Vous recherchez un métier en ligne en lien avec l’écriture ? La création de contenu ? Vous avez peut-être déjà entendu parler de rédaction web et de copywriting mais ne savez pas lequel des 2 vous correspondrait le mieux ?
Dans cet article, je vous détaille les caractéristiques de chacun de ces nouveaux métiers du web. En mode battle.
Vous n’aurez plus qu’à faire votre choix à la fin de la lecture 🙂
Rédacteur web vs. Copywriter : quelles différences ?
1.Objectif final
La mission principale du rédacteur web est d’informer son lectorat. Il s’assure que le contenu qu’il rédige est exhaustif et bien optimisé pour les moteurs de recherche.
De cette façon, il garantit une bonne expérience utilisateur et maximise ses chances d’accroître le trafic du site.
Le métier de copywriter est également lié à la création de contenu. Toutefois, son but premier est d’écrire pour persuader et vendre (un produit, un service, etc.).
2. Stratégie de travail
Le rédacteur web travaille sur un content marketing long terme. Il recherche les mots clés les plus intéressants et définit un branding qui apporteront des prospects qualifiés au site.
Même si l’étude du marché est importante, elle n’a pas la dimension « portrait psychologique » que doit établir un copywriter. Un bon rédacteur publicitaire doit en effet connaître son prospect de l’intérieur pour le toucher en plein cœur et espérer vendre. Il passera du temps avant de rédiger sa page de vente ou ses emails à étudier la psychologie de sa cible.
De même, le copywriter vise l’action immédiate (notamment en jouant avec le sentiment d’urgence).
Rédacteur web vs. Copywriter : mais aussi des similitudes
Rédacteur, copywriter, tous deux exercent majoritairement en freelance, pour des clients (entreprises, infopreneurs, etc.).
Côté compétence, même combat : leur maîtrise de la langue française doit être irréprochable (vous achèteriez un régime amincissant si la page de vente est bourrée de fautes, vous ?).
Si vous pensez avoir des failles en syntaxe, grammaire ou orthographe, vous ne pourrez jamais réussir dans aucun de ces 2 métiers du web.
Pour se démarquer de la concurrence, le rédacteur web doit avoir des notions en copywriting. Vice-versa, comprendre le SEO en tant que rédacteur publicitaire est un gros plus. Ces métiers sont donc plutôt complémentaires. Voilà pourquoi il est courant de voir des copywriters qui ont débuté en rédaction web.
La possibilité de se former en autodidacte : rédacteur web
Aucune de ces professions du web n’est réglementée.
Pour vous, ça veut dire quoi ?
Qu’il est tout à fait possible d’apprendre la rédaction web et le copywriting seul. En autodidacte. Ça prendra plus de temps, mais c’est faisable.
Petit bémol tout de même : le copywriting requiert des compétences plus profondes que la rédaction web. Pour moi, une bonne formation en copywriting est nécessaire pour bien appréhender le métier. Alors qu’une formation en rédaction web est moins indispensable. Même si se former est toujours un gros plus, soyons honnêtes.
Conclusion : si vous cherchez à vous reconvertir professionnellement sans avoir à suivre une formation sur plusieurs semaines/mois, c’est la rédaction web qu’il vous faut.
Le salaire : copywriter
Là, pas de doute possible.
Rédiger des argumentaires de vente est plus rentable que des articles de blog par exemple.
Petite comparaison…
Un très bon rédacteur web peut espérer gagner 3 000 € à 4 000 €/mois en travaillant 5-6h/jour (bonne vitesse de frappe, client qui paie bien, niche spécifique). C’est un peu la situation rêvée. Dans la majorité des cas, un rédacteur ou une rédactrice web gagnera 2 000 € à 2 500 €/mois.
Quant au copywriter, le nombre de ses clients est inférieur (2 ou 3 par mois), mais chacun d’eux peut lui rapporter 2 000-2 500 € pour la rédaction d’une page de vente (niveau intermédiaire). Total : 5 000 € à 7 500 €/mois.
Il n’y a pas photos.
Pour les très bons copywriters, les compteurs s’affolent (plusieurs dizaines de milliers d’euros de CA mensuel). Mais bon, pour en arriver là, faut gratter du papier.
Conclusion : si vous cherchez un métier sur internet lié à l’écriture, encore peu concurrentiel et super bien payé, le copywriting peut vous intéresser.
Facilité à trouver des missions : égalité
Alors là, je m’explique.
Oui, la rédaction web est aujourd’hui très concurrentielle. Il n’y a qu’à voir le délai d’attente sur les plateformes de rédaction pour s’en rendre compte.
(Je vous conseille d’ailleurs d’aller lire cet article pour voir ce que je pense de ces usines à création de contenu).
Oui, se lancer en rédaction web sans réseau ni expérience peut être de plus en plus long.
Mais il existe des stratégies pour se démarquer et trouver de très bons clients. Elles fonctionnent depuis la nuit des temps, pour tous les domaines. C’est sur ces stratégies que j’ai bâties ma formation Stratégie Gagnante.
Et ça marche. Bon nombre des personnes ayant investi dans cette formation en ligne ont trouvé des missions avec des clients réguliers. Il n’y a pas de secrets, que du bon sens !
Pour le copywriting, l’offre est beaucoup moins importante, et la demande en forte hausse.
Là, c’est bingo !
Et même si de plus en plus de gens se déclarent copywriters, il n’y en a que très peu de bons. Ce qui vous laisse énooooormément de place pour faire votre trou dans la profession.
Conclusion :
trouver du travail en rédaction web est assez simple si on est doué et que l’on met en place les bonnes stratégies de prospection
devenir copywriter pro rapidement est possible si on est bon en copywriting, tout simplement. Le client se rendra bien vite compte de vos talents (après analyses de ses ventes).
Avenir du métier : égalité, mais léger avantage pour le copywriter
La rédaction web et le copywriting sont 2 métiers du web à fort potentiel de croissance.
Aucune entreprise digne de ce nom ne peut se permettre d’être absente de la toile aujourd’hui. Et toutes doivent vendre quelque chose pour vivre.
Elles ont donc besoin de :
contenu régulièrement pour alimenter leur site et favoriser leur seo (rédaction web)
persuader ses prospects pour qu’ils passent à l’achat (copywriting)
Pas d’extinction de métiers en vue donc ! Mais si j’étais à votre place, là, en 2022, j’opterais sans hésiter pour le copywriting. La faible concurrence est tout de même un atout non négligeable. Et l’on n’est pas à l’abri d’une paupérisation encore plus forte du métier de rédacteur web.
Alors, rédaction ou copywriting ? Lequel allez-vous choisir pour vous lancer sur le web ?
Travailler à la maison et gagner de l’argent vous tente mais vous n’osez pas passer à l’action ?
J’ai listé 10 avantages d’être une mumpreneur, à son compte, sans boss. Un petit article léger qui fait du bien 🙂
# 1 – Vous avez du temps à consacrer à vos enfants
C’est clairement l’avantage n°1.
Les galères de l’enfant malade, du prof absent, de la grève des enseignants, tout ça, les mumpreneurs ne connaissent pas. Quand je vois des amies hyper stressées quand un grain de sable vient perturber leur organisation millimétrée, je me dis que j’ai vraiment de la chance.
Quelle charge mentale en moins !
Bon OK, ce serait mentir de dire que vous pouvez vous occuper de vos enfants tout en travaillant. Après tout, être freelance est un vrai métier. Avec des deadlines à respecter, une certaine discipline à adopter, etc.
Mais quand même :
vous partagez vos repas avec eux
vous êtes là pour eux, tout le temps
ils ne sont pas livrés à eux-mêmes le soir après l’école (vous êtes certaine que les devoirs sont faits ;))
Et puis, vous n’êtes pas obligée de travailler au milieu du salon. Rien ne vous empêche de vous isoler pour travailler de façon productive tout en gardant un œil sur ce qu’ils font.
Évidemment, c’est plus facile quand ils sont grands. Expliquez-leur que maman a du boulot et qu’elle n’est pas dispo pour jouer/corriger les devoirs/gérer les conflits…
Travailler à la maison avec bébé, en revanche, nécessite un peu plus d’organisation. Pour votre bien-être (et celui de votre bout de chou), n’hésitez pas à faire appel à la nounou 1 ou 2 fois par semaine. Ça vous permet de vous concentrer sur vos tâches les plus énergivores et d’avancer sur vos projets. Réservez les jours où vous avez bébé à la maison pour l’administratif, la prospection client, etc.
# 2 – Travailler à la maison sur internet : vous faites des économies
Économies de nounou, de cantine, de garderie du matin/soir.
Sans oublier les dépenses liées à un travail salarié classique (repas du midi, carburant, abonnements de transports en commun, usure de la voiture…).
Mine de rien, ça se chiffre à quelques milliers d’euros par an.
Sortez vos calculatrices, vous serez impressionnée de tout ce que vous pourriez mettre de côté si vous décidez de travailler à la maison sur le web.
# 3 – Vous gagnez souvent plus qu’en travaillant pour un patron
OK, ça dépend du type de métier à domicile que vous exercez. Et si vous êtes freelance, vous êtes également tenue par les prix du marché.
Toutefois, j’ai des solutions :
être la meilleure dans ce que vous faites. Les bons clients savent reconnaître le travail de qualité et sont prêts à payer pour ça
choisir une niche, se spécialiser et augmenter vos tarifs. Personne ne rechignera à vous payer plus cher vu que vous possédez des compétences rares
créer un business en ligne où vous êtes la seule maîtresse à bord. En étant web entrepreneure, vous pouvez gagner 3,5,10 fois plus que votre job salarié
Un des plus grands avantages de travailler à la maison, c’est la flexibilité.
Vous aménagez vos horaires comme bon vous semble. Vous êtes plutôt du matin, du soir ? Vous avez fait la fête hier et avez besoin de faire la grasse mat’ ? À parti du moment où le job est fait, c’est OK.
Certaines personnes (dont moi) détestent avoir des horaires imposés (le 9-17, très peu pour moi). Ou de devoir demander la permission pour faire une pause toilettes (j’ai entendu une caissière le faire la semaine dernière !).
Le fait de pouvoir gérer son emploi du temps comme on le souhaite, ça, c’est la vraie liberté. Et je pense que c’est ce que je préfère dans mon métier.
# 5 – Travailler chez soi pour faire ce que l’on aime
Quand j’imagine la vie de salariée à laquelle on m’a préparé durant toute ma scolarité, je me dis que j’ai clairement fait le bon choix.
Je serais enfermée dans un bureau.
Je m’ennuierais sûrement.
Je regarderais par la fenêtre et rêverais de profiter de ce soleil radieux plutôt que d’être là.
Même si j’avais choisi ce travail, je finirais par le détester parce qu’il ne correspondrait plus à mon statut de maman.
J’en voudrais à mes parents, à mes profs, à mon boss et mes collègues. À la Terre entière.
Vous pensez que je noircis le tableau ?
C’est exactement ce dont se plaignent mes amies salariées.
Exercer un métier en freelance, depuis chez soi, est, dans 90% (99% ?) des cas, un choix assumé. Vous vous lancez après une longue réflexion, sur le fait de quitter son travail, sur le métier de vos rêves.
Résultat : vous faites un job que vous aimez tant que vous n’avez même plus l’impression de travailler.
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. »
(Confuscius)
# 6 – Vous vous sentez utile en travaillant à domicile
Un trait commun que partagent la majorité des mères au foyer, c’est de se sentir inutile, de n’avoir aucun rôle à jouer dans la société.
OK, vous êtes utile pour votre famille. Vous gérez l’organisation de la maison, préparez les repas, emmenez les enfants aux activités, veillez à ce que tout le monde vive dans un environnement sain…
Mais vous ne vous sentez pas épanouie. Quelque chose vous manque.
J’ai connu ça. La dépression de la mère au foyer.
En travaillant à la maison, j’ai non seulement acquis ma liberté financière, mais je me suis sentie vivre. Enfin. Des gens ont besoin de vos compétences, ils vous disent merci. Vous les aidez à faire grandir leur propre entreprise.
Je peux vous affirmer que ce sentiment vous donne la pêche pour vous lever le matin.
# 7 – Travailler à la maison : c’est parfait pour les personnes mal à l’aise en société
J’entends par là les personnes introverties, timides, à haut potentiel, autistes et j’en passe. Bref, tous ces gens pour qui le contact social n’est pas si évident à créer. Pour qui travailler dans une entreprise, parler en public, assister à réunions entre collègues ou se taper des after-works est synonyme de souffrance.
Il est donc préférable, dans ce cas, d’exercer une profession où elles pourront choisir leurs relations professionnelles et gérer le niveau de leurs interactions sociales.
# 8 – Vous n’êtes plus esclave de votre garde-robe
Fini les tailleurs à la Margaret Thatcher, la coiffure qui va avec et les escarpins à talons trop serrés.
Bye bye la torture !!!
Vous pouvez travailler en PYJAMA, en costume traditionnel chinois, en combinaison de ski, sans rien ;), tout le monde s’en fout.
Vous faites CE QUE VOUS VOULEZ.
# 9 – Vous travaillez avec qui vous voulez
Vous choisissez vos clients, vos collaborateurs, vos partenaires. Vous mettez un terme à toute collaboration dans laquelle vous n’êtes pas à l’aise. Vous refusez les clients qui ne paient pas assez. Le vrai pied !
Si vous avez déjà travaillé dans une entreprise, avec des collègues, vous savez à quel point en supporter quelques-uns peut s’apparenter à une séance de torture à Guantanamo. En travaillant de chez soi, c’est finito !
# 10 – Vous travaillez d’où vous voulez
À partir du moment où vous avez une connexion internet et un ordinateur, vous êtes the queen of the world. Travailler à la maison, c’est aussi pouvoir travailler à Bali, au Brésil, au Japon, au Canada (ou encore à Toulx-Sainte-Croix, dans la Creuse).
Perso, j’ai toujours rêvé d’être digital nomad. Faire le tour du monde avec mon ordi sous le bras. Travailler 3 heures par jour et visiter le reste de la journée. Ça ressemble à la vie idéale.
Bon, mes enfants et mon mari sont d’un autre avis. Dommage.
Mais c’est possible pour qui souhaite se lancer.
Et vous, travailler à la maison, ça vous donne envie ou pas ? Pour quelles raisons ?
Travailler de chez soi, que ce soit pour toucher un complément de revenus ou avoir un vrai métier avec un bon salaire, c’est possible avec internet.
J’en suis la preuve vivante. Tout comme des milliers de personnes en France.
Même sans expérience, il est assez facile de faire son trou et de travailler chez soi sans diplôme.
Je vous donne une liste d’emplois à domicile idéaux pour tous ceux qui ne veulent pas/plus du salariat.
Travailler chez soi sans diplôme : les prérequis
Travailler à domicile est le rêve de milliers (millions ?!) de Français. Mais pour être tout à fait honnête, ce n’est pas donné à tout le monde.
En devenant freelance :
vous abandonnez une partie des privilèges du salariat. Plus de congés payés : quand vous ne travaillez plus, vous ne percevez rien. Plus de salaire fixe, de tickets resto…
vous n’avez plus personne pour vous dicter vos tâches. C’est le bon côté du travail indépendant, mais qui peut facilement se retourner contre vous
Voici 7 qualités pour pouvoir exercer un métier à domicile…
La rigueur
Le freelancing implique un travail constant, de la persévérance et de la témérité. Sans un minimum d’endurance et d’efforts réguliers, il vous sera très difficile de tenir plusieurs mois et de développer votre entreprise.
Le soleil brille et vous avez envie d’une séance farniente dans le jardin au lieu de travailler ? C’est humain. Mais alors, forcez-vous à travailler 2 ou 3 heures, vous profiterez de votre jardin après.
Si vous vous laissez aller, vous finirez par générer des pensées négatives, du stress et un énorme manque de confiance en vous.
Le meilleur moyen d’éviter ça, c’est de mettre en place des petits rituels, comme :
se doucher et s’habiller avant de travailler
vous faire un bon café, allumer votre ordinateur et répondre à vos mails (histoire de commencer la journée en douceur)
planifier sa journée en listant les tâches par ordre d’importance
mettre une musique d’ambiance spéciale « travail’
L’organisation
Un travailleur indépendant gère souvent plusieurs projets en même temps. Il doit aussi s’occuper de la compta (création de factures, relances, etc.), chercher des clients, faire le job pour lequel il est payé, gérer sa présence sur les réseaux sociaux…
De quoi se retrouver submergé sans un minimum d’organisation. Le top, c’est de se créer un emploi du temps sur-mesure, avec telles heures allouées à telles tâches. C’est, d’après mon expérience, le meilleur moyen de ne pas devenir multi-tâches et contre-productif.
La polyvalence
Comme je l’ai dit plus haut, 70% du temps de travail d’un freelance est consacré aux tâches autres que son cœur de métier :
compta
prospection
développement de son autorité
gestion de son site (le cas échéant)
C’est la raison pour laquelle toute personne qui souhaite travailler de chez soi sans diplôme devra quand même, à un moment ou à un autre, se former pour acquérir des compétences essentielles.
L’autonomie
Plus de boss pour vous donner des directives. Plus de secrétaire pour organiser vos rendez-vous. Plus de collègues pour vous filer un coup demain sur un dossier qui traîne. Plus personne… mis à part vous.
Votre indépendance vous confère une certaine liberté, certes. Mais vous allez devoir à apprendre à composer seul maintenant.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des tas de forums ou des groupes d’entraide sur les réseaux sociaux où vous pourrez trouver de l’aide pour à peu près tous les problèmes.
La patience
Vous connaissez l’adage : tout vient à point qui sait attendre.
C’est encore plus vrai quand on travaille de chez soi.
Mis à part quelques exceptions, il est très rare d’avoir une clientèle fidèle dès le premier mois en tant qu’indépendant. À titre d’exemple, j’ai mis 2 mois pour décrocher un premier contrat de rédaction web. Heureusement, tout s’est enchaîné après, mais ce fut 2 mois de recherches, de lectures et d’attentes en tous genres.
Si j’avais jeté l’éponge au bout de 2 semaines, je ne serais pas là où je suis aujourd’hui.
Morale de l’histoire : construire son entreprise prend du temps. Utilisez votre temps libre du début d’activité pour vous former et vous faire connaître.
La créativité
Pour se démarquer de vos concurrents, soyez créatifs. Utilisez des canaux d’acquisition originaux, apprenez à décoder ce que les prospects ne disent pas, proposez-leur des solutions auxquelles ils n’auraient pas forcément pensé. Prouvez que vous êtes le meilleur freelance du monde.
Le goût du risque
Quitter son emploi salarié pour travailler chez soi, c’est partir à l’aventure. On ne sait pas où on va, qui on va croiser sur notre route, quels déboires on va rencontrer, quels bonheurs vont nous réjouir.
Bref, entre les revenus irréguliers, les retours clients, les jours d’intense productivité et ceux à ne rien faire, il faut être amateur de sensations fortes pour choisir ce statut.
Mais qu’est-ce que ça en vaut la peine 🙂
Comment trouver un bon travail à domicile ?
Beaucoup de sites proposent de gagner de l’argent en restant à la maison, mais attention aux fausses promesses.
Si vous voulez vivre de votre nouveau travail ou avoir un complément de revenus satisfaisant, il va falloir faire sûrement plus que de coller des enveloppes, répondre à des sondages rémunérés ou alimenter de faux profils.
Dans cet article, je veux vous aiguiller vers un travail à domicile sérieux. Pas le genre d’activités payées 3 francs 6 sous qui sont soi-disant des bons plans.
Comment les trouver ?
En vous adressant aux entreprises pratiquant le télétravail : c’est un bon moyen de travailler chez à la maison tout en étant salarié (et donc protégé)
En épluchant les sites de freelances comme codeur.com ou encore malt
En postulant auprès d’entreprises qui externalise sa relation client
En créant votre micro-entreprise afin de proposer vos services, tout simplement (le statut de la micro-entreprise est compatible avec celui de salarié)
Exemples d’emplois à domicile sur internet
Créer une boutique e-commerce
Vendre des produits en ligne est un bon moyen de commencer une activité de chez soi. Cela ne nécessite pas de compétences particulières grâce aux différents outils clés en main comme Shopify.
Vous avez le choix entre vendre vos propres créations (bijoux, vêtements, cadeaux personnalisés, etc.) ou les produits des autres. Et en optant pour le dropshipping, vous n’avez aucun stock à gérer. Votre client passe commande sur votre site, les détails de la commande sont ensuite envoyés aux grossistes pour être traités. Tout se fait à distance.
Il y a de très beaux exemples de réussite en dropshipping (je vous laisse parcourir YouTube pour voir). Le tout, c’est trouver la bonne niche.
Gérer la relation client d’une entreprise à domicile
Aussi surprenant que cela puisse paraître, beaucoup d’entreprises de renom externalisent la gestion de la relation client à des freelances.
En quoi consiste le métier de chargé de relation client à distance ?
Prises de commandes par téléphone
Réponse aux questions des clients par mail ou téléphone
Déclenchement d’interventions
Service réclamation
Redirection vers les services adaptés
Résolution de litige
Tout ce qu’il vous faut, c’est posséder un ordinateur (PC), une connexion internet haut débit et un micro-casque.
Devenir community manager
Un community manager gère la stratégie social media de ses clients (Youtube, Facebook, Twitter, Instagram, etc.). Il :
engage la conversation avec la communauté
crée la stratégie de contenus
organise des concours, des rencontres
fidélise le client
analyse l’efficacité de ses actions
Autant le dire tout de suite, c’est un vrai job. Même si le métier ne requiert pas de diplôme à proprement parler, l’aspirant community manager doit avoir suivi une formation de qualité.
Travailler chez soi sans diplôme en devenant web developper
Le web developper a la mission de s’occuper du développement informatique des sites Internet de ses clients et de leur maintenance.
C’est un expert en programmation. PHP, Java, SQL, ASP, mais aussi en CMS et Framework… aucun langage informatique ne lui résiste ! C’est grâce à ces compétences qu’il pourra choisir la solution technique la plus appropriée à son projet.
Comme pour tous les métiers que je cite dans cette liste, ce travail est accessible sans diplôme. Aucun client ne vous demandera si vous avez bien votre BTS ou votre DUT informatique en poche. Mais vous l’avez vu, vous aurez besoin de posséder des connaissances techniques pointues. On ne s’improvise pas développeur web du jour au lendemain.
Vous devrez donc dans tous les cas vous formez pour apprendre le métier.
Se lancer en tant que rédacteur web freelance
C’est avec ce métier que j’ai repris ma carrière professionnelle en main.
Un rédacteur web écrit du contenu destiné à être publié sur le web pour le compte de clients (entreprises, infopreneurs, agence de rédaction, etc.). S’il y a bien un métier qui permet de travailler chez soi sans diplôme, c’est celui-là.
Il vous suffit juste de maîtriser le français, de savoir analyser et synthétiser des informations sur internet, de rédiger assez rapidement et de savoir écrire pour le web.
Même si beaucoup de monde souhaite devenir rédacteur web à domicile, il est très facile de trouver des clients réguliers et de bien en vivre.
Un copywriter écrit des argumentaires de vente pour le compte de ses clients. En d’autres termes, il utilise les mots pour vous vendre un produit ou un service, sans que vous vous en aperceviez.
Le copywriter, c’est un peu comme un rédacteur web très haut de gamme. Et ça se ressent sur les prix. Là où un rédacteur poura difficilement demander plus de 8 ou 9 centimes/mot à un client pour la rédaction d’articles de blog, le copywriter, lui, peut facilement exiger 2 000 € pour une seule page de vente.
Créer un business en ligne via un blog fait partie des meilleurs plans pour travailler chez soi sans diplôme.
Mais attention, sans diplôme ne veut pas dire sans expertise. En effet, pour créer un blog sur un sujet, il faut que vous ayez un certain niveau de connaissances sur le sujet en question.
Voici comment ça marche :
Vous créez un blog sur une thématique spécifique
Vous proposez du contenu gratuit intéressant et qui aide vos prospects
Vous récoltez des adresses mail en échange d’un « cadeau » gratuit (ebook, quizz, masterclass…)
Vous vendez des produits d’information en ligne
Le business model du blogging est l’idéal si vous souhaitez générer des revenus passifs. Mais comme pour tout, il faut travailler dur avant de pouvoir en vivre.
Et surtout, il faut construire une stratégie de contenus en béton, avec des articles qui donnent envie à votre cible et bien référencés pour le SEO.
Lorsqu’un entrepreneur est débordé, il a tout naturellement besoin d’une assistante pour le seconder.
Mais rares sont ceux qui pourront se permettre financièrement d’embaucher une personne à temps plein sur un poste d’assistant, ou n’ont simplement pas la charge de travail nécessaire pour occuper un temps plein. Et c’est là qu’intervient l’assistante virtuel (je mets au féminin car il s’agit majoritairement de femmes).
Une assistante virtuelle travaille à distance et effectue les mêmes tâches qu’une secrétaire classique :
saisie informatique
prospecter de nouveaux clients
répondre aux appels téléphoniques
organiser l’agenda
numériser des documents
gérer les mails, les litiges
Pas besoin de réel diplôme donc, et c’est ça qui est top quand on recherche un travail à la maison qui ne demande pas de suivre une formation avant. Seules compétences pour devenir assitante virtuelle :
maîtriser l’outil informatique
savoir bien s’exprimer à l’écrit et à l’oral
être rigoureuse et organisée
Travailler de son domicile avec l’affiliation
L’affiliation, c’est le fait de recommander un produit qui n’est pas le vôtre et de toucher une commission sur chaque vente réalisée via votre lien affilié.
L’avantage, c’est que vous n’avez pas besoin d’avoir un blog ou une communauté pour gagner de l’argent via ce canal. L’inconvénient, c’est que certains sont prêts à recommander n’importe quelle m…. pour gagner de l’argent.
Travailler chez soi sans diplôme et sans budget : mon témoignage
Pour être tout à fait honnête, je n’ai que très peu travaillé en tant que salariée. J’ai bossé 1 mois au McDo quand j’étais jeune, j’ai été vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter pendant 2 mois puis 1 an en tant qu’assistante d’éducation.
Je suis devenue traductrice freelance après avoir décroché mon master et j’ai arrêté pour m’occuper de mes enfants. En 2017, j’ai commencé l’aventure de la rédaction web, puis du copywriting.
Je suis la preuve vivante que l’on peut travailler chez soi sans diplôme (bon, j’avais un master de traduction, mais je ne connaissais rien à la rédaction sur le web) et sans budget.
Quand j’ai commencé en juillet 2017, j’avais un mini PC 11 pouces (qui s’arrêtait net dès qu’il n’était pas branché 😂😂😂). Je devais travailler avec l’ordi toujours branché à une prise sous peine de perdre tout mon travail (c’est arrivé une paire de fois). J’ai obtenu mes premiers clients, un nouvel ordinateur :), et j’ai travaillé, travaillé, travaillé.
Aujourd’hui, je suis web entrepreneure. Je gagne très bien ma vie, principalement grâce à mes formations (je rédige de temps en temps des pages de vente pour des clients). Et ce que je peux vous dire, c’est ceci :
Oui, on peut travailler de chez soi sans diplôme. Je veux dire, avoir un vrai métier qui nous fait vivre. En France.
Il suffit juste de s’accrocher et de ne rien lâcher.
Certes, il y a toujours cette appréhension du lendemain (on n’est jamais sûr de rien). Mais je n’échangerai ma place pour rien au monde. Pouvoir être présente pour mes enfants, voyager ou prendre des pauses quand je le décide moi, ne pas travailler tel jour parce que j’ai un rdv médical, ou parce que je n’en ai pas envie tout simplement. Ça vaut toute la sécurité du monde.
Si vous en avez assez de votre travail, que vous ne pouvez pas travailler en entreprise (à cause de vos convictions religieuses ou parce que vous avez beaucoup d’enfants) et que vous recherchez un travail à domicile, je vous conseille vivement de ne pas attendre trop longtemps. Personnellement, je ne connais aucun freelance qui regrette sa décision de s’être lancé à son compte.
La plupart des emplois que je vous ai listés ici sont accessibles sans diplôme. Tout ce qu’il vous faudra, c’est vous former pour apprendre le métier (vous pouvez le faire en autodidacte, mais ce sera plus long).
Vous avez fait vos premières recherches sur ce métier du web.
Vous vous demandez maintenant si les plateformes de rédaction sont un bon moyen de se lancer. C’est d’ailleurs ce qu’on vous a conseillé.
Sauf que quand vous avez vu la rémunération, vos rêves d’indépendance et de travail à la maison se sont vite envolés.
Alors, plateformes de rédaction web ou pas quand on est rédacteur web débutant ? Je vous donne mon avis sur la question. Sans filtre.
Une plateforme de rédaction, c’est quoi ?
Fonctionnement d’une plateforme de rédaction web
Une plateforme de rédaction web, de son joli nom, met en relation rédacteurs web freelances et personnes ayant des besoins en contenus web.
Pour faire intello lors d’une soirée entre copains, vous pourrez parler d »ubérisation » du marché de la rédaction web et freelance en général.
Pour s’inscrire sur une plateforme de rédaction, le rédacteur freelance doit bien souvent rédiger un court article test et donner des informations sur son profil (nom, prénom, expériences, niveau d’études, etc.). La plateforme évaluera alors le niveau du candidat, ce qui lui permettra de lui proposer des projets en adéquation avec ses compétences en rédaction web.
Selon les plateformes, le fonctionnement est différent :
certaines proposent des missions pour lesquelles les écrivains indépendants postulent ;
d’autres sélectionnent des freelances puis leur proposent des projets d’écriture.
Le client choisit alors un profil selon sa réactivité, ses compétences et les avis des autres clients. Le rédacteur web rédige le texte (article de blog, fiches produits, ebooks, etc.) qui est à son tour corrigé et scanné par la plateforme, ceci pour s’assurer de l’absence de duplicate content. Enfin, le client laisse un avis sur la prestation qu’il a payée.
Avantages des plateformes pour rédiger sur le web
Pour quelqu’un qui débute en rédaction web et qui se demande comment trouver des clients, les plateformes apparaissent un peu comme un Eldorado. Elles sont un moyen de démarrer :
sans portfolio
sans réseau
sans expérience dans ce métier digital
sans numéro SIRET.
Tout ce que vous avez à faire, c’est de :
vous inscrire
rédiger un article test
attendre patiemment que l’on vous évalue
commencer à écrire
toucher vos premiers euros.
Pas besoin de chercher des clients par vous-même, ni de perdre du temps à faire des factures. Les plateformes de rédaction web s’occupent de tout.
Génial non ?!
Inconvénients des usines à rédacteurs
Oui, mais non en fait.
Parce que si vous envisagez de devenir rédacteur, je veux dire … pour de vrai. Gagner un vrai salaire qui vous permette de payer vos factures, vos courses, aller au resto, faire du shopping, voyager de temps en temps… et bien c’est mort.
C’est simple, pour moi, ne compter que sur les plateformes de rédaction web, c’est du masochisme professionnel.
Oui oui.
En restant sur ce genre d’usines à freelances, vous acceptez de vous faire exploiter, de sous-vendre vos compétences et y trouvez même un certain plaisir (la carotte = les gains immédiats).
Alors, je ne dis pas qu’il ne faut pas tenter, c’est même plutôt pas mal pour se faire une idée du métier de rédacteur web SEO. Mais ce que j’ai remarqué, moi, en presque 4 ans d’exercice, c’est que l’on y reste trop longtemps, coincé par le volume de commandes (la carotte ! La carotte !) et la peur de se lancer POUR DE VRAI.
Et ça, c’est si vous avez la chance de décrocher des missions.
Parce que ce n’est pas toujours le cas, loin de là. Entre le moment où vous vous inscrivez et l’obtention d’un premier projet d’écriture, il peut se passer 3,4,5 semaines, voire plus. Du temps que vous auriez pu consacrer au développement de votre futur business en ligne.
Et quant aux pro-plateformes qui vous diront qu’écrire pour de tels sites vous permet de créer un portfolio solide (pour aller chercher des vrais clients par la suite), je leur réponds que c’est FAUX. Les plateformes de rédaction web vous interdisent de reprendre les textes écrits comme référence.
Ha ! Ha ! La bonne blague.
Enfin, en allant sur ces agences de rédacteurs web freelances, vous participez à la paupérisation du métier. Comment allez-vous justifier vos tarifs de bobo parisien une fois que vous allez vous lancer puisque des tas de rédacteurs sont prêts à accepter le même travail pour un salaire d’ouvrier burundais🤔?
Bon, j’exagère. Tout n’est pas perdu pour vous. Vous pourrez toujours aller vous installer au Burundi 😂
Les différentes plateformes pour rédacteurs web
Textbroker
TextBroker est l’un des plus célèbres sites de rédactions web en France. Premièrement, il y a les « Open Order », le rédacteur a le choix entre plusieurs centaines de commandes et sera rémunéré entre 0,7 et 3,5 centimes par mot. Ensuite, il y a les « Direct Order ». Ici, le client prend contact directement avec le rédacteur. Et enfin, il y a les « TeamOrder », où c’est le client qui décide de la rémunération.
Textmaster
TextMaster est aussi un dinosaure sur le marché des plateformes de rédaction web. Elle a la réputation d’être un peu plus exigeante en ce qui concerne le niveau de rédaction/traduction et les délais. En ce qui concerne la rémunération, bah si ça ne vous dérange pas d’écrire pour 1 ou 2 cts/mot, vous trouverez votre bonheur.
Scribeur
Après évaluation de votre test, vous allez recevoir une note allant de 2 à 5 étoiles. Pour rechercher des missions, il vous suffit de vous connecter sur votre tableau de bord et de rechercher un texte.
Côté rémunération, c’est pas folichon non plus.
En général, il faut s’attendre à une rémunération allant de 1.2 centimes pour le niveau 2 étoiles à 5 centimes par mot pour le niveau 5 étoiles.
Rédactiweb
L’avantage de cette plateforme, c’est la simplicité de l’inscription. Mais ça, « c’est pour mieux te plumer mon enfant » 🙂
Vous entrez vos infos, sélectionnez vos sujets favoris (famille, web, voyage, finance, mode, sport, environnement, automobile, High Tech, beauté…, etc). Vous recevez alors un mail confirmant votre inscription. Toutefois, vous devez attendre les résultats du test d’évaluation pour savoir si vous êtes accepté et quel sera votre niveau de rémunération.
Pour les tarifs, même combat.
No comment.
Wriiters
Sur Wriiters, les clients en rédaction web ont la possibilité d’acheter des articles déjà rédigés par les rédacteurs. Un peu comme une sorte d’Etsy de la rédaction web.
Il arrive sur le site, consulte la boutique d’articles et ajoute les textes qu’il souhaite dans son panier. Il télécharge le texte et le publie sur son site. S’il apprécie un auteur en particulier, il peut demander à travailler exclusivement avec lui.
Côté rémunération, c’est le freelance qui fixe son prix.
Même si cette plateforme a l’air mieux que les autres, je doute qu’on puisse en vivre en étant seulement dessus. Si vous êtes rédacteur Wriiters, laissez votre avis en commentaires. Je serais curieuse de connaître votre expérience.
Woizi
La petite dernière.
Le rédacteur peut : soit postuler aux commandes (assez rares tout de même), soit être contactés par les clients, ou proposer leurs propres textes sur n’importe quelle thématique. Il semblerait que les tarifs soient les mêmes que les plateformes plus anciennes.
Résultat : pas de commandes + prix faibles = passons.
Greatcontent
Sur GreatContent, n’est pas rédacteur web qui veut. En effet, le site filtre les candidatures. Si vous rédigez pour eux, c’est que vous avez déjà des compétences solides.
Greatcontent est la seule plateforme pour laquelle j’ai rédigé. C’était une commande en lots, comme la plateforme en a l’habitude. 100 articles pour les assurances. Très belle opportunité pour moi, car elle m’a permis ensuite de décrocher 2 clients directs en assurances juste après cette mission.
Je ne regrette donc vraiment pas mon choix. D’autant plus qu’à l’époque, GreatContent offrait des prix supérieurs au marché. Je ne crache donc pas dans la soupe. C’est bien une plateforme de rédaction qui m’a lancé.
Ce que je veux vous faire comprendre, c’est qu’il ne faut pas y rester très longtemps. Au bout de quelques missions, et dès que vous vous en sentez capable (les retours positifs sont un excellent indicateur de votre niveau), prenez vos jambes à votre cou.
Les sites pour freelances
Ce sont des sites qui mettent en relation des milliers de prestataires situés aux 4 coins du globe. Ils s’appellent 5euros.com, malt, Upwork, Codeur.com, Rédacteur.com, Kang, etc.
Quels tarifs pour un rédacteur web sur les plateformes ?
Sans surprise, la fourchette de prix oscille entre 1 et 5 centimes le mot. 5 centimes pour les rédacteurs les plus talentueux of course. Disons 3 centimes pour la majorité d’entre eux. Auxquels il faut enlever 22% de charge en micro-entreprise, soit 0.023 €.
Si vous êtes chanceux, vous arriverez à grappiller 5 commandes de 700 mots par semaine. À ce tarif, vous pouvez espérer gagner 80 €/semaine.
Et encore, je n’ai pas parlé du tarif horaire. Car étant donné que ce type de plateformes en ligne sont les championnes des contenus les plus improbables du monde (qui a envie d’écrire des fiches produits sur des balustrades sérieux ?!), vous passerez sans doute 2 ou 3 heures à rédiger ces fichus 700 mots.
On est donc à un tarif horaire de 8 € au mieux, et de 5.36 € au pire.
Quelque chose me dit qu’il va y avoir un boom de migrants français au Burundi moi 😂😂😂
Comment trouver des clients en rédaction web (qui paient bien) ?
Bon alors, le métier de rédacteur web, c’est de la poudre aux yeux ou quoi Jennifer ? vous demandez-vous peut-être.
Pas du tout. Le secret, c’est de travailler avec de bons clients. Ceux qui ne rechignent pas à payer dignement. Ceux qui comprennent que la rédaction web est un vrai métier. Qui nécessite de solides compétences.
Et ça, mes chers amis, bonne nouvelle : ça existe.
Où les trouver ? J’ai créé une formation complète sur le sujet.
Pendant 3 mois, je vous apprends des techniques de webmarketing et des astuces tirées de ma propre expérience pour construire une carrière de rédacteur web solide. Vous n’aurez plus à aller chercher les clients, ils viendront d’eux-mêmes parce que vous aurez prouvé votre savoir-faire.
Le programme vous plaît ? Inscrivez-vous sur la liste d’attente via ce formulaire. Vous serez prévenu avant tout le monde de la réouverture des inscriptions.
En attendant, je vous souhaite une belle et longue carrière en rédaction web.
Vous rêvez de commencer une carrière en rédaction web mais n’avez pas de diplôme en relation avec l’écriture web, la communication, le journalisme ?
Vous envisagez peut-être de retourner sur les bancs de la fac, de suivre un cours précis avant de prospecter des clients parce que vous n’avez pas un CV impressionnant ?
Cet article est fait pour vous.
Le métier de rédacteur web ne nécessite pas de posséder toute une batterie de diplômes. C’est avant tout un état d’esprit positif et la volonté de réussir qui vous permettront de vous lancer dans ce métier du web.
Je vais vous montrer qu’il est possible de devenir rédacteur web sans diplôme, et surtout comment le faire.
Commencez à écrire sur les sujets qui vous inspirent
Vous n’être peut-être pas encore l’écrivain égérie d’un magazine célèbre, mais pas besoin de ça pour vous faire connaître.
Le meilleur endroit pour commencer ? Votre propre blog.
Il y a des années, les blogs n’étaient que des journaux intimes en ligne où l’on partageait nos pensées, nos créations DIY, etc. Désormais, les blogs sont un véritable outil marketing capable d’attirer des prospects, convertir des visiteurs et améliorer le référencement.
Si vous voulez rédiger pour des blogs lifestyle, et bien rédiger des articles lifestyle.
Vous voulez être rédacteur web spécialisé en jardinage ? Créez un blog sur comment bien s’organiser à la maison par exemple, avec une catégorie jardinage.
Et si vous voulez rester généraliste, et bien ma foi, trouvez un sujet qui vous tient à cœur, et écrivez.
De cette façon, les clients potentiels peuvent avoir un aperçu de vos compétences et envisager de travailler avec vous.
Devenir rédacteur web sans diplôme : Apprenez, pratiquez, apprenez
Je le dis et le répète : OUI, on peut devenir rédacteur web sans diplôme.
Mais…
Cela ne signifie pas pour autant que n’importe qui peut se reconvertir en tant que rédacteur web freelance.
Non.
La rédaction web n’est pas une sorte de poubelle géante où l’on viendrait échouer quand on veut travailler à la maison et que l’on ne sait pas trop quoi faire.
C’est un métier à part entière, avec ses bonnes pratiques, ses compétences, etc.
Alors, si vous :
êtes doué en orthographe et en syntaxe française ;
savez rechercher et synthétiser des informations sur le net rapidement ;
n’êtes pas effrayé à l’idée de travailler seul à domicile ;
avoir une bonne maîtrise en CMS, notamment en ce qui concerne la plateforme WordPress ;
connaître les contraintes du référencement naturel (SEO) ;
apprendre les bases du copywriting (un gros plus dans la profession) et pourquoi pas du storytelling ;
savoir utiliser les balises html ;
lire les blogs et autres sites d’actus sur le SEO, le webmarketing ;
rester au fait des dernières tendances web.
Un bon rédacteur indépendant ne se repose jamais sur ses acquis. Il est à l’image du monde virtuel sur lequel il surfe 8 heures par jour : en perpétuelle évolution.
Créez un site web professionnel
Je l’ai dit plus haut, un site (avec une partie blog) est pour moi un des meilleurs moyens de :
Prouver à la Terre entière que l’on sait rédiger pour le web (si tant est que ce soit vrai, of course !).
Trouver de bons clients, ceux qui recherchent de la qualité.
Le bouche-à-oreille est un levier qui ne suffit plus. Et même si on vous recommande, il faudra bien plus qu’un profil LinkedIn pour marquer les esprits.
Attention, je ne dis pas que vous ne pourrez pas trouver de clients sans blog, mais que c’est un gros avantage sur vos collègues.
Oui, j’entends d’ici ceux qui diront qu’il suffit de donner les URLs des textes écrits pour que le prospect se fasse une idée du travail du rédacteur.
C’est vrai.
Mais lisez plutôt cette petite histoire pour vous faire une idée.
M. Jacquet, patron d’une PME spécialisée dans la vente de bijoux en ligne, recherche un rédacteur web pour optimiser son site et augmenter son trafic. Il rédige une annonce sur quelques réseaux sociaux.
Deux heures plus tard, il ouvre sa boîte mail.
Deux candidatures :
Damien, 27 ans, rédacteur web depuis 2 ans, école de journalisme. Balance quelques URLs d’articles déjà écrits dans un mail qui a un sale goût de copier-coller.
Sarah, 32 ans. Pas d’école de journalisme, un simple bac littéraire à son actif. Fournit le lien vers un blog au look pro, avec une page À Propos qui donne envie et qui explique sa vision du métier : »J’ai choisi le métier de rédactrice indépendante parce qu’il correspond à mes valeurs … J’accorde du temps à mes clients car …. «
Qui sera plus susceptible de retenir l’attention de M. Jacquet selon vous ?
Je l’affirme parce que cela a été vrai pour moi : créer un site internet professionnel est un excellent moyen de transformer un contact en client.
Et puis, avec un site, vous êtes visible et accessible 24 heures sur 24, 365 jours par an, de n’importe où sur la Terre.
Alors, convaincu ?
Prenez des risques
Tout freelance, quel qu’il soit, doit faire preuve de courage. Encore plus si vous voulez devenir rédacteur web sans diplôme.
N’ayez pas peur d’accepter des missions que vous pensez au-dessus de vos compétences, vous apprendrez sur le tas :). À mes tout débuts, un blogueur m’avait contacté pour travailler sur son site. Il m’avait demandé si je maîtrisais WordPress.
« Hmmmm…. WordPress… Un nom de robot de cuisine, ou un truc de ce genre », pensai-je.
Je lui ai dit que non, mais que j’apprenais vite.
Il m’a fait confiance.
J’ai lu des articles, regardé des tutos sur YouTube. J’ai cherché, fouillé, bidouillé.
Finalement, j’ai fini par gérer son site seule, comme une grande :).
Autre exemple : le blogueur Darren Rowse de ProBlogger. Aucun diplôme en marketing, design ou en communication. Il lui a fallu 3 mois pour apprendre à mettre du texte en gras sur WP quand il a commencé. Aujourd’hui : il est hyper riche et célèbre grâce à son blog.
Mon conseil : OSEZ et prenez des risques. Sans faire n’importe quoi bien sûr. Au risque de ruiner votre « bébé-réputation » 🙂
Vous vous connaissez, vous savez ce que votre cerveau est prêt à comprendre ou à refuser.
Si mon client m’avait demandé si je maîtrisais la trigonométrie sphérique en astronomie, j’aurais refusé direct. Les matières scientifiques, ça me donne la nausée :).
De même, vous devez être prêt à entendre « non ». On vous enverra des emails de refus (pour les prospects les plus gentils), on vous dira qu’un autre rédacteur correspond mieux au profil recherché.
Pas besoin d’en faire une histoire et de vous rouler en boule au fond de votre lit.
Vous devez continuer à prospecter, même s’il y a une tonne de concurrence. Vous devez être courageux et convaincu que vous avez quelque chose d’unique à offrir au monde.
Prenez contact avec des rédacteurs web établis
Trouvez d’autres écrivains professionnels que vous aimez, admirez et que vous souhaitez imiter.
Découvrez leurs histoires, écoutez leurs conseils et essayez de suivre leurs traces.
Faites-leur part de votre projet de devenir rédacteur web, même si vous n’avez pas de diplôme. Ils vous remarqueront sûrement si vous êtes talentueux (et ils pourraient vous donner des textes à écrire, qui sait ?).
Spécialisez-vous pour faire votre trou
Les rédacteurs web spécialisés sont ceux qui gagnent le mieux.
Celle-ci leur permet d’exiger des tarifs beaucoup plus élevés que les écrivains généralistes, et leurs noms reviennent souvent dans le cercle des professionnels de cette thématique.
Quelques conseils ?
Choisissez quelque chose qui vous passionne ou pour lequel vous avez déjà des connaissances.
Vous étiez spécialisé en comptabilité à l’école ? Concentrez-vous sur la rédaction financière.
Vous avez travaillé dans une boulangerie ? Faites de l’écriture culinaire votre truc.
Plus vous en saurez sur votre spécialité, meilleure sera votre écriture – et plus les gens vous solliciteront.
Devenir rédacteur web sans diplôme est un des atouts majeurs de ce métier. Personnellement, aucun client ne m’a jamais demandé quelles études j’avais fait. Ni même si j’avais le bac. C’est sans doute une des raisons pour laquelle il attire tant. Mais soyons honnêtes, ne peut pas devenir écrivain freelance qui veut. Un conseil : testez vos compétences avant de vouloir écrire des articles pour des sites de renom.
Vous aussi, vous avez entendu le discours des adeptes de La Semaine de 4 Heures sur le blogging ?
Travailler quelques heures par semaine, se la couler douce au bord d’une piscine, et toucher le pactole.
Sauf que si vous avez déjà démarré votre blog, vous vous êtes sûrement rendu compte que la réalité était tout autre.
Bloguer prend du temps.
Bien plus que 4 heures par semaine si vous souhaitez un minimum de sérieux.
Depuis que je blogue, mon dada, c’est la productivité et la gestion du temps. Je recherche çà et là des outils qui pourraient m’aider à me libérer des minutes précieuses.
Et la bonne nouvelle, c’est que des outils blogging pour être plus productif, ce n’est pas ce qui manque.
Dans cet article, je vous donne une liste d’outils pratiques qui serviront aussi bien aux blogueurs purs et durs qu’aux rédacteurs web freelance.
À vos chronos 😉
E.ggTimer.com : pour rester focus sur son travail
E.ggTimer.com est un chrono en ligne très simple à utiliser. Vous choisissez la durée pendant laquelle vous voulez rester concentré et cliquez sur « Go ». S’affiche à l’écran un énorme chrono. Quand le temps expire, vous recevez une notification. Vous pouvez aussi demander à sectionner vos plages de travail en cycle 25/5. Vous travaillez 25 minutes, vous faites une pause de 5 minutes (méthode Pomodoro).
Comment cet outil blogging vous aide à être plus productif ? Ayant moi-même testé la méthode Pomodoro, je peux vous dire qu’elle est très puissante. Il est tellement facile de laisser notre esprit vagabonder ou d’aller faire un tour vite fait pour checker ses mails. Là, vous n’avez pas le choix : il faut bosser.
Toggl : pour analyser votre productivité
Toggl est un logiciel de suivi du temps qui va vous aider à repérer là où vous êtes plus ou moins productif.
Créez un fichier, nommez-le et appuyez sur « Démarrer ». À la fin, arrêtez le chronomètre et votre tâche sera stockée dans vos archives. Vous aurez accès à des analyses croisées et exportables: top pour avoir une idée précise du nombre d’heures consacrées à un dossier précis.
Toggl peut être utilisé sur le web, sur votre bureau ou sur votre mobile avec la possibilité de soutenir des équipes et de générer des rapports.
Zoomy App : pour ne plus perdre de temps à chercher des photos
Zoomy App regroupe toutes les photos libres de droit disponibles sur le web :
plus de 130 000 photos gratuites ;
plus de 50 sources avec photos haute définition : Unsplash, SplitShire, etc.;
recherche par mots clés et Emoji ;
filtrage des photos par forme et par couleur ;
stockage des photos par collection.
Vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les photos gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans demander l’autorisation à quiconque.
LanguageTool : pour écrire des articles de blog zéro faute
LanguageTool est un logiciel de relecture assisté par ordinateur. Un outil blogging absolument IN-DIS-PEN-SA-BLE pour les blogueurs et rédacteurs web.
Deux possibilités :
Vous collez votre texte sur le site et cliquez sur le bouton « Vérifier le texte ». Vos fautes seront surlignées.
Vous téléchargez l’extension sur Google Chrome ou Firefox. Sur n’importe quelle page web, vous sélectionnez du texte et cliquez sur le widget « LT » pour lire les recommandations.
En version gratuite, vous pouvez vérifier jusqu’à 20 000 caractères.
LinkTree : pour partager plusieurs liens sur Instagram
Avis aux férus d’Instagram !
LinkTree vous permet de partager plusieurs pages web à partir d’une seule et même URL. En quoi c’est génial ? Parce que sur ce réseau social, vous ne pouvez insérer qu’un lien vers votre blog, et uniquement sur votre bio. Avec LinkTree, vous pouvez partager plusieurs liens.
Il vous fait gagner du temps en appliquant automatiquement un attribut alt et un titre à vos images. Et vous êtes certain d’appliquer les meilleures stratégies en matière d’optimisation de vos visuels (n’oublions pas que plus de 20% du trafic organique de Google provient de la recherche d’images).
Pocket : vos contenus préférés en un seul endroit
Avant d’écrire un article de blog, vous recherchez certainement de l’inspiration sur internet. Et au lieu d’avoir un liste de favoris longue cooooooooooooommmmmme ça sur votre ordi ou votre smartphone, pensez à Pocket. Cet outil blogging vous permet d’enregistrer du contenu à lire plus tard, et cela en un seul clic. Vous pouvez ajouter des balises pour mieux organiser votre contenu enregistré.
Enregistrez le contenu directement à partir de votre navigateur Web, par e-mail ou à partir d’une variété d’applications différentes, notamment Flipboard, Pulse et Twitter.
L’interface de Pocket est minimaliste et fonctionnelle.
Buffer : pour planifier vos posts sur les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux font partie intégrante de la stratégie d’acquisition de trafic d’un blogueur. Mais gérer une page Facebook, un compte Twitter, LinkedIn ou encore Instagram est chronophage.
C’est en ça que Buffer est une petite merveille. L’outil vous donne la possibilité de planifier vos publications sur plusieurs semaines. Vous prenez par exemple 30 minutes le weekend pour créer vos contenus Facebook de la semaine, ça vous évite de perdre du temps chaque matin à rédiger un post.
Pablo (de Buffer) : pour créer des visuels inspirants
Pablo vous permet de créer des images accrocheuses à partager sur les réseaux sociaux comme Instagram, Facebook et Twitter.
On sait tous que les visuels génèrent beacoup plus d’engagement sur les réseaux. Le problème, toujours pareil, c’est le temps qu’il faut pour les créer.
Ouvrez simplement cet outil, collez du texte, choisissez un arrière-plan et c’est prêt.
Pablo fait partie de Buffer, vous pouvez donc facilement planifier le partage de ces images via votre compte.
Squoosh : pour alléger vos images
Squoosh est un site qui vous permet de redimensionner et d’alléger les images que vous souhaitez importer sur votre CMS. C’est un des outils blogging les plus simple à utiliser. Il suffit de sélectionner votre fichier, l’appli se charge de l’optimiser.
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