture, le sport des enfants…

Vous avez raison.

 

Quitter son travail et créer un business en ligne

 

écrire pour le web

 

Primo : en France (et en Belgique aussi d’ailleurs), vous pouvez exercer un travail à la maison en complément de votre activité salariée. C’est une chance pour tester votre idée et ne pas vous lancer dans l’inconnu.

Secondo : si l’idée de travailler en ligne vous tente mais que vous ne savez pas quoi faire, je vous donne ici une liste de 30 idées de business à créer quand on veut quitter son job et se lancer sur internet.

 

Allez y jeter un œil, qui sait, peut-être que votre nouveau travail se trouve dans cette liste 😉.

 

Kiffer votre nouvelle vie

 

Il suffit de parcourir certains groupes Facebook, des forums ou de lire des témoignages sur des blogs pour vite se rendre compte d’une chose : 99% des gens qui ont quitté leur travail pour se lancer sur le web ne reviendrait à leur ancien poste pour rien au monde.

 

Pour quelle raison ? La LIBERTÉ.

 

  1. Ne plus travailler sous les ordres d’un supérieur hiérarchique.
  2. Travailler quand on le souhaite : le soir, le weekend. Envie de travailler pendant que les enfants sont à l’école ?  Vous pouvez aussi ! Vos enfants sont instruits à la maison, c’est possible aussi.
  3. Travailler depuis n’importe quel endroit dans le monde : votre canapé, un espace de co-working, le jardin, à l’hôpital (c’est du vécu!), au parc de jeu pendant que les enfants s’amusent. Vous pouvez aussi devenir digital nomade. Parcourir la planète tout en travaillant… mon rêve à moi 🙂

 

Quitter son travail pour vivre son rêve et suivre ses envies peut faire peur à certains d’entre vous. Mais si d’autres l’ont fait, pourquoi ça ne marcherait pas pour vous ?

Un conseil : lancez-vous,

 

Jennifer