Vendre grâce au copywriting
Que fait une copwriter au quotidien ?
Beaucoup de personnes souhaitent devenir copywriters et se posent cette question. Alors, c’est quoi les missions d’une copywriter ? Ce métier du web consiste-t-il uniquement à rédiger des contenus ? Et quels types de textes rédige-t-elle exactement ?
Zoom sur ce métier encore méconnu du grand public mais ô combien rentable.
Quel est le rôle d’une copywriter ?
Une copywriter écrit pour inciter à agir.
Contrairement à un simple texte informatif, ses mots sont conçus pour captiver, convaincre et pousser à une action concrète :
- cliquer
- acheter
- s’inscrire…
L’objectif final étant de faire gagner plus d’argent à ses clients.
Rien à voir avec une rédactrice web, encore moins avec une journaliste :
- la rédactrice web crée du contenu pour informer ou divertir, souvent optimisé pour le référencement (SEO). L’objectif est d’attirer du trafic sur un site grâce à des articles, des fiches produits ou des guides. Son rôle s’arrête souvent là : elle attire, mais ne vend pas forcément
- la journaliste écrit pour informer ou raconter une histoire, avec un style souvent neutre et objectif. Elle ne cherche ni à vendre ni à persuader, mais plutôt à transmettre des faits ou des idées
- la copywriter, en revanche, écrit pour persuader. Chaque mot a pour but de captiver l’attention et de transformer un lecteur en client ou en prospect
Pourquoi les entreprises ont besoin de copywriter ?
Imaginons une entreprise qui vend un produit en ligne via une landing page.
La landing page A a un taux de conversion de 1%, qui permet à l’entreprise de générer 100 000 € avec ce produit.
Imaginons que je décide d’améliorer cette landing page en proposant mes services en copywriting. Je change le titre, l’offre, la garantie, le CTA.
Le taux de conversion passe de 1 à 3%.
Avec ces quelques petits changements, l’entreprise génère 300 000 € au lieu des 100 000 € avant.
Je lui ai fait gagner 200 000 € de plus, juste avec des mots.
Sans faire de la pub en supplément, rien d’autre que du copywriting.
Voilà pourquoi des entreprises sont prêtes à payer des copywriters des milliers d’euros pour une seule page de vente.
Tout simplement parce que vous allez lui faire augmenter son chiffre d’affaires.
Quelles sont les missions d’une copywriter ?
Le B.A -BA de la copywriter : comprendre le business de son client
Avant de poser le moindre mot sur une page, la copywriter commence par une étape cruciale : comprendre en profondeur le business de son client.
Pourquoi ?
Parce qu’un texte efficace ne peut pas exister sans une parfaite connaissance de l’offre, de la cible et des objectifs du client.
Durant cette étape, la copywriter :
- définit les objectifs du client : conversion ? fidélisation ? etc.
- analyse le produit ou service : quels sont ses bénéfices réels ? Comment répond-il aux besoins ou problèmes des clients ?
- étudie le persona : qui sont les clients idéaux ? Quels sont leurs besoins, leurs frustrations, leurs rêves ?
- fait des recherches sur le marché et la concurrence : quelles sont les stratégies des concurrents ? Comment différencier l’offre pour qu’elle se démarque ?
Par exemple, pour une formation en ligne visant des freelances, la copywriter ne se contentera pas de décrire les modules.
Elle creusera pour comprendre :
- les aspirations des freelances (gagner plus, trouver des clients facilement, etc.)
- les blocages fréquents (manque de confiance, peur de l’échec, etc.)
C’est ce travail de recherche qui permettra de créer un texte qui parle directement à la cible, en utilisant ses propres mots et en répondant à ses objections avant même qu’elle ne les exprime.
Rédiger des pages de vente
La rédaction d’une page de vente est l’une des missions les plus demandées en copywriting.
Une page de vente est une page web conçue pour convaincre les visiteurs d’acheter un produit ou un service.
Contrairement à une simple page descriptive, la page de vente a un objectif précis : transformer des lecteurs hésitants en clients convaincus.
Pour cela, elle doit :
- présenter l’offre de manière claire et engageante, en se concentrant sur ses bénéfices
- répondre aux questions et objections que pourrait se poser un acheteur
- créer un sentiment de confiance et d’urgence pour inciter à l’achat
Combien gagne une copywriter en rédigeant une page de vente ?
- débutante : 1 000 € en moyenne
- intermédiaire : 1 500 € à 3 000 €
- experte : entre 6 000 € et 10 000 €, voire plus
Écrire des emails
Les emails sont un canal de communication essentiel pour toute entreprise, et la copywriter joue un rôle clé dans leur conception.
La rédaction d’emails est une mission classique de copywriter, débutante ou non.
Les types d’emails que rédige une copywriter
1. Les séquences de bienvenue

Lorsqu’un prospect s’inscrit à une liste email (par exemple, en téléchargeant un freebie ou en s’abonnant à une newsletter), la séquence de bienvenue sert à :
- présenter la marque ou l’entrepreneur
- créer une première impression positive
- poser les bases d’une relation de confiance
2. Les emails de promotion ou de lancement
Ces emails sont destinés à vendre une offre.
La copywriter doit ici jouer sur l’urgence, les bénéfices, et les preuves sociales pour inciter à l’achat.
Un exemple ?

3. Les newsletters
Une newsletter régulière permet de nourrir la relation avec les abonnés et de rester dans leur esprit. La copywriter s’assure de maintenir un ton engageant, d’offrir de la valeur (conseils, astuces, anecdotes), et de glisser subtilement des appels à l’action.
4. Les séquences d’email automation
Ces emails automatisés sont envoyés en fonction des actions des prospects (clic sur un lien, achat abandonné, etc.). La copywriter les conçoit pour guider les abonnés à chaque étape du parcours client.
Combien gagne-t-elle en rédigeant une séquence de 5 emails ?
- Débutante : 500 € en moyenne
- Intermédiaire : 750 € à 1 000 €
- Experte : entre 1 000 € et 2 000 €, voire plus
Écrire des posts pour les réseaux sociaux
Parmi les nombreuses missions d’une copywriter, la rédaction de posts Facebook, Insta, LinkedIn & co.
Toute entreprise a besoin de réseaux sociaux pour exister aujourd’hui. Et sans bon copywriting, peu de chances de se démarquer de la masse.
Le métier de copywriter pour réseaux sociaux a donc encore de beaux jours devant lui !
Les types de posts que rédige une copywriter
1. Les posts promotionnels

Ces publications ont pour but de vendre une offre ou d’attirer du trafic vers une page de vente.
Objectifs :
- présenter une offre de façon attrayante
- insister sur les bénéfices pour la cible
- intégrer un appel à l’action clair
2. Les posts engageants
Ils permettent de renforcer le lien avec la communauté, d’humaniser la marque, et de susciter des interactions (likes, commentaires, partages).
Exemples de formats :
- raconter une anecdote personnelle ou une success story
- post clivant
- partager une citation inspirante
3. Les posts éducatifs ou informatifs
Ces contenus apportent de la valeur à l’audience en partageant des conseils ou astuces utiles.
Objectifs :
- renforcer l’expertise de la marque
- aider la cible à résoudre un problème précis
Combien gagne une copywriter en rédigeant des posts ?
- Débutante : 50 € à 80 € par post
- Intermédiaire : Entre 100 et 150 € par post, selon le degré de recherche nécessaire
- Experte : 150 € et plus par post, notamment pour des campagnes stratégiques ou virales
Rédiger des scripts vidéo
Autre mission de copywriting : la rédaction de script vidéo.
Les vidéos sont devenues un format phare pour capter l’attention en ligne, et une copywriter joue un rôle crucial dans la création des scripts.
Elle doit structurer le contenu pour qu’il capte l’attention dès les premières secondes et guide les spectateurs jusqu’à une action.
Les types de scripts que rédige une copywriter
1.Les vidéos publicitaires
Ces scripts sont conçus pour présenter une offre en un temps très court, généralement en moins d’une minute.
Objectifs :
- attirer l’attention dès les premières secondes (« Vous en avez marre de chercher des clients sans succès ? Voici la solution qu’il vous faut ! »)
- mettre en avant les bénéfices du produit ou service
2. Les vidéos éducatives ou explicatives
Elles sont utilisées pour vulgariser des concepts ou présenter une solution de manière claire.
Objectifs :
- éveiller la curiosité
- expliquer une idée complexe de façon simple et concise
3. Les témoignages ou études de cas
Ces scripts mettent en avant les clients ou utilisateurs d’un produit/service pour renforcer la crédibilité et inciter les prospects à se projeter.
Combien gagne une copywriter pour rédiger des scripts vidéo ?
- Débutante : entre 200 et 400 € pour un script de 1 à 3 minutes
- Intermédiaire : Entre 500 € et 1 000 €, selon la complexité du projet.
- Experte : 1 000 € ou plus
Rédiger des fiches produits optimisées (sites e-commerce)

Les fiches produits ne sont pas de simples descriptions techniques.
Une fiche produit efficace ne se limite pas à énumérer les caractéristiques d’un produit. La copywriter transforme ces détails techniques en avantages concrets qui répondent aux besoins ou aux désirs du client.
- Exemple de description technique brute : « Grille-pain en inox avec 6 niveaux de réglage et fonction décongélation. »
- Version copywritée : « Préparez des toasts parfaits en un rien de temps avec ce grille-pain élégant en inox. Ses 6 niveaux de réglage vous garantissent un croustillant adapté à tous les goûts, tandis que sa fonction décongélation transforme vos tranches de pain congelées en petits-déjeuners savoureux en quelques secondes. »
L’objectif est d’aider le client à se projeter : à quoi ressemblera sa vie après avoir acheté ce produit ?
Les tarifs pour rédiger des fiches produits
- Débutante : entre 15 et 30 € par fiche (pour des descriptions courtes ou répétitives)
- Intermédiaire : entre 40 et 70 € par fiche (pour des fiches plus longues ou demandant une recherche approfondie)
- Experte : à partir de 100 € par fiche, surtout pour des produits complexes ou haut de gamme
Les copywriters expérimentées peuvent également proposer des packs (par exemple, 10 fiches produits pour 800 €) pour les e-commerçants.
Participer à la création de stratégie marketing
Une copywriter expérimentée ne se contente pas d’exécuter les briefs. Elle apporte des idées créatives pour maximiser l’impact des campagnes.
Exemples d’idées :
- créer une série d’emails autour d’un lancement produit
- réaliser un storytelling autour de la marque pour renforcer l’attachement émotionnel des clients
- concevoir des contenus spécifiques pour chaque étape de l’entonnoir de vente (awareness, considération, conversion)
- creéer un tunnel de vente super-optimisé
Et là, les prix peuvent devenir plus qu’alléchants. À titre d’exemple, j’ai facturé ma dernière mission en tant que consultante en stratégie marketing 350 €/heure. Pour certains, c’est le triple, voire même plus.
L’impact des missions d’une copywriter sur un business
Le copywriting, c’est un peu comme la baguette magique des entreprises.
Avec les bons mots, une copywriter peut faire d’un business une machine à cash. Mais concrètement, quel est l’impact des missions d’une copywriter sur un business ?
Spoiler : c’est souvent impressionnant.
Augmentation des ventes
Une copywriter n’écrit pas pour faire joli, elle écrit pour vendre. Une page de vente bien rédigée peut littéralement multiplier par deux (ou plus !) les ventes d’un produit.
Exemple concret :
Prenons une entreprise qui vend un abonnement mensuel à un service de coaching en ligne pour 100 € par mois.
- Page de vente actuelle :
- Taux de conversion : 2 %
- Nombre de visiteurs : 2 000
- Résultat : 2 000 x 2 % = 40 clients
40 clients x 100 € = 4 000 € de revenus mensuels
- Nouvelle page de vente optimisée par une copywriter :
- Taux de conversion amélioré : 5 % (grâce à une offre plus claire, des objections levées, et des bénéfices bien mis en avant)
- Nombre de visiteurs : 2 000
- Résultat : 2 000 x 5 % = 100 clients
100 clients x 100 € = 10 000 € de revenus mensuels
La différence ? 6 000 € de revenus supplémentaires par mois.
Sur 1 an, cela représente 72 000 € de revenus supplémentaires.
Fidélisation des clients
Grâce aux emails et newsletters, une copywriter entretient la relation avec les clients. Et qui dit clients fidèles, dit clients qui reviennent, qui achètent encore, et qui recommandent la marque autour d’eux.
Renforcement de la marque
Dans un monde où tout le monde crie plus fort pour attirer l’attention, une copywriter aide une entreprise à se démarquer. Elle donne une voix unique, une personnalité qui capte et marque les esprits.
Un bon storytelling, une touche d’humour, une dose d’émotion…
Et hop, la marque reste dans la tête des clients. Vous pensez à Apple ou Nike ? C’est du copywriting.
Le slogan « Just Do It » ne s’est pas écrit tout seul, et pourtant, tout le monde le connaît.
Optimisation des campagnes marketing : plus de clics, plus de résultats
Que ce soit pour des publicités, des emails ou des posts sur les réseaux sociaux, une copywriter booste les performances. Plus de clics, plus d’ouvertures, et surtout, plus de conversions.
Exemple :
- Une entreprise envoie une campagne d’emails avec un objet classique du type « Newsletter du mois de janvier ». Résultat : 15 % d’ouverture
- Une copywriter passe par là et transforme l’objet en « 3 secrets pour enfin doubler vos ventes cette année » : taux d’ouverture à 35 %
Vous voyez la différence ?
Rassurer les prospects
Avec les bonnes techniques, une copywriter répond aux objections avant même que le prospect ne les exprime.
Preuves sociales, témoignages clients, garanties béton : tout est pensé pour que la personne en face se dise « OK, je fonce, c’est exactement ce qu’il me faut ! »
Et tout ça… sans magie, juste du talent
En bref, les missions d’une copywriter, c’est bien plus que de jolies phrases : ce sont des leviers stratégiques pour propulser un business.
Que ce soit pour attirer, convaincre ou fidéliser, les mots font toute la différence.
Parce qu’au fond, une bonne copywriter ne vend pas juste un produit. Elle vend une émotion, une vision, une solution. Et ça, ça n’a pas de prix… Enfin, si, mais c’est largement rentabilisé. 😉
Vendre grâce au copywriting
Le métier de copywriter suscite de plus en plus d’intérêt, mais une question revient souvent : « Est-ce que c’est vraiment rentable ? ».
Entre l’envie de se lancer dans une activité flexible et créative, et la peur de ne pas en vivre, le doute peut s’installer.
Et pourtant, le copywriting est l’un des métiers les plus lucratifs du monde digital.
Pas besoin de diplôme prestigieux ni de longues années d’expérience pour commencer à générer un salaire de copywriter confortable.
Avec les bonnes compétences et une stratégie bien pensée, il est possible de transformer cette activité en une carrière florissante, même en partant de zéro.
Alors :
- combien gagne une copywriter débutante, intermédiaire ou confirmée ?
- pourquoi ce métier est accessible ?
- comment il se compare à d’autres professions ?
Spoiler : vous pourriez bien être agréablement surprise ! 😊
Le copywriting : un métier lucratif même sans diplôme
Lorsqu’on envisage une reconversion professionnelle ou un métier compatible avec une vie de famille, la rentabilité est une question clé.
Bah oui, il faut a minima que le chiffre d’affaires égale votre salaire actuel !
Le copywriting, bien qu’encore méconnu de beaucoup, offre un potentiel financier très intéressant. Et ce, même sans passer par un cursus académique long et coûteux.
Pourquoi le copywriting est en forte demande ?
Avec la montée en puissance du digital, les entreprises doivent se démarquer pour capter l’attention de leur audience et convertir des prospects en clients.
Et qu’est-ce qui fait toute la différence, selon vous ?
Les mots.
Tout simplement.
Le copywriting répond à un besoin vital : persuader, séduire, vendre. Que ce soit pour rédiger une page de vente, des emails ou une publicité, les compétences d’une copywriter sont essentielles.
Voici pourquoi la demande explose :
- le digital est partout : chaque entreprise, petite ou grande, a besoin de contenu persuasif pour exister en ligne
- un métier rare : peu de personnes maîtrisent l’art d’écrire pour vendre. Cette expertise spécifique fait du copywriting une compétence précieuse
- un impact direct sur les résultats : contrairement à d’autres métiers du digital, le copywriting a une influence immédiate sur les ventes. Les entreprises savent que chaque mot peut faire la différence entre un lancement réussi et un flop
Pas de plafond de verre : le salaire d’une copywriter est évolutif
L’une des forces du métier de copywriter est son absence de plafond.
Contrairement à un poste salarié classique, où les revenus sont souvent limités par des grilles salariales, le salaire d’une copywriter évolue selon l’expérience et les résultats.
Pourquoi ?
- Des revenus liés aux performances : un texte efficace qui génère des ventes peut être facturé très cher. Par exemple, une page de vente bien conçue peut rapporter des milliers d’euros à une entreprise, justifiant des honoraires élevés
- Une évolution rapide : en seulement quelques années, une copywriter peut passer d’un revenu modeste à des prestations haut de gamme, facturées plusieurs milliers d’euros
- La possibilité de se spécialiser : en devenant experte dans une niche (comme le coaching, l’e-commerce ou les SaaS), il est possible d’augmenter encore ses tarifs
Salaire copywriter : des revenus selon le niveau d’expérience
L’un des grands avantages du métier de copywriter est sa flexibilité en matière de revenus. Que vous soyez débutante, intermédiaire ou confirmée, le copywriting offre des possibilités financières intéressantes et évolutives.
Débutante : Se lancer en douceur (0-2 ans d’expérience)
Lorsqu’on débute, il est normal d’avoir des revenus plus modestes, car le focus est souvent mis sur l’apprentissage, la pratique et la construction d’un portfolio.
Revenus moyens mensuels :
- Entre 2 000 € et 2 500 € (c’est pas mal quand même 😉)
Types de projets courants :
- Rédaction d’emails (80 € à 100 € par email)
- Rédaction de pages de vente (1 000 € en moyenne)
- Création de posts pour les réseaux sociaux (50 € à 100 € par post)
- Fiches produits ou pour sites e-commerce (20 € à 50 € par fiche)
Objectifs principaux pour une débutante :
- Développer ses compétences techniques (écriture persuasive, storytelling, psychologie de l’audience)
- Apprendre à prospecter et fidéliser ses premières clientes
- Construire un portfolio solide en accumulant des expériences variées
💡 Bon à savoir : Certaines débutantes optent pour des plateformes comme Fiverr ou Malt pour trouver leurs premières missions. Ces plateformes permettent de démarrer rapidement, mais les tarifs peuvent y être plus bas.
Intermédiaire : Stabiliser et augmenter ses tarifs (2-5 ans d’expérience)
Après quelques années d’expérience, une copywriter professionnelle commence à mieux se positionner sur le marché. Elle sait valoriser ses compétences, a développé une méthode efficace et bénéficie souvent de recommandations ou de collaborations régulières.
Revenus moyens mensuels :
Types de projets courants :
- Page de vente (1 500 € à 3 000 € par projet)
- Séquence d’emails (750 € à 1 000 € pour une série de 5 emails)
- Stratégie de contenu pour les réseaux sociaux (300 € à 1 000 € par mois)
Les points forts d’une copywriter intermédiaire :
- Une expertise mieux définie : elle commence à se spécialiser (e-commerce, coaching, SaaS, etc.).
- Une capacité à négocier des tarifs plus élevés grâce à des résultats probants (exemples de taux de conversion ou d’engagement).
- Des collaborations plus longues et régulières avec ses clientes
💡 Exemple concret : Une copywriter intermédiaire peut facturer une séquence email pour un lancement à 1 500-2 000 €. Si cette séquence contribue à générer 10 000 € de CA pour sa cliente, son tarif est largement justifié.
Confirmée : une activité très rentable (5+ ans d’expérience)
Avec plusieurs années de pratique et une réputation bien établie, une copywriter confirmée entre dans une catégorie premium. Elle travaille généralement avec des entreprises ayant des besoins stratégiques et des budgets marketing conséquents.
Revenus moyens mensuels :
- Entre 6 000 € et 10 000 €, voire plus
Types de projets courants :
- Page de vente haut de gamme (2 000 € à 10 000 € par page)
- Consulting stratégique en copywriting (1 500 € à 3 000 € par mission)
- Accompagnement complet pour des lancements de produits (5 000 € à 15 000 €)
- Publicités pour campagnes à fort enjeu (500 € à 1 500 € par publicité)
Les atouts d’une copywriter confirmée :
- Une expertise reconnue qui attire des clientes haut de gamme.
- Des résultats mesurables et impressionnants (taux de conversion, ROI élevés).
- Une capacité à déléguer ou à former d’autres copywriters pour gérer une charge de travail croissante
💡 Exemple concret : Une copywriter confirmée peut facturer une page de vente à 3 000 €. Si cette page génère 50 000 € de ventes pour son client, son tarif semble presque « bon marché » au regard de la valeur qu’elle apporte.
Comparaison avec d’autres métiers accessibles aux mamans
Lorsqu’il s’agit de trouver un métier flexible et rentable, plusieurs options viennent à l’esprit :
- assistante digitale
- community manager
- rédactrice web
Ces métiers du web permettent en effet de conjuguer sa vie de maman et ses ambitions professionnelles (et c’est ce que l’on veut, n’est-ce pas 😉 !?)
Mais concrètement, qu’est-ce qui est le mieux ?
Assistante digitale : la polyvalence, mais à quel prix ?
Une assistante digitale aide ses clientes dans leurs tâches administratives et organisationnelles, souvent en télétravail. Elle gère des missions variées comme la gestion des emails, la création de documents ou la coordination d’agendas.
Revenus mensuels moyens :
- Débutante : 1 200 € à 2 000 €
- Confirmée : 2 500 € à 3 500 €
Avantages :
- Métier accessible sans prérequis technique important
- Flexibilité dans les horaires et possibilité de travailler à distance
Limites :
- Les revenus plafonnent rapidement, car les prestations sont souvent facturées à l’heure (20 € à 40 €/heure en moyenne)
- Une charge mentale élevée : la variété des missions demande une grande organisation et une réactivité constante
Comparaison avec le copywriting :
Là où une assistante digitale est payée pour son temps, une copywriter est payée pour ses résultats. Cela signifie que le copywriting offre un potentiel financier bien plus élevé, car chaque projet peut être facturé à forte valeur ajoutée.
Community manager : un métier d’engagement, mais exigeant
La community manager crée, planifie et publie du contenu sur les réseaux sociaux pour développer l’audience et l’engagement des marques.
C’est un métier créatif et dynamique, souvent plébiscité par celles qui aiment le contact avec une communauté en ligne.
Revenus mensuels moyens :
- Débutante : 1 000 € à 1 800 €
- Confirmée : 2 000 € à 3 000 €
Avantages :
- Un métier créatif avec un fort lien humain grâce à l’interaction avec les communautés
- Facilité d’entrée : une formation courte ou autodidacte peut suffire pour commencer
Limites :
- Un rythme soutenu : il faut être constamment en ligne pour répondre aux commentaires, gérer les crises et publier régulièrement
- Les revenus restent limités, car la plupart des prestations sont mensualisées, avec des forfaits souvent sous-évalués (300 € à 800 €/mois par client)
Comparaison avec le copywriting :
Bien que le community management soit une activité valorisante, le copywriting permet de travailler sur des projets ponctuels à forte valeur.
Par exemple, une page de vente bien rédigée peut être facturée autant qu’1 mois complet de gestion des réseaux sociaux. De plus, la charge émotionnelle est moindre : une copywriter n’a pas besoin de gérer les conflits ou les retours immédiats d’une communauté.
Rédactrice web : un tremplin vers le copywriting ?
La rédactrice web produit des articles de blog, des descriptions de produits ou des pages informatives pour les sites internet. Son objectif est d’informer tout en optimisant ses contenus pour les moteurs de recherche (SEO).
Revenus mensuels moyens :
- Débutante : 1 000 € à 1 500 €
- Confirmée : 2 000 € à 3 000 €
Avantages :
- Un métier d’écriture accessible, idéal pour celles qui aiment rédiger
- Une entrée facile dans le monde du digital, souvent utilisée comme tremplin pour évoluer vers d’autres métiers
Limites :
- La tarification au mot est la norme, ce qui limite les possibilités d’augmenter ses prix (0,03 € à 0,08 €/mot en moyenne)
- Peu de reconnaissance : les rédactrices web sont souvent perçues comme des « exécutantes » plutôt que des expertes
Comparaison avec le copywriting :
Si la rédaction web est axée sur l’information et le SEO, le copywriting se concentre sur la persuasion et les résultats commerciaux. Une rédactrice web peut rédiger un article de 1 000 mots pour 70 €, là où une copywriter peut facturer une séquence d’emails à 800 €.
Le copywriting valorise davantage l’expertise et la capacité à générer des ventes.
Salaire copywriter : pourquoi le copywriting est-il plus rentable ?
Le copywriting se distingue par :
- sa valeur ajoutée directe : les entreprises sont prêtes à payer davantage pour des textes qui génèrent des résultats concrets, comme des ventes ou des conversions
- un potentiel d’évolution élevé : avec l’expérience, une copywriter peut multiplier ses revenus en augmentant ses tarifs ou en travaillant sur des projets plus stratégiques
- la flexibilité : Contrairement aux métiers où la tarification est horaire ou au mot, le copywriting permet de facturer en fonction de l’impact généré
En somme, bien que les autres métiers soient accessibles et compatibles avec une vie de famille, le copywriting offre un équilibre unique entre créativité, rentabilité et flexibilité.
Un choix idéal pour celles qui veulent transformer leur passion pour les mots en une carrière florissante 😊
Comment augmenter son salaire de copywriter freelance ?
Si le copywriting est déjà un métier rentable, il offre aussi un potentiel d’évolution impressionnant.
Pour augmenter ses revenus, il ne suffit pas de travailler plus : il faut travailler intelligemment.
Voici plusieurs stratégies pour booster ses gains en tant que copywriter, tout en préservant son équilibre de vie (parce qu’on reste des femmes, hein !)
Se spécialiser dans une niche lucrative
En copywriting, se positionner comme généraliste peut limiter vos opportunités.
À l’inverse, se spécialiser dans une niche vous permet d’être perçue comme une experte. Par conséquent, cela peut doubler voire tripler le salaire d’une copywriter.
Les niches les plus lucratives incluent :
- L’e-commerce : rédaction de fiches produits, pages de vente ou emails pour des boutiques en ligne
- Le coaching et les formations en ligne : accompagnement stratégique pour les lancements
- Les logiciels SaaS (Software as a Service) : création de campagnes marketing pour des solutions technologiques
- La santé et le bien-être : un domaine où l’émotionnel joue un rôle clé, parfait pour des textes persuasifs
💡 Exemple : Une copywriter spécialisée dans le coaching canin peut facturer une page de vente entre 2 000 € et 5 000 €, car elle maîtrise les attentes des coachs et leur public cible.
Apprendre à valoriser ses services
Trop souvent, les copywriters sous-évaluent leur travail. Pourtant, chaque mot que vous rédigez peut avoir un impact direct sur les ventes de vos clientes.
Pour maximiser vos revenus :
- facturez à la valeur apportée : si une page de vente génère 10 000 €, il est légitime de la facturer 2 000 €
- proposez des forfaits : offrez des packages (par exemple, une page de vente + une séquence email) pour augmenter le panier moyen de vos prestations
- négociez intelligemment : ne baissez pas vos prix, mais proposez des services additionnels si nécessaire (révisions, consulting)
Diversifier ses sources de revenus
La diversification est la clé pour stabiliser ses revenus et en générer davantage. Voici quelques idées :
- proposer des formations ou ateliers : partagez vos connaissances avec d’autres entrepreneures ou débutantes en copywriting
- créer un produit digital : lancez un ebook, un guide ou un template de copywriting à vendre en ligne
- travailler en affiliation : recommandez des outils ou formations que vous aimez en échange d’une commission
- accompagner des lancements complets : facturez des prestations globales incluant la stratégie, la rédaction et le suivi.
💡 Exemple : Une copywriter qui combine services à la carte, formations en ligne et revenus d’affiliation peut atteindre 10 000 € par mois (oui, je sais, c’est énorme 😍😍)
Fidéliser ses clients
Travailler avec des clients réguliers est un excellent moyen de garantir des revenus stables et de réduire le temps passé à prospecter.
- Misez sur la relation humaine : soyez réactive, à l’écoute et proactive dans vos suggestions
- Proposez des abonnements ou contrats mensuels : par exemple, un forfait pour rédiger des emails ou gérer des campagnes de copywriting
- Restez indispensable : aidez vos clientes à mesurer les résultats de vos textes (taux de conversion, ROI), afin qu’elles voient clairement votre valeur ajoutée
Développer une marque personnelle forte
Les clientes haut de gamme ne cherchent pas seulement une bonne copywriter, mais une professionnelle qui inspire confiance et maîtrise son domaine :
- Créez du contenu sur LinkedIn ou un blog pour démontrer votre expertise et attirer des prospects naturellement
- Soignez votre portfolio : présentez vos réalisations avec des chiffres et des résultats concrets (exemple : « Cette page de vente a généré 20 000 € de CA »)
- Tissez des relations stratégiques : collaborez avec des agences ou d’autres freelances pour bénéficier de recommandations
Le métier de copywriter offre une flexibilité rare et un potentiel financier impressionnant. Que vous débutiez ou que vous soyez déjà confirmée, il est tout à fait possible de générer un revenu confortable, voire très élevé, en appliquant les bonnes stratégies.
En se spécialisant, en valorisant son expertise et en diversifiant ses sources de revenus, une copywriter peut transformer ses compétences en une véritable machine à rentabilité.
Alors, si le salaire de copywriter vous faisait douter, rassurez-vous : ce métier a tout ce qu’il faut pour être une activité rentable et épanouissante. Vous avez les clés, il ne reste plus qu’à les utiliser ! 😊
Vendre grâce au copywriting
Copywriting par-ci, copywriting par-là. Vous entendez ce mot mystérieux partout sans vraiment savoir ce qu’il signifie ?
Le copywriting, c’est l’art d’écrire pour persuader. En d’autres termes, c’est savoir utiliser les mots pour captiver l’attention, susciter une émotion et pousser à l’action.
Et tout le monde en rafolle : les entreprises, les entrepreneurs, les freelances, les ONG, les créateurs de contenus….
Pas étonnant : c’est une compétence qui aide à vendre plus.
Alors, le copywriting, c’est quoi exactement ? Et pourquoi tout le monde en parle ? Je vous explique tout dans cet article😊
Qu’est-ce que le copywriting ?
Vous avez déjà lu un texte qui vous a donné envie d’agir immédiatement ? Acheter un produit, télécharger un guide ou même simplement cliquer sur un lien ? Ce pouvoir, c’est celui du copywriting.
Mais concrètement, c’est quoi le copywriting ?
C’est l’art d’utiliser les mots pour convaincre, séduire et inciter à l’action.
En gros, le copywriting (ou conception-rédaction en français, mais avouez que ça moins fait rêver 😂), c’est transformer des mots en argent.
Oui, rien que ça.
Le plus surprenant, c’est que le copywriting, on en croise partout, tout le temps : sur les pages de vente, dans vos emails, sur les réseaux sociaux, les pubs à la télé…
Sans le savoir, vous faites même du copywriting quand vous essayez de convaincre votre petit dernier de manger sa soupe à la carotte.
Et si vous pensez que c’est réservé aux grandes marques ou aux pros du marketing, détrompez-vous.
Tout le monde a besoin de copywriting !
De la boulangerie du coin qui veut attirer plus de clients avec des affiches appétissantes, à l’entrepreneure qui cherche à vendre ses formations en ligne, en passant par les freelances qui veulent décrocher leurs prochaines missions.
Le copywriting, c’est universel.
Parce qu’au fond, peu importe ce que vous vendez : des pains au chocolat, des programmes de coaching ou des applications mobiles, une chose reste la même… Vous avez besoin de captiver, convaincre et donner envie.
Copywriting vs rédaction web : quelles différences ?
Beaucoup de gens confondent copywriting et rédaction web.
Après tout, les deux impliquent d’écrire pour internet. Mais en réalité, ce sont deux disciplines bien distinctes, avec des objectifs et des approches qui n’ont rien à voir.
Le rôle de la rédaction web : informer et plaire à Google
Un rédacteur web, c’est un peu le journaliste du web.
Son job ?
Créer des contenus qui informent, éduquent ou divertissent tout en séduisant les moteurs de recherche. On parle ici d’articles de blog, de fiches produits ou encore de pages « À propos ».
La priorité, c’est d’écrire des textes bien structurés, optimisés pour le SEO (avec les bons mots-clés) et faciles à lire.
Résultat ?
Le site grimpe dans les résultats de recherche et attire plus de visiteurs. Mais… cela ne veut pas dire que ces visiteurs achètent.
Le rôle du copywriting : vendre, tout simplement
Contrairement à la rédaction web, le copywriting ne cherche pas à informer, mais à persuader.
Ici, on oublie les longues introductions et les textes neutres. Chaque mot est choisi pour captiver, émouvoir et inciter à l’action.
Page de vente, email marketing, publicités Facebook, scripts vidéo… Le copywriter a une mission claire : transformer un visiteur en client.
Son arme ?
Des mots qui appuient sur les émotions, qui répondent aux objections, et qui font rêver votre lecteur en lui montrant comment une offre peut changer sa vie.
Mais attention, il ne s’agit pas de vendre du rêve. Ici, on parle de copywriting éthique !
Copywriting vs. rédaction web : les différences majeures
1. Les tarifs
Alors là, il n’y a pas photo. Le travail d’un copywriter est facturé bieeeeeeen plus cher que celui d’un rédacteur web.
Pourquoi ?
Parce que le copywriting, c’est un investissement direct : un bon texte peut générer des dizaines, voire des centaines de milliers d’euros de revenus.
Là où le rédacteur web est payé pour produire du contenu, le copywriter est payé pour ses résultats.
Exemples concrets de prestation :
- rédaction d’article de blog de 1 000 mots (rédaction web) : 7cts/mot = 70 € pour env.2h de travail
- rédaction d’une page de vente (copywriting) : env. 1 000 € pour une grande débutante pour 4 à 7 jours de travail
Là où une rédactrice peine à gagner 2 000 €/mois, une copywriter peut les faire en 15 jours à peine !
Je vous l’ai dit, il n’y a pas photo.
2. Le statut : la copywriter est bien mieux considérée
Dans le monde du digital, une copywriter est souvent perçue comme une experte stratégique, alors que la rédactrice web est parfois vue comme une simple « exécutante ».
Une image injuste mais bien ancrée.
La copywriter est souvent impliquée dans les décisions marketing de son client, alors que la rédactrice reste en arrière-plan.
3. Les compétences demandées
La rédactrice web doit avant tout maîtriser le SEO et savoir produire des textes bien structurés.
La copywriter, elle, doit comprendre :
- la psychologie humaine
- les mécanismes de persuasion
- les bases du marketing
- etc.
Elle doit savoir « vendre avec des mots », ce qui demande une expertise bien spécifique.
4. L’impact sur le business
La rédaction web attire des visiteurs, mais le copywriting les transforme en clients.
C’est ce qui fait toute la différence dans une stratégie de contenu : sans copywriting, le trafic reste souvent stérile, car il manque ce « déclic » qui pousse les gens à passer à l’action.
Pourquoi le copywriting est indispensable ?
Bon, OK, à ce niveau de l’article, vous l’aurez compris : le copywriting sert à vendre. Mais pas uniquement. Eeeeeet oui, ce ne sont pas les seules raisons qui font que les entreprises ne peuvent se passer d’écriture persuasive.
Toucher le cœur avant de convaincre la tête
Les décisions d’achat ne sont jamais purement rationnelles. Elles sont d’abord émotionnelles.
Peur de manquer une opportunité, désir d’améliorer son quotidien, rêve de réussir… Le copywriting sait appuyer là où il faut, au bon moment, pour déclencher une réaction.
En utilisant des mots qui résonnent avec les émotions, le copywriting permet d’établir une connexion forte, que ce soit avec un prospect ou un lecteur.
Se démarquer dans un monde saturé
Aujourd’hui, tout le monde communique.
Mais qui captive vraiment ?
Pas grand monde. Et c’est là que se trouve la faille.
Avec du bon copywriting, que ce soit sur une page de vente, un email ou un post sur les réseaux sociaux, on se démarque de la foule, tout simplement.
Dans un univers où l’attention est la ressource la plus précieuse, les mots justes permettent de sortir du lot et de marquer les esprits.
Transformer l’attention en action
Obtenir des clics ou des vues, c’est bien. Mais ce n’est que la première étape.
Ce qui compte vraiment, c’est de convertir l’attention en action : un achat, une inscription ou une demande de contact.
Le copywriting est spécialement conçu pour cette étape cruciale.
Le lecteur fait ce que vous lui demander de faire, sans qu’il ne se sente poussé ou manipulé (bah oui, ce n’est pas de l’hypnose non plus 😂).
Un outil stratégique à fort impact
Contrairement à d’autres disciplines, le copywriting a un impact direct sur les résultats.
Une page de vente optimisée, un email bien construit ou une publicité accrocheuse peuvent faire la différence entre un lancement raté et un flop.
C’est une compétence qui ouvre des portes, tant pour celles qui souhaitent devenir copywriters que pour les entrepreneures qui veulent booster leur business.
Où utilise-t-on le copywriting ?
Le copywriting ne se limite pas à un seul support. C’est une compétence polyvalente qui s’applique partout où il faut convaincre, séduire, ou inciter à l’action. Emails, pages de vente, vidéos, posts sur les réseaux…
Les emails : pour entretenir la relation et vendre
L’email est l’un des outils les plus puissants pour établir une connexion durable. Que ce soit une newsletter, une séquence de bienvenue ou un email de vente.
Le copywriting dans les emails doit capter l’attention dès l’objet : sans un titre percutant, sorry but votre email finira dans la corbeille !
Et une fois ouvert, ce n’est pas fini.
L’objectif est de captiver le lecteur, répondre à ses besoins et le guider vers une action, comme cliquer sur un lien ou acheter un produit.
Une bonne séquence d’emails peut transformer une liste d’abonnés en une véritable machine à faire des ventes. D’ailleurs ce n’est pas moi qui le dit, mais les stats.
Regardez un peu ça :
- l’email marketing génère en moyenne un ROI (retour sur investissement) de 4200 %. En gros, pour 1 $ dépensé, vous pouvez gagner 42 $
- l’email est 40X plus efficace que les réseaux sociaux pour obtenir de nouveaux clients
- le taux de clic moyen des campagnes email varie entre 2 % et 5 % (bien plus élevé que les taux de clic des publications sur les réseaux sociaux)
L’emailing est aussi un excellent moyen de nourrir la relation en offrant de la valeur : conseils, astuces, témoignages, etc. Et une fois que vous proposez un produit à vendre : les gens achètent volontiers (c’est le biais de réciprocité).
Mais tout cela n’est possible qu’avec un copywriting en béton armé.
Les posts sur les réseaux sociaux : l’art de se faire remarquer dans le chaos
Sur les réseaux sociaux, l’attention est un luxe.
Entre les photos de vacances de tata Jeannine et les vidéos de chats qui dansent, il faut un vrai talent pour captiver. Et c’est là que le copywriting entre en scène.
Une question intrigante, une anecdote hilarante ou une punchline bien sentie : un bon post arrête les pouces en plein scrolling.
Mais ce n’est pas tout…
Il engage, il inspire, et il incite à agir. Commenter, partager, liker… ou cliquer sur un lien pour en savoir plus.
Un post réussi, c’est un peu comme un bon premier rendez-vous : captivant, mémorable, et qui donne envie de revenir pour la suite.
Les pages de vente : pour transformer les visiteurs en clients
Une page de vente, c’est bien plus qu’une simple description d’un produit ou d’un service. C’est un véritable argumentaire en ligne, pensé pour répondre aux besoins et objections des prospects.
Le copywriting y est roi : chaque section a un rôle précis :
- la promesse principale capte l’attention
- les bénéfices séduisent
- les preuves sociales rassurent
- les appels à l’action (CTA) incitent à acheter
Pour être efficace, une page de vente doit s’adresser directement aux émotions du lecteur tout en offrant des arguments logiques pour justifier l’achat.
C’est un mélange subtil de persuasion et de storytelling, où chaque mot est calibré pour convaincre.
Allez, j’suis sympa, je t’ai concocté un article mama mia pour savoir comment écrire une page de vente.
Les landing pages et formulaires de capture : le guet-apens bienveillant
Une landing page bien copywritée, c’est comme un hameçon qui attrape les prospects avec douceur.
Elle ne les noie pas sous les informations inutiles : elle les attire avec une promesse forte et les guide vers une action simple.
Quant au formulaire de capture, c’est l’arme secrète pour obtenir ces précieuses adresses email.
Mais attention : ici aussi, chaque mot compte. « Recevoir mon guide gratuit » fonctionne bien mieux que « S’inscrire à ma newsletter ». Et si on peut ajouter une touche d’humour ou de curiosité, c’est encore mieux.
Les vidéos : pour convaincre avec des mots qui marquent
Dans les scripts vidéo, le copywriting joue un rôle clé pour capter l’attention dès les premières secondes.
Une accroche percutante, un ton engageant et une structure claire sont essentiels pour maintenir l’intérêt du spectateur.
Un bon script vidéo, c’est comme une bande-annonce de blockbuster : ça capte l’attention en quelques secondes, ça intrigue, et ça donne envie de rester jusqu’au bout.
Qu’il s’agisse d’une pub, d’un tutoriel ou d’une vidéo témoignage, le copywriting joue un rôle clé pour rendre le message mémorable.
Les fiches produits : pour vendre un grille-pain comme si c’était un bijou
Sur un site e-commerce, les fiches produits sont un peu les vendeurs silencieux. Et sans copywriting, elles sont souvent aussi excitantes qu’un mode d’emploi de lave-linge.
Le copywriting transforme une description plate en une promesse séduisante. « Grille-pain en inox » devient « Transformez vos matins avec ce grille-pain design, rapide et élégant, qui fera croustiller vos tartines en un rien de temps. »
Et si le lecteur hésite encore, une petite preuve sociale (« Évalué 5 étoiles par 98 % des utilisateurs ») finit de le convaincre 😉.
Les bases incontournables pour un copywriting efficace
Bien connaître sa cible : entrer dans sa tête, et un peu dans son cœur
La clé d’un copywriting réussi, c’est une connaissance approfondie de la cible. C’est la baaaaaaaase les amies !
Si l’on écrit sans savoir à qui on parle, c’est un peu comme lancer une fléchette les yeux fermés : on a très peu de chances de toucher le centre.
Connaître sa cible ne se résume pas à savoir son âge ou son métier. Il faut aller plus loin :
- Quels sont ses désirs profonds ?
- Quels problèmes rencontre-t-elle au quotidien ?
- Quels échecs la frustrent ou la bloquent ?
- Quelles solutions a-t-elle déjà essayées, sans succès ?
Créer un persona est une étape cruciale pour répondre à ces questions.
Il permet de donner un visage humain à cette « cible » et d’écrire comme si l’on s’adressait à une seule personne.
Par exemple, si la cible est une entrepreneure fatiguée de jongler entre son business et sa vie perso, un texte qui commence par : « Vous avez l’impression que vos journées ne font que 10 heures ? Et si vous pouviez en gagner 2, dès aujourd’hui ? » captivera immédiatement.
S’adresser à quelqu’un qui se sent compris, c’est déjà 50 % du chemin vers la conversion.
Je donne le mode d’emploi pour créer son avatar client juste ici.
L’offre irrésistible : donner envie dès le premier regard
Le copywriting peut transformer un produit ou un service en véritable objet de désir… à condition que l’offre soit irrésistible.
Une offre irrésistible combine une forte valeur perçue et un sentiment d’urgence ou d’exclusivité.
Mais qu’est-ce qui rend une offre irrésistible ?
- Une promesse claire : l’offre doit répondre à un besoin précis de la cible. Par exemple, « Gagnez vos premiers 1 000 € en freelance en 30 jours »
- Des bonus attractifs : ajouter des ressources supplémentaires, comme des guides ou des templates, donne une impression de valeur accrue
- Une garantie solide : un « Satisfait ou remboursé sous 30 jours » par exemple
- Un sentiment d’urgence : Des promotions limitées dans le temps ou un nombre restreint de places disponibles incitent à agir immédiatement
Un copywriter efficace ne se contente pas de présenter l’offre, il la magnifie, en montrant précisément comment elle résout un problème ou réalise un rêve. Et surtout, il crée un « effet wow » 😍 dès les premières lignes.
Comprendre la psychologie humaine : appuyer là où ça fait “clic”
Le copywriting repose sur une profonde compréhension des mécanismes psychologiques.
Pour convaincre, il s’appuie souvent sur les six principes de persuasion décrits par Robert Cialdini, qui sont des biais universels qui influencent nos comportements :
- La réciprocité : donner avant de recevoir
- La preuve sociale : suivre la majorité
- La rareté : ce qui est rare est précieux
- L’autorité : faire confiance à un expert
- L’engagement et la cohérence : une fois une action engagée, les gens sont plus enclins à poursuivre pour rester cohérents
- La sympathie : on dit oui à ceux qu’on aime
Ces principes de Cialdini ne sont pas des « recettes magiques », mais des leviers psychologiques qui fonctionnent depuis la nuit des temps.
Ils doivent être utilisés subtilement et toujours avec sincérité. Le lecteur doit se sentir respecté, pas manipulé. Quand c’est bien fait, il se retrouve à cliquer ou à acheter presque « naturellement », comme si la décision venait de lui-même.
Choisir des mots simples, mais percutants
Oubliez tout ce que vous avez appris en cours de français. Les dissert’, les rédac’, tout ça, c’est fini !
En copywriting, on va droit au but.
Pourquoi ? Parce que personne n’a envie de relire 3 fois une phrase pour en comprendre le sens.
Un langage simple et direct est plus impactant, car il élimine toute friction. Au lieu de dire :
« Notre solution optimise les processus organisationnels dans un cadre professionnel structuré. »
Dites :
« Simplifiez votre travail en un clic. »
Les mots courts, les phrases concises et les formulations positives touchent davantage le lecteur. Ils créent une lecture fluide et agréable, qui invite à continuer sans effort.
Nul besoin d’être un génie ou d’avoir une plume exceptionnelle pour maîtriser ces bases.
Tout cela s’apprend, se pratique, et surtout, s’améliore avec le temps.
Que ce soit pour devenir copywriter ou pour utiliser cette compétence dans son business, la clé est de commencer, de tester, et d’ajuster.
Alors, prête à passer à l’action ? 😊
Vendre grâce au copywriting
Vous êtes une entrepreneure motivée et prête à conquérir le monde en ligne ?
Vous avez une passion à partager, un produit ou un service exceptionnel à offrir, mais il y a un problème qui vous hante : vous ne savez pas qui est votre client idéal.
Vous avez peut-être déjà passé des heures à écrire des articles, à créer du contenu sur les réseaux sociaux, à développer votre site web…
Mais vous vous sentez perdue.
Et malheureusement, cela vous empêche de progresser.
Vous vous demandez comment toucher les bonnes personnes et créer du contenu (et des produits) qui les intéressent ?
Cet article tombe à pic.
Je vais vous montrer les étapes indispensables pour définir son avatar client. LA base quand on a un business en ligne et que l’on souhaite en vivre.
Prenez de quoi noter, c’est parti !
Un avatar client, c’est quoi ?
Un avatar client, c’est une représentation fictive de votre client idéal.
C’est comme créer un portrait-robot de la personne qui sera la plus intéressée par vos produits ou services.
Objectif ? Créer du contenu qui lui plaira.
Pourquoi définir son avatar client ?
Imaginez un peu…
Il fait nuit noire. Vous vous promenez dans une forêt, avec, pour seul guide une vieille carte défraîchie.
Vous avancez à tâtons, sans savoir où vous allez, ni comment atteindre votre destination.
C’est exactement ce que vivent les entrepreneurs en ligne qui négligent l’importance de définir leur avatar client.
Définir votre client idéal, c’est bien plus qu’une formalité administrative. C’est un élément clé de votre stratégie marketing car ça vous permettra de mieux comprendre votre cible et d’établir une connexion profonde avec elle.
Admettons que vous soyez une créatrice de bijoux artisanaux…
Vous décidez de vendre des bijoux qui coûtent un bras, de style classique, genre “collier de perles de Mamie Colette”. Seulement voilà, Mamie Colette ne va pas sur internet. Votre cible est plutôt jeune et aime les bijoux modernes aux couleurs flashy. Côté budget, on est plutôt sur des petits prix.
Vous avez loupé le coche !
Vous vous retrouvez avec des stocks invendus et une entreprise en difficulté.
Si vous aviez défini votre cliente cible, vous auriez créé des produits qui lui plaisent. Vous auriez créé un sentiment d’appartenance avec votre marque et gagniez plus de sous.
Morale de l’histoire : en définissant votre client idéal, vous pouvez :
- comprendre parfaitement qui il est et ce qu’il recherche réellement
- dire adieu aux suppositions grâce à des données fiables
- adapter votre message et votre contenu pour attirer l’attention de votre prospect et le séduire en un claquement de doigts
- économiser un temps précieux en vous concentrant uniquement sur les canaux de communication les plus efficaces
- avoir une entreprise qui répond précisément aux besoins et aux désirs de ses clients
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Étape 1 pour définir son avatar client : Comprendre son marché cible
L’analyse de marché
Pour réussir en ligne, la première chose à faire est de réaliser une analyse approfondie de son marché cible.
En gros : collecter des données démographiques, comportementales et psychologiques pour mieux comprendre qui sont vos clients potentiels et comment ils interagissent avec votre niche.
Comment faire ?
- Identifiez votre niche : Définissez clairement le domaine spécifique dans lequel vous souhaitez vous positionner. Plus votre niche est précise, plus il sera facile de comprendre les besoins et les attentes de votre public cible.
- Analysez les données démographiques, comme :
- l’âge
- le genre
- la localisation géographique
- le niveau d’éducation
- la situation familiale
- les revenus
- les livres, films, musiques préférés
- les contenus consommés (blogs, magazines, documentaires, etc.)
- les loisirs
- les mentors (= personnes inspirantes)
3. Explorez les comportements d’achat : comprenez comment votre marché cible interagit avec les produits similaires aux vôtres. Quels sont leurs canaux d’achat préférés ? Quels facteurs influencent leur décision d’achat ?
Avec ces informations, vous avez élaboré la carte d’identité détaillée de votre client idéal. C’est bien, mais pas suffisant pour créer du contenu et des produits dont il raffolera.
Le secret, c’est de connaître son moi profond : ses valeurs, les problèmes auxquels il est confronté, ce qui l’empêche de dormir la nuit, les résultats qu’il rêve d’obtenir.
Je vous explique tout de suite comment on fait.
Plongez dans les motivations et les aspirations profondes de votre cible
Pour identifier les problèmes et les besoins spécifiques de votre marché cible, vous avez plusieurs possibilités :
- veille sur les réseaux sociaux (groupes Facebook/LinkedIn si vous êtes en BtoB, commentaires sur Instagram/YouTube, etc.). Repérez les sujets et expressions qui reviennent le plus souvent
- veille sur les forums de discussion (oui oui, ces trucs des années 2000 que vous pensiez morts)
- envoi de sondages à votre liste via votre newsletter
- lire les commentaires sur Amazon
- analyse de la concurrence directe et indirecte. Analysez leur site web, leurs offres, leurs messages marketing et leurs interactions avec leur audience. Ça vous aidera à comprendre les attentes de votre marché et à vous différencier de vos concurrents.
- feedback des clients : analysez les retours d’expérience, les commentaires sur les réseaux sociaux, les évaluations et les témoignages. Les clients sont une source précieuse d’informations sur les problèmes qu’ils ont rencontrés et les solutions qu’ils recherchent.
Mais si vous devez opter pour une seule technique, je vous recommande les entretiens individuels.
Il n’y a pas mieux pour récupérer des informations qui seront de vraies pépites.
Demandez à 10 -15 prospects s’ils acceptent de s’entretenir avec vous via Zoom ou par téléphone (perso, je préfère les call vidéo) et posez-leur vos questions.
Quelles questions poser ?
- Quel est le problème principal auquel vous faites face avec [votre thématique] ?
- Qu’est-ce que ça engendre chez vous ? Comment vous sentez-vous par rapport à ça ?
- De quoi avez-vous secrètement peur ?
- Décrivez-moi votre situation idéale
- De quelle solution pensez-vous avoir besoin pour atteindre vos objectifs ?
- Quelles sont vos valeurs ?
- etc.
Les outils pour analyser son marché comme une pro
Je vous l’ai dit plus haut, trouver des infos pour définir son client idéal n’est pas compliqué. Ça se fait sur les réseaux sociaux, en analysant la concurrence, en créant des sondages, etc.
Mais il existe aussi des outils complémentaires pour vous aider à être plus précis, pour la plupart gratuits (hey hey !)
Pour effectuer une analyse approfondie de votre marché cible, voilà les outils que je recommande :
- Google Trends : pour comprendre les sujets populaires et l’évolution des intérêts de votre public cible
- Facebook Audience Insights : pour obtenir des données démographiques détaillées sur votre audience cible, telles que l’âge, le sexe, la localisation géographique, les intérêts et les comportements
- SurveyMonkey ou Google Forms : pour créer des sondages. Posez des questions ouvertes pour obtenir des réponses approfondies sur leurs besoins et leurs préférences
- SEMrush : cet outil de recherche de mots clés vous permet d’analyser les mots clés utilisés par votre audience cible, de découvrir les concurrents dans votre niche et d’obtenir des informations sur les tendances de recherche
- BuzzSumo : pour explorer les contenus les plus populaires dans votre domaine. Top pour trouver des influenceurs pertinents à suivre et collaborer avec eux
- Google Analytics : pour obtenir des informations sur le comportement de votre audience, telles que le nombre de visites, le temps passé sur votre site, les pages les plus consultées, etc.
- Quora : c’est un outil génial pour découvrir les questions fréquemment posées par votre audience cible
- LinkedIn Sales Navigator : pour trouver des leads et des contacts pertinents dans votre marché cible. Vous pouvez filtrer les résultats en fonction de critères comme le secteur d’activité, la localisation et le niveau de responsabilité.
Créez une histoire fictive
OK, vous avez la carte d’identité de votre avatar. Vous connaissez son profil psychologique.
Avec toutes les infos collectées, vous allez maintenant créer une histoire fictive qui décrit votre client idéal de manière hyper détaillée.
Donnez-lui un nom, une personnalité et une histoire de vie.
Exemple :
J’ai un blog sur les cosmétiques naturels et je vends des produits de beauté bio.
J’ai suivi les conseils de Jennifer, j’ai fait une analyse précise de mon avatar. Voici son portrait-robot :
“Sophie, consultante en marketing de 35 ans passionnée par la protection de l’environnement. Depuis son adolescence, Sophie a lutté contre des problèmes de peau qui ont affecté sa confiance en elle. Elle a essayé de nombreux produits disponibles sur le marché, mais aucun d’entre eux n’a vraiment résolu son problème de manière durable.
C’est lors d’une recherche approfondie sur les ingrédients et les pratiques de l’industrie cosmétique qu’elle a découvert les effets néfastes des produits chimiques sur la peau et sur l’environnement. Sophie a ressenti une véritable prise de conscience et a décidé de changer sa routine beauté pour adopter une approche plus naturelle et respectueuse de la planète.
Sa quête l’a conduite à essayer différentes marques. À force de persévérance, elle a réussi à trouver une combinaison de produits qui a non seulement amélioré l’apparence de sa peau, mais qui lui a également redonné confiance en elle.
Sophie est une femme énergique, curieuse et soucieuse de sa santé.
Au-delà de son propre bénéfice, elle veut inspirer les autres à adopter un mode de vie plus respectueux de l’environnement et à faire des choix éclairés en matière de produits de beauté. Elle est convaincue que chaque geste compte et que nous pouvons tous faire une différence en optant pour des alternatives naturelles et durables.”
Voilà un portrait-robot qui en jette. On est bien loin des informations basiques du type “âge, genre, métier, etc.”
À vous de jouer maintenant !
Étape 2 : Intégration de l’avatar client dans la stratégie de contenu
Personnaliser ses contenus
Une fois que vous savez qui est votre Sophie à vous, gardez-la en tête à chaque fois que vous travaillez sur votre business en ligne.
Je vous conseille de pousser le bouchon un peu plus loin en collant une photo libre de droit qui ressemble à votre avatar à proximité de votre poste de travail.
Le but, c’est d’adapter vos contenus en utilisant le langage, les problématiques et les aspirations de votre avatar client afin de créer de l’engagement.
Votre client idéal parle breton ?
→ Utilisez des mots en breton dans vos articles, vos vidéos, vos posts de réseaux sociaux.
Votre cliente idéale croit en la valeur “famille” ?
→ Racontez-lui votre dernier weekend avec les enfants, papi, mamie et toute la clique. Ça la fera fondre.
Votre audience est sur TikTok ?
→ Investissez dans une formation qui vous apprendra comment percer sur ce réseau.
Votre avatar aspire à l’indépendance et la liberté ?
→ Donnez des vrais conseils pour échapper à la contrainte d’un emploi traditionnel. Parlez de votre parcours, de votre joie de pouvoir aménager vos horaires comme vous le souhaitez.
La clé, c’est de parler au cœur de votre prospect. Là, vous aurez une audience fidèle.
Choisir des canaux de communication appropriés
Sélectionnez les plateformes où votre avatar client est le plus actif et réceptif, et balancez la sauce.
Ne gaspillez surtout pas votre énergie en allant partout. Ce serait une erreur stratégique monumentale !
Si votre audience cible est sur LinkedIn et pas ailleurs, pourquoi vous casser la tête à créer du contenu sur Instagram ou Twitter ?
Si vous avez identifié que votre client idéal adore regarder des vidéos mais n’aime pas trop lire, ne vous fatiguez pas à écrire des articles sur un blog. Même s’ils sont excellents, personne ne les lira. À quoi bon ?
Étape 3 : Validation de votre avatar client
Cette étape est cruciale pour bien définir son avatar et s’assurer de son efficacité.
Voici comment procéder :
- Testez et ajustez : observez attentivement les réactions de votre audience. Analysez les résultats et les retours d’expérience pour voir si votre avatar correspond réellement à votre marché cible. Par exemple, si vous ciblez des jeunes professionnels urbains, mais que vous constatez que votre contenu attire principalement des étudiants, il peut être nécessaire d’ajuster certains aspects de votre avatar.
- Analysez les indicateurs de performance, comme :
- le taux d’engagement : mesurez le niveau d’interaction et de participation de votre audience avec votre contenu (likes, commentaires, partages, temps passé sur la page, etc.)
- le taux de conversion : suivez le pourcentage de visiteurs qui effectuent une action désirée (inscription à votre newsletter, achat d’un produit, etc.). Si vous constatez un faible taux de conversion, c’est le signe que votre avatar client n’est pas suffisamment aligné avec votre audience cible.
3. Les sondages ou des questionnaires : utilisez-les pour recueillir des feedbacks directs de votre audience. Posez des questions spécifiques sur la pertinence de votre contenu, la compréhension de leurs besoins et problèmes, etc. Les réponses peuvent vous aider à ajuster et améliorer votre avatar client.
Exemple :
Supposons que vous avez créé un avatar client nommé « Emma » pour votre entreprise de fitness en ligne. Vous ciblez les femmes de 25 à 35 ans qui cherchent à perdre du poids.
Après avoir utilisé votre avatar dans vos campagnes marketing, vous remarquez que votre contenu reçoit un engagement élevé, mais que les taux de conversion sont inférieurs à vos attentes.
En analysant les données, vous constatez que votre audience est plus intéressée par des programmes d’entraînement rapides et efficaces plutôt que des régimes restrictifs.
Vous ajustez alors votre avatar en mettant davantage l’accent sur des programmes d’entraînement intenses et équilibrés.
Résultat : vous constatez une augmentation de vos taux de conversion.
Étape 4 : Surveiller les changements et les tendances du marché
Vous avez défini votre client idéal ? Très bien.
Mais quoi, vous pensiez que vous en aviez fini à jamais ?
Que nenni mon amie ! Définir son avatar client quand on est entrepreneure sur le web, c’est pour la vie.
Alors, ne restez jamais sur vos acquis et :
- restez informée des évolutions de votre marché cible, des nouvelles technologies et des changements sociaux
- adaptez votre avatar client en fonction de ces évolutions pour rester pertinente
- collectez des feedbacks réguliers via des sondages, des commentaires, des discussions pour rester à la page
- analysez attentivement ces feedbacks pour identifier les points à améliorer et ajuster votre avatar client au fil du temps
Ouf, voilà, on y est.
Vous savez maintenant comment bien définir son avatar client et adapter sa stratégie marketing en fonction de son audience.
Fini le contenu publié au petit bonheur la chance. Vous avez toutes les cartes en main pour bâtir une entreprise sur le web qui cartonne !
Jennifer
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Vendre grâce au copywriting
Ceci est un article invité de Maxence, du site Maxencedelabre.fr
« Putain »
Voilà que de longs mois se sont écoulés.
De longs mois au cours desquels vous avez publié sans relâche.
De longs mois sacrifiés avec l’espoir d’y arriver, peut-être.
Vous y avez tout mis, pourtant.
Votre expertise est là, vos conseils sont bons.
Votre envie d’aider est sincère, vous n’êtes pas un arnaqueur.
Mais non, ça n’a pas suffit. Comme toujours.
Le destin s’est abattu sur vous comme une balle déchirant l’abdomen.
C’est avec souffrance, en effet, que vous avez regardé les statistiques de vos derniers articles.
Ces statistiques… qui reflètent cette vérité injuste, cruelle, dégueulasse :
Les gens n’en ont rien à faire de vous.
Vous sacrifiez votre vie sociale pour écrire vos articles ?
Tout le monde s’en fout.
Vous travaillez jusque tard le soir, pour développer votre business ?
Tout le monde s’en fout.
Vous pleurez à l’idée d’être enchaîné à un bullshit job ?
Tout le monde s’en fout.
Voilà, la réalité.
Vous n’avez jamais été récompensé à la hauteur de vos efforts.
Et personne ne vous aide vraiment.
Et je sais que vous avez dû faire un choix.
Vous avez peut-être publié d’autres articles, en espérant que tonton Google compatisse à votre peine.
Vous avez peut-être acheté une énième formation d’un gourou qui vous a proposé une nouvelle méthode inconnue et révolutionnaire qui va définitivement résoudre vos problèmes d’argent, blablabla.
Ou… peut-être que vous avez fait le pire.
Peut-être que vous avez décidé de tout arrêter.
D’aller fumer une clope.
De retourner dans votre chambre.
Et de repartir bosser au bureau pour pouvoir payer vos factures.
Et pendant ce temps, sur votre téléphone, vous voyez des petits prétentieux de 20 ans qui se font 10, 20, 30k / mois et qui vous narguent avec leur villa et leur voiture.
Alors que vous, vous travaillez plus dur qu’eux et vous n’avez pas leur succès…
Obsédant, n’est-ce pas ?
Oh… je sais, on vous a fait culpabiliser.
On vous a dit que vous n’aviez pas le « mindset ».
Que si vous n’investissez pas 5 000 € dans un accompagnement, c’est que vous êtes un loser.
On vous a peut-être dit aussi que vous ne travaillez pas assez, et qu’il faut subir une traversée du désert.
Ben voyons…
Vous voulez que je vous dise la vérité ?
Vous voulez que je vous dise vraiment ce qui ne va pas ?
Écoutez-moi bien : cela n’a rien avoir avec votre manque de légitimité, ni avec le design de votre site, ni avec votre Q.I., ni avec les mots clés, ni avec votre mindset, ni avec tout ce genre de conneries.
Si aujourd’hui vous êtes aussi visible qu’un grain de sable dans un désert…
… c’est parce que vos articles sont horriblement chiants.
Oui oui, ils sont chiants.
Très chiants.
Et je ne dis pas ça pour vous insulter, loin de là.
Je vous le dis car vous ne vous en rendez même pas compte.
Vous croyez « bien faire ».
Mais en vérité, vous faites fuir vos prospects plus qu’autre chose.
Un exemple ?
Lisez juste l’intro de vos articles.
Personnellement, je ne compte plus les posts dont le début est aussi soporifique qu’un cours de latin récité sur un ton monotone à 8h du matin.
Oui, vous avez un sérieux problème.
Ceci dit, votre situation n’est pas désespérée.
Comme toujours, il existe des solutions (mais encore faut-il les connaître).
Et c’est ce dont j’aimerais vous parler aujourd’hui.
Déjà…
Étape n°1 : partez du principe que l’attention ne vous est pas due

Je sais, je sais… on aimerait tous être des stars.
Mais considérez ces chiffres :
Les Français reçoivent en moyenne 39 emails par jour.[1]
On est exposé en moyenne à 3 000 publicités par jour.[2]
7 000 000 d’articles de blog sont publiés par jour.[3]
Plus de 500 heures de vidéos YouTube sont postées par minute.[4]
Ma question pour vous est donc : faites-vous suffisamment d’efforts pour vous démarquer ?
Soyez honnête avec vous-même, et je parie que non.
Aujourd’hui, les gens ont le choix, vous savez.
C’est un peu comme s’ils étaient dans un resto, et qu’une foule de serveurs les suppliait de manger toute la nourriture qu’il y a sur le buffet.
Autrement dit : ils sont vite gavés.
Si vous n’êtes pas le serveur qui propose la nourriture la plus succulente, la mieux achalandée, la plus parfumée, il vous snobent.
C’est exactement pareil en marketing.
Si vous n’arrivez pas à intéresser les gens, vous êtes cuit.
Comment faire, du coup ?
C’est très simple : regardez ce que la plupart de vos concurrents font.
Et faites exactement le contraire.
Par exemple, dans la thématique du webmarketing, j’ai remarqué que :
👉 La plupart des articles de blog sont lisses et consensuels.
👉 La plupart des blogueurs n’incarnent aucune personnalité.
👉 La plupart des newsletters sont fades.
Du coup, j’ai fait le contraire.
Je joue le gars révolté contre notre société actuelle, contre cette société gangrénée par l’extrême gauche, et aseptisée à coup de vaccins, de QR Codes et de discours bien-pensants.
Quant à mes emails, je les écrits dans ce goût-là :

Oui, des gens ne seront pas d’accord avec mon branding et avec ma personnalité.
Mais tant mieux, car ça veut dire que, d’un autre côté, j’aurai des fans.
Étape n°2 : partez du principe qu’il faut bosser

Ce conseil, vous l’avez entendu 1 096 fois.
Mais PAS de la façon dont je vais le dire.
Apprendre à bosser, c’est lutter contre ce qu’on est enclin à faire.
En rédigeant des articles, vous avez remarqué que ce qui est facile à faire c’est :
👉 Donner des conseils, et rien que des conseils.
👉 Écrire sur un ton corporate.
Avouez-le : cette méthode n’apporte rien.
(À part remplir un blog que personne ne lira…)
Par contre, en faisant l’effort de bosser, on apprend la rédaction web, le copywriting (c’est mon métier) et la psychologie humaine.
On découvre ce qui fait vraiment réagir les gens.
On s’entraîne à mieux écrire.
Et on s’efforce d’avoir une écriture conçue pour capter et maintenir l’attention.
Oui, ça demande (beaucoup) de boulot. On ne devient pas un bon rédacteur en quelques semaines.
Mais si vous travaillez ces compétences, croyez-moi, votre niveau d’écriture sera propulsé à l’autre bout de la galaxie.
Bon… tout ça reste de la théorie.
Je sais que ce que vous voulez, ce sont des astuces.
(D’ailleurs, c’est le titre de cet article, non ?)
Ça tombe bien car je vous ai concocté 36 astuces de rédaction pour écrire des articles vraiment…
Vraiment…
Vraiment impactants.
Astuce n°1 : placez une bombe en début d’article
Ne dites pas : « Pour développer ses muscles, il est important de manger sainement et d’avoir un rythme d’entraînement. »
Dites : « Vous voulez rester avec votre physique de cadavre ? Non, je ne pense pas, alors lisez bien la suite. »
Astuce n°2 : utilisez des adjectifs puissants
Ne dites pas : « Je sais que votre situation est difficile ».
Dites : « Je sais que votre situation est indigne ».
Astuce n°3 : écrivez des phrases courtes
Ne dites pas : « Comme vous l’avez remarqué, en utilisant cette technique de séduction, il est assez facile d’intéresser un homme pour discuter avec vous et pour aller plus loin, sans avoir besoin d’être insistant ni en demande. » Je m’endors déjà.
Dites : « Cette technique, elle chauffe les mecs comme un radiateur. Et pas besoin d’être insistant. »
Astuce n°4 : utilisez des métaphores et comparaisons
Ne dites pas : « Le blogging est le meilleur moyen d’être libre financièrement » J’ai déjà entendu ça mille fois.
Dites : « Le blogging, c’est comme une fusée Ariane 5 : c’est le véhicule le plus rapide pour aller de votre situation initiale à votre situation désirée. »
Astuce n°5 : tirez à balle réelle
Ne dites pas : « Mes concurrents ont des solutions inefficaces. »
Dites : « Mes concurrents sont tellement compétents qu’ils proposent des techniques qui se périment en 2 jours d’utilisation. »
Astuce n°6 : utilisez l’humour
Ne dites pas : « On va voir comment planter des concombres pour optimiser leur croissance. »
Dites : « Pour avoir des concombres aussi gros qu’une… euh, qu’un bâton, je vais vous dévoiler une technique un peu bizarre mais redoutablement efficace. »
Astuce n°7 : parlez comme si vous étiez au PMU
Ne dites pas : « Longtemps, je fus marri par mon style d’écriture, un style qui suscitait maintes invectives de la part d’altières personnes »
Dites : « Je me suis fait traîner dans la boue comme un chien. »
Astuce n°8 : soyez précis
Ne dites pas : « Un krack risque de survenir, et si ça se produit, vous perdrez votre emploi, votre épargne et votre vie de famille. »
Dites : « Selon un consortium réunissant 506 experts, il a été conclu en 2021 qu’un krack va se produit dans les 5 prochaines années avec une probabilité de 92 % »
Astuce n°9 : soyez (de temps en temps) vulgaire
Ne dites pas : « Zut, zut et zut… Pourquoi mes articles n’engagent-ils pas ? »
Dites : « Putain, ça me soule. Pourquoi les gens s’en foutent de moi ? »
Astuce n°10 : balancer vos opinions
Ne dites pas : « Alors… ce n’est pas une vidéo politique, je ne suis pas là pour soutenir Mélenchon et en aucun cas je souhaite faire la promotion d’une quelconque idéologie. » Avec ce genre de posture, vous n’avez aucun charisme.
Dites : « Aujourd’hui, on va parler de Mélenchon (déjà parce que c’est un politicien lucide), mais aussi parce qu’il utilise sans arrêt des techniques de persuasion pour convaincre les gens. »
Astuce n°11 : montrez au lieu de dire
Ne dites pas : « À chaque fois que je rentrais chez moi, j’étais crevé. » Je ne ressens rien.
Dites : « À chaque fois que je rentrais chez moi, je marchais avec le dos courbé. Soupirant comme une vache, je traînais mon sac jusqu’au salon, et je m’affalais dans le canapé comme une larve. »
Astuce n°12 : décrivez les douleurs de vos lecteurs
Ne dites pas : « Avez-vous tel, et tel, et tel, et tel, et tel problème ? »
Dites : « Tu les vois tous les jours, je sais. Ils ont des muscles énormes, ils récupèrent toutes les bombasses de la Terre, tout le monde les respecte. Tandis que toi, t’es là, sur ton canapé, seul. Quand on te parle, on ne te prend pas au sérieux. Et quand tu abordes une fille, elle te rejette comme un poisson pourri. »
Astuce n°13 : ne soyez pas ridicule
Ne dites pas : « ⚠️ ATTENTION : cette offre tout à fait exceptionnelle ne sera plus disponible dans 3 heures. Ce n’est pas une plaisanterie : plus de 1 032 personnes y ont déjà accédé. Faites vite avant que ce ne soit trop tard. » Personne ne va y croire.
Dites : « Alors voilà, j’ai une offre qui devrait vous intéresser. Comme je souhaite avoir les plus motivés d’entre vous, j’ai décidé de limiter les places. Faites ce que vous voulez maintenant. »
Astuce n°14 : soyez hypnotique
Ne dites pas : « Il va falloir faire beaucoup d’efforts avant que vous puissiez référencer votre blog comme il le faut. »
Dites : « Oui, il faudra faire des efforts. Beaucoup d’efforts. Mais vous savez quoi ? Ce n’est pas grave. Car une fois que votre blog est bien référencé, c’est le Paradis. Tout roule tout seul. Plus d’efforts à faire de votre part. Rien. »
Astuce n°15 : faites des paragraphes courts
Pas plus de 3-4 lignes, par pitié.
Astuce n°16 : jouez sur la peur
Ne dites pas : « Je sais que c’est difficile d’être patient quand votre chien n’arrête pas d’aboyer. »
Dites : « En n’agissant pas maintenant, vous accumulerez de la colère. Et cette colère finira par exploser tôt ou tard. Et quand elle explosera ? Vous serez très violent envers votre animal, peut-être même que vous commettrez l’irréparable. C’est déjà arrivé à plusieurs personnes ! »
Astuce n°17 : sortez le débroussailleur
Une fois votre texte fini, relisez. Éliminez les redondances, les phrases à rallonge, les idées inutiles. Vos lecteurs vous en remercieront.
Astuce n°18 : parlez au lecteur comme si vous étiez devant lui
Ne dites pas : « Bonjour à tous ! Avez-vous déjà entendu parler de cette nouvelle recette de gâteau ? Je parie que non, et vous allez être (très) surpris ». Ce n’est pas assez impactant.
Dites : « Viens, écoute-moi. Faut que je te révèle cette recette de gâteau, tu vas adorer. »
Astuce n°19 : parlez un peu de vous, mais pas trop non plus
Ne dites pas : « J’aimerais vous raconter l’histoire que j’ai eue avec mon enfant. C’était hier, je m’en souviendrai toujours car j’ai failli péter un plomb. J’étais fatigué, je n’en pouvais plus. » Qu’est-ce que j’ai à gagner à lire ton article ?
Dites : « Vous voulez savoir comment j’ai fait pour calmer mon enfant en 30 secondes, alors qu’il était insupportable ? Eh bien lisez cette histoire. »
Astuce n°20 : imbiber vos textes d’émotions
Ne dites pas : « Cette stratégie d’acquisition omni-canale automatisée vous permettra de booster votre visibilité sur le web et d’acquérir un flux régulier de clients. » C’est fade comme une courgette cuite à la vapeur.
Dites : « Cela faisait 8 mois que je publiais du contenu sans résultats. Et j’étais tellement désespéré qu’en j’en pleurais tous les soirs. Mais tout a changé quand j’ai découvert cet outil d’automatisation… »
Astuce n°21 : évitez d’écrire sur un ton professoral
Je plaide coupable, de temps en temps. Mais j’essaye de me rectifier. Personne n’aime les profs barbants qui prennent les gens de haut.
Astuce n°22 : laissez l’art aux artistes
Évitez d’avoir un style d’écriture trop original. Il existe certaines techniques, certaines structures, certaines façons de rédiger qui sont les seules à fonctionner. Les artistes prennent le risque de n’intéresser personne. Les entrepreneurs doivent s’inspirer de ce qui fonctionne déjà.
Astuce n°23 : parlez comme un leader
Ne dites pas : « Maintenant, c’est à vous de jouer ! Je vous ai donné une série d’astuces pour vous aider à être meilleur en copywriting. » Mwouais, c’est peu engageant.
Dites : « Allez, allez ! Il est temps de pulvériser toute cette médiocrité ambiante ! Faites péter le feu, sortez les hauts-parleurs. Dégagez-moi tout ça ! Ensemble, on va pilonner le marché à coup d’articles explosifs. Suivez-moi ! »
Astuce n°24 : préférez la voix active
Ne dites pas : « Votre qualité de vie est affectée par votre patron. Votre santé mentale a été malmenée par toutes ces heures passées au bureau. Votre argent a été rongé par l’inflation persistante. » Pff…
Dites : « Votre patron a pourri votre vie. Le bureau a pourri votre santé mentale. L’inflation a bouffé vos économies. » C’est mieux, non ?
Astuce n°25 : faites des articles scannables
Comme je le fais là, en mettant des puces, en structurant mon propos.
Astuce n°26 : pratiquez, pratiquez, pratiquez
Consommer de la théorie, c’est bien. Mais encore faut-il savoir l’appliquer naturellement. Or, bien écrire, croyez-moi, ça demande beaucoup de pratique. Écrivez un email de 500 mots chaque jour, juste pour vous entraîner.
Astuce n°27 : faites de longs articles (2 000 mots minimum)
Ne croyez pas qu’en déféquant un article de 800 mots vous ferez de la bonne qualité. Il faut beaucoup de mots pour dépeindre la situation du lecteur, pour faire preuve de compassion, expliquer la raison de l’échec, et donner une liste d’étapes ou de conseils.
Astuce n°28 : utilisez des figures de style
Les figures de style, c’est ce qui va lubrifier vos textes. Utilisez parfois des antithèses, des gradations, des anaphores, des hypozeuxes, des oxymores… Ça va rendre vos textes différents.
Astuce n°29 : écrivez une petite histoire
Pourquoi les meilleurs films ont-ils une histoire ? Parce que les gens adorent les histoires, mais pas n’importe lesquelles. Les gens aiment les histoires dramatiques, bourrées de suspense et qui se finissent bien. Inspirez-vous des films d’action, ils ont tous les mêmes ficelles.
Astuce n°30 : utilisez la loi de Cunningham
Vous voulez un maximum de partages ? Pas compliqué : utilisez la loi de Cunningham. Cette loi dit que, si vous voulez générer des réactions, mieux vaut dire une grosse bêtise qu’une vérité. Car on est plus enclin à réagir quand on est outré ou quand on est sûr de la réponse. Ainsi, une foule de génies s’empresseront de vous rectifier dans l’espace commentaire.
Exemple : « Le réchauffement climatique n’existe pas. La preuve, on ne suffoque pas sous la chaleur. »
Bon, c’est un exemple de merde, mais vous voyez l’idée.
Astuce n°31 : mettez un peu d’émojis
Personnellement, j’ai créé un petit bloc-note avec les émojis que j’utilise couramment (👉 🙂 ✅ ➡️ ⬇️ ✔️ ❌⚠️ 🔴). Utile pour colorer et structurer votre texte.
Astuce n°32 : prenez votre temps
C’est pas tant les idées qui pompent du temps, mais la façon de les dire (et c’est sans compter la phase relecture). Si votre article a été écrit en moins de 5 heures, c’est qu’il est probablement nul. Le débat reste ouvert, vous en pensez quoi ?
Astuce n°33 : citez des exemples pour être crédible
Ne dites pas : « Cette méthode d’investissement immobilier permet de remplacer votre salaire avec un seul bien, et pas besoin d’être riche pour y arriver ! »
Dites : « Voici comment j’ai réussi à devenir libre financièrement avec une seule opération immobilière ! »
Astuce n°34 : créez de la surprise
Un bon moyen de scotcher votre lecteur jusqu’au bout ? C’est de dire que vers la fin de l’article, vous dévoilerez une pépite de connaissance. C’est comme ça qu’on transforme un article fade en de l’opium.
Astuce n°35 : mettez des images
Parce que c’est cool.
Astuce n°36 : lâchez-vous, sérieusement
Ce que vous n’osez pas écrire est le mieux. Car c’est ce qui produit une réaction, une émotion. Les gens ont besoin de ça, derrière leur ordi. Leur vie est trop monotone pour qu’on en rajoute une couche. Alors écrivez avec passion.
Il est urgent de passer à l’action
Vos concurrents sont en train de vous piétiner sans vergogne.
Et d’autres concurrents le feront à leur tour.
D’ailleurs, c’est quelque chose qui ne vous a pas passé inaperçu.
Quel est le point commun entre les entrepreneurs qui réussissent ?
Je vais vous le dire : ils impactent beaucoup de personnes.
Et pour impacter beaucoup de monde, il ne suffit pas de donner des conseils.
Il faut aussi les divertir, les motiver, les inspirer.
Il faut leur donner ce souffle de vie dont ils ont tant besoin.
Ce rayon de soleil qui ravive leur journée.
Cet électrochoc qu’il leur fera prendre conscience de leurs problèmes.
C’est comme ça qu’ils seront prêts à vous suivre et à vous donner leur argent.
Il est donc temps de changer d’écriture.
De commencer par vous mettre dans les pompes de votre lecteur.
Imaginez-le affalé sur son canapé, le soir, après une dure journée de travail. Il est fatigué, il a besoin de se divertir, de se vider le cerveau et de penser à autre chose qu’à son quotidien pourri.
Vous voyez ?
C’est en imaginant cette scène qu’on compatit…
… et qu’on en vient à la conclusion : le lecteur, je dois le réveiller !!!
Donc arrêtez de pisser de l’eau de rose à longueur de temps.
Ne soyez pas ce vieux prof qui récite son cours comme s’il avait un balais dans l’cul.
Montrez vos tripes, quand vous écrivez, les gens aiment ça.
À l’heure où tout a déjà été dit sur tout, les gens recherchent des personnalités.
Alors montrez-la, cette personnalité. La vôtre, bien sûr.
Exactement comme moi je le fais dans mes emails privés.
Oh… quelle excellente transition vers mon appel à l’action.
Car oui, j’ai quelque chose à vous proposer : c’est de rejoindre ma liste privée.
Vous avez aimé cet article ? Alors tant mieux. Vous allez aimer aussi mes emails privés.
J’y partage les tests que j’ai pu effectuer en tant que copywriter. Mais pas que. Je partage aussi mes voyages du moment, et je donne de temps en temps mon point de vue sur la situation actuelle (si vous êtes un peu trop de gauche, je risque de vous rebuter, vous êtes prévenu ^^).
Bref, si ça vous intéresse, je vous mets le lien : https://www.maxencedelabre.fr/
À bientôt,
Maxence
Source :
[1] ContactLab
[2] https://habilomedias.ca/
[3] https://www.sales-hacking.com/
[4] https://blog.youtube/press/
Vendre grâce au copywriting
Ceci est un article invité d’Eddy, du site contenuenfolie.
Je sais. Vous souffrez.
Vous avez envie de pleurer toutes les larmes de votre corps.
Vous avez mis tellement de cœur, tellement de passion. Des heures de recherche pour créer un article qui déchire.
Vous relisez. Vous demandez l’avis de vos proches. Et vous êtes prêt. Vous sautez de joie en cliquant sur « Publier ».
La bombe est lâchée.
Un article de plus sur votre blog. Vous attendez impatiemment de voir les gens se ruer dessus.
Les heures passent. Puis les jours. Et là, c’est le drame.
Votre gorge se noue. Vous avez les larmes au bord des yeux. Vos rêves de liberté s’évaporent.
Les statistiques vous pètent violemment à la gueule et vous ramènent sur terre illico presto :
3 vues 0 commentaire. 1 partage de votre chéri.
C’est comme si on éclatait vos petites bulles de joie pétillantes, une par une, sans pitié.
Votre article n’a pas provoqué l’engouement que vous souhaitiez.
Vous êtes dévasté.
Je vous promets que dans 10 minutes, vous saurez parfaitement quoi faire pour écrire des articles de blog captivant et ne plus jamais revivre ça.
Je vais vous montrer comment gagner du temps. Sans passer des heures à écrire des articles qui ont le même succès que mon grand-père sur Tinder.
Que vous soyez blogueur ou rédacteur web freelance, cet article est fait pour vous.
Ne pas être lu, c’est la pire chose que vous puissiez imaginer.
C’est comme essayer de crier avec la voix enrouée. C’est comme essayer de courir dans la neige.
Vous avez envie d’être entendu. Vous avez envie de porter votre message au monde entier.
Mais vous êtes bloqué.
Chaque article que vous écrivez vient du cœur. Ils sont travaillés et réfléchis. Je n’en doute pas une seule seconde.
Oui, mais voilà. Il vous manque un ingrédient.
Il vous manque cette petite cerise sur le gâteau qui fait toute la différence entre un article lambda et un article référence.
Cet ingrédient est aujourd’hui indispensable pour être lu et sortir la tête de l’eau.
Vous voyez de quoi je parle ? Non ? Allez un petit effort…
L’émotion.
Les gens ne prennent plus le temps de lire. Ils sont stimulés de toute part.
Ils n’hésitent pas à quitter votre page si le dernier Tweet de Nabila est plus intéressant (ce qui serait une insulte, on est d’accord).
Vous savez pourquoi ils agissent comme ça ?
Parce qu’ils en ont marre.
On les abreuve toujours des mêmes choses. La plupart des articles sont de simples listes techniques banales qu’ils lisent d’un site à l’autre.
Et c’est tout.
Certes, ces articles vont remplir leur contrat, je ne dis pas le contraire. Certains apportent même beaucoup de valeur.
Mais ils n’ont pas d’émotions.
lls sont létaux. Impersonnels. Froids comme l’acier. Et les gens ne sont pas captivés.
Retenez bien.
Pour vous démarquer aujourd’hui, vous devez hypnotiser vos lecteurs. Les prendre aux tripes. Les inspirer. Leur faire ressentir de puissantes émotions.
Pour créer cet effet, vous devez parler au lecteur en face à face, comme à un ami.
Quand vous parlez à un ami, votre relation est personnelle et naturelle.
Quand il a besoin d’aide, vous êtes empathique, vous vous investissez émotionnellement tout en apportant votre soutien.
C’est pareil pour l’écriture.
Votre écrit, quel qu’il soit, doit mélanger conseils et émotions.
L’erreur de la plupart des rédacteurs est de se concentrer sur le premier point en ignorant le deuxième.
Pour que je devienne votre plus grand fan, vous devez me faire rire, vous devez me donner envie d’agir. Vous devez me mettre face à mes erreurs, me faire culpabiliser. Vous devez m’intriguer, me tenir en haleine.
En une phrase, vous devez me donner les conseils en me faisant ressentir quelque chose.
Comme le dit si bien Maya Angelou, « Les gens oublieront ce que vous avez dit, ils oublieront ce que vous avez fait, mais n’oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir ».
Cette citation doit vous obséder quand vous écrivez.
Et vous avez de la chance.
Il existe un outil formidable pour réussir à rédiger un article qui fait vibrer vos lecteurs : le copywriting.
Pour résumer en une phrase le copywriting, c’est l’art de vendre et de persuader… avec des mots.
C’est l’art de captiver votre audience. Et contrairement aux idées reçues, vous pouvez l’appliquer même sur un article de blog.
Ne bougez pas. Vous avez une mission.
Vous allez découvrir les secrets bien gardés du copywriting. Ils vont vous permettre d’écrire des articles qui claquent et emballent vos lecteurs.
Vous allez rédiger des contenus qui prennent vos prospects aux tripes. Qui les scotchent et les droguent aux mots. Et surtout, qui leur font ressentir quelque chose.
Votre mission ? (Si vous l’acceptez) Lire cet article jusqu’au dernier mot.
Et prenez des notes. Vous allez découvrir un bon paquet de sucreries.
Etape 1 – Copywriting : tout commence avec…
Le titre.
Ecrire un super contenu, c’est bien. Être lu, c’est mieux.
C’est douloureux de passer 15h sur un article et d’être invisible parce que votre titre est nase (c’est du vécu).
Le titre, c’est quelque chose que j’ai beaucoup ignoré dans mes anciens blogs. Et c’est une grave erreur qui m’a couté cher.
Je me concentrais uniquement sur le contenu. J’appliquais le copywriting mais je n’étais pas lu comme je le voulais.
Je suis persuadé qu’en travaillant plus mes titres, j’aurai pu doubler mes taux de lectures.
Faire un bon titre, c’est tout un art. Il faut être aussi précis que la balance de la justice.
Vous pouvez vite être trop racoleur ou trop ennuyeux.
Vous voulez écrire un bon titre ?
Regardez les résultats de cette étude :

Les titres qui marchent le mieux incluent des nombres.
Logique.
Un nombre, c’est carré. Ca donne un cadre. C’est simple à comprendre. C’est un point de repère solide qui peut donner l’effet de densité.
En 2eme position arrivent les titres où vous vous adressez directement au lecteur. Puis les classiques « Comment… », les titres dits « normaux » et les questions.
C’est un bon point de départ. Mais ça ne fait pas tout. Je vais vous le prouver par l’exemple.
Tenez, regardez ces 2 titres :
« 13 façons de vaincre sa timidité ».
« 13 façons d’anéantir votre timidité avant la fin de l’année ».
Lequel vous donne le plus envie ?
99% de chances que vous répondiez le 2ème. Pourtant, les deux utilisent des nombres.
Je vous l’ai dit, vous devez mettre des émotions. Le premier titre est plat. C’est bateau.
On sent qu’on va se taper un article comme des dizaines d’autres.
Vous savez pourquoi le deuxième titre explose complètement le compteur de clics ?
- Il est orienté RESULTAT (le seul point commun avec le premier)
- Il contient un mot d’ACTION PUISSANT (« anéantir » est plus fort que « vaincre »)
- Il suscite L’EXCITATION (avant la fin de l’année ?)
Un titre comme ça génère des clics. Beaucoup de clics.
Pour savoir ce qui marche le mieux, il faut tester. Et mesurer les résultats. D’une audience à l’autre ça peut grandement varier.
On résume ce que vous devez faire pour créer un bon titre :
- Utilisez des mots d’actions puissants qui procurent des émotions
- Orientez votre titre vers le principal bénéfice, UN SEUL résultat, votre promesse principale.
- Piochez parmi les 5 types de titres les plus efficaces selon l’étude
Soyez bien attentif, ce qui arrive va vous permettre d’être lu jusqu’au dernier mot. Enfin.
Etape 2 – Rendez-les esclaves de vos mots… jusqu’au bout
C’est bien, votre titre donne envie.
Mais si votre lecteur part sur YouTube regarder un pingouin danser au bout de 10 secondes, c’est moyen.
Vous devez donc le maintenir en haleine du début à la fin.
Et je vous montre comment faire ça maintenant.
Fouettez-le dès les premières lignes
Imaginez cette intro:
« Bonjour, je m’appelle Eddy et je suis heureux de vous accueillir dans cet article. Nous allons voir ensemble comment faire une recette de gâteau au chocolat fondant. »
Quand je lis ça, je range mes somnifères. Je sais que l’article sera 10 fois plus efficace.
Maintenant, regardez celle-ci :
« Vous savez pourquoi vous foirez vos gâteaux ? Vous faites n’importe quoi, sans le savoir. Heureusement, il existe une recette universelle que vous ne pouvez pas rater. La voici. »
Là, je reste la bouche grande ouverte devant l’écran et je ne fais plus un geste.
Le plus grand secret des articles à succès, c’est leur capacité à captiver l’attention dès les premières lignes, et ne plus jamais la relâcher.
Vous devez frapper fort dès le début.
Le lecteur doit être envoûté par la douce mélodie de vos mots à l’instant où il pose les yeux sur votre contenu.
Comment capter l’attention dès l’intro ? Plusieurs techniques :
- Adressez-vous directement à lui avec empathie dès la première phrase. C’est ce que j’ai fait au début de cet article : « Je sais. Vous souffrez. »
- Montrez immédiatement le résultat qu’il va avoir en lisant votre article : « Dans 5 minutes, vous allez être un as de la rédaction web ».
- Posez une question qui concerne votre lecteur : « Vous savez pourquoi aujourd’hui votre business rapporte quedal ? »
- Intriguez-le : « Attention, cet article est brutal. Vous êtes prêt ? «
Créer une puissante introduction est fondamentale.
C’est comme au restaurant. Si l’entrée est bonne, vous êtes impatient de manger le plat principal.
Une fois votre lecteur envoûté, il suffit de continuer de jouer de la flûte tout au long de l’article pour le mener à l’action finale souhaitée (une vente, une inscription à votre mailing list, etc).
Vous vous demandez sans doute comment maintenir cette attention tout au long de l’article.
Ca tombe bien, voici la réponse.
9 hacks pour maintenir en haleine votre lecteur
- La question : Avez-vous compté le nombre de fois que je vous ai posé une question depuis le début de l’article ? En voilà déjà une. La question réveille. Vous recentrez l’attention sur le lecteur.
- La promesse : c’est exactement ce que j’ai utilisé à la fin de la partie précédente. « Ce qui arrive va enfin vous permettre d’être lu jusqu’au bout ». C’est une sorte de teasing.
- L’importance : c’est donner une valeur toute particulière à l’argument qui arrive. « Attention, ce que je vais vous annoncer maintenant est d’une importance capitale ».
- L’analyse des sentiments : vous tentez de deviner ce que ressent le lecteur à cet instant T. « Vous avez sans doute envie de partir en courant maintenant que je vous ai dit ça « .
- La dernière étape : vous indiquez au lecteur qu’il lui reste encore une dernière étape à faire. « Mais ce n’est pas tout, vous allez devoir encore faire une dernière chose… «
- La menace : vous faites peur au lecteur. Vous le menacez clairement d’une catastrophe s’il ne continue pas sa lecture. « Attention. Vous devez impérativement lire ce qui va suivre pour éviter de mettre le feu à votre gâteau »
- La confession : vous livrez une information personnelle en mettant du suspens. « Je dois vous révéler quelque chose dont j’ai honte. J’ai hésité avant de me résoudre à en parler ici… «
- La nouvelle : vous annoncez clairement un gros truc : « Grande nouvelle ! Vous pouvez désormais cuire vôtre gâteau 2 fois plus vite. Je vais vous montrer comment dans la prochaine partie ».
- L’impératif : j’en utilise beaucoup. Ce sont tous ces petits mots qui permettent de secouer le lecteur : « Regardez », « Ecoutez-bien », « Tenez, imaginez », « Réveillez-vous. Les choses ont changé ».
Voyez ces hacks comme des cartes que vous avez en main.
Vous en posez régulièrement pour que le lecteur continue la partie avec vous et reste à votre table.
Variez les plaisirs. Vous avez de quoi vous amuser.
Maintenant, restez attentif, vous arrivez au plus important.
Ces hacks ne servent à rien si vous n’appliquez pas ce que je vais vous montrer maintenant.
Etape 3 – Faire battre leur cœur à 100 à l’heure
Je suis chiant. Je sais.
Je vous saoule depuis le début de cet article. Je vous bassine avec ce foutu mot, émotion.
Et j’ai une bonne nouvelle pour vous. C’est dans cette partie que je vous dévoile ce qui se cache derrière.
En copywriting, l’émotion est la reine du monde. Qui dit émotion dit connexion.
Et la connexion avec votre lecteur permet de mettre en place l’empathie et l’enthousiasme, les deux qualités fondamentales pour créer du lien.
- L’empathie, c’est votre capacité à vous mettre à la place de votre lecteur. De comprendre ce qu’il ressent pour que votre article soit une évidence pour lui.
- L’enthousiasme, c’est votre capacité à motiver votre lecteur pour le pousser à AGIR. A la fin de votre article, sa seule envie doit être de mettre en action ce que vous lui avez appris et de faire ce que vous lui demandez (vente, inscription, etc.).
Mettez de l’empathie et de l’enthousiasme dans vos articles et vos lecteurs boiront vos paroles comme un bon coca en été.
Ce n’est pas tout.
Prêt à découvrir comment vos blogueurs préférés vous ont drogué ?
Voici les 5 émotions les plus puissantes à utiliser sans modération dans vos articles :
Le mystère
Vous êtes curieux. Je ne vous en veux pas, je le suis aussi. En fait, on l’est tous.
Regardez l’intro de mon article. Je suis sûr qu’en lisant la première ligne, vous vous demandiez où je voulais en venir.
Je parlais de quelque chose de douloureux sans en dire plus. Du coup, vous avez continué de lire pour savoir la suite.
Le mystère rend accroc. Donnez juste ce qu’il faut pour susciter la curiosité, et révélez le reste plus loin.
Vous êtes sur le point de livrer un gros conseil dans votre article ? Distillez-le, entrecoupez-le.
Pensez série. Pensez épisode. Un petit bout à la fois.
Le désir
Vous désirez quelque chose. Vous aspirez à vivre de vos contenus.
Votre audience désire elle aussi atteindre son objectif grâce à vous. Là, l’empathie est essentielle.
Vous devez réussir à comprendre ce que veut la cible de votre article pour jouer sur ses désirs.
Regardez le début de cet article. Je vous ai promis que vous ne revivrez plus le calvaire de ne pas être lu.
Je vous ai promis que vous apprendrez à écrire des contenus qui scotchent vos lecteurs.
J’ai joué sur chacun de vos désirs parce que je sais ce que vous voulez. Et vous vous sentez concerné.
Le désir est un moteur hyperpuissant qui permet à votre audience de voir votre article comme LA solution qu’ils attendaient.
La peur
La peur crée un emballement. Elle active le côté émotionnel de votre cerveau.
Imaginez-vous faire agresser dans la rue. Vous devez agir vite et suivre votre instinct sans réfléchir.
Vos choix ne sont plus guidés par la raison mais par l’émotion qui vous submerge.
Vous pouvez facilement créer la peur dans votre article en décrivant des scénarios catastrophes que vos lecteurs pourraient vivre.
Manipuler cette émotion permet de les rendre extrêmement attentifs à la solution que vous proposez par la suite.
Mettre en avant les pertes possibles est une arme qui peut flinguer la raison de vos lecteurs et les rendre accroc à vos mots.
La domination
La domination peut créer des contenus viraux qui vont faire vibrer vos lecteurs. Vous pouvez en faire un fil rouge de votre article.
Voici un exemple : « Vous avez foiré. Et c’est de votre faute. Si aujourd’hui c’est moi qui suis tranquillement assis dans mon fauteuil en train d’écrire ces lignes pendant que vous suez pour votre patron, c’est parce que j’ai fait mieux que vous. Je n’ai pas perdu mon temps avec Netflix. Je n’ai pas abandonné au premier obstacle. J’ai appliqué les bonnes stratégies. Bref, j’ai été meilleur. »
Vous avez compris que le but n’est pas de dominer pour dominer. On vient titiller notre lecteur mais on ne veut pas le mettre trop mal à l’aise non plus.
Vous devez ensuite venir atténuer votre propos.
La domination doit transmettre une leçon utile pour le lecteur.
« Comme je n’ai pas envie que vous vous tapiez un patron toute votre vie, je vais vous expliquer étape par étape comment j’ai fait pour réussir dans cet article ».
Plutôt puissant pour sortir du lot et captiver votre audience, vous ne trouvez pas ?
La colère
Une personne en colère, ça réveille.
Ça crie, ça fait du bruit. Et ça se fait remarquer.
La colère est une excellente émotion à utiliser dans vos articles pour mettre du dynamisme et titiller un peu l’égo de votre lecteur.
Attention alerte : forte potentialité virale là aussi. Vous pouvez imaginer un article coup de gueule, ou tout simplement distiller la colère avec ce genre de phrases :
« Je suis énervé. J’en ai ras le bol de vous voir ramer. Sérieusement, vous en avez pas marre de passer des heures à faire des actions qui ne vous mènent à rien ? »
Il existe bien sûr d’autres émotions à utiliser : la compassion, la joie, la tristesse, l’humour, la culpabilité…
Voici une petite liste :

Vous n’avez qu’à piocher dans le sac selon vos besoins.
Ne soyez pas radin et abusez-en.
Et maintenant, vous n’avez plus d’excuse.
Plus jamais vous écrirez un article aussi plat que le Portugal avec des phrases du genre :
« Les 5 émotions à utiliser sont : la peur, la domination, le désir, la colère, le mystère. Chacune d’entre elle vous permettra de mieux réussir vos articles… »
Un peu de punch, bordel !
Etape imprévue – Je craque…
Copywriting : 31 techniques en vrac pour écrire un article inoubliable
Un jour, j’ai découvert le business en ligne. C’était en été 2010, pour être exact.
Je me souviens, j’avais écrit ma première « page de vente » (les guillemets sont importants, par respect pour les vraies pages de vente).
J’avais aucun trafic, aucun blog, aucune identité, aucune stratégie, mais j’étais heureux.
Naïf, certes. Mais heureux.
J’ai vendu quedal. Gros choc. Les gens ne sont pas censés venir tout seul sur ma page ?
Et puis je suis passé aux blogs. J’ai compris l’importance du trafic. J’avais des visiteurs.
Youpi, je ne pouvais que vendre !
0 euro.
La claque.
C’est quoi le délire ?
C’est simple. Mes articles et mes textes de vente étaient NULS.
J’ai découvert le copywriting. J’ai lu je ne sais pas combien de ressources, de formations et d’astuces dessus.
Et j’ai créé un nouveau blog.
Résultat ?
J’ai vendu. Beaucoup. Et rapidement. C’était bluffant. Mon taux de conversion avoisinait les 30-40%.
Cette partie aurait pu être un article à elle toute seul.
Mais je veux donner. J’aime donner.
Ce que vous allez découvrir, c’est un trésor. Ce sont des pépites d’or que j’ai mis du temps à dénicher et à comprendre. Et elles m’ont rapporté beaucoup au fil du temps sur mes différentes activités.
Quand je dis au début d’un article qu’il faut sortir un carnet pour prendre des notes, ce n’est pas pour rien.
Car ces pépites dont je vous parle, je vous les sers sur un plateau. Maintenant.
- Un enfant de 10 ans doit comprendre votre article.
- Utilisez des analogies, des métaphores pour rendre votre contenu plus vivant : « Je vous sers ces pépites sur un plateau » plutôt que « Je vous livre mes techniques »
- Racontez des histoires
- Prouvez ce que vous dites. Plus vous êtes crédible, plus on vous croit (par exemple, je vous ai montré une étude sur les titres pour prouver ce que j’avançais).
- Votre lecteur veut une solution. Orientez votre article sur un RESULTAT UNIQUE (cet article a pour seul but de vous aider à rédiger des meilleurs contenus).
- Votre égo est votre pire ennemi, bannissez-le de vos articles (je parle 3 fois plus de vous que de moi)
- Aérez vos paragraphes pour éviter l’effet « pavé » qui fait tant peur
- Utilisez des mots actifs et énergiques, donnez du peps à votre article (grâce aux émotions, aux mots puissants et aux analogies)
- Finissez toujours avec un appel à l’action (vous allez voir à la fin de l’article)
- Restez simple dans votre structure
- Cassez vos phrases. Elles doivent être courtes et percutantes
- Utilisez la ponctuation
- Utilisez-le « vous » / « tu » au maximum
- Choisissez une bonne police d’écriture : simple et agréable
- Faites des paragraphes courts
- Créez un contenu de qualité exceptionnelle qui sort du lot pour vous démarquer
- Faites toujours des recherches avant d’écrire un article
- Imprégnez l’article de votre personnalité, partagez un bout de votre univers
- Supprimez la moitié de ce que vous avez écrit à la relecture
- Si vous avez une idée insolite, intégrez-là
- Parlez le langage de votre cible de la manière la plus simple possible
- Utilisez l’impératif
- Utilisez des exemples
- Utilisez des images (je vous ai mis plusieurs infographies)
- Répétez plusieurs fois la notion importante de votre article (« émotion », je pose ça là)
- Inventez des noms de formule (« La formule « ABRA » permet de… « )
- Mettez-vous implicitement en valeur dans vos articles
- Utilisez « Parce que » pour expliquer un propos
- Mettez des témoignages si vous souhaitez prouver des résultats
- Utilisez des mots courts
- Gardez toujours en tête le profil type de la cible de votre article quand vous écrivez
Vous avez maintenant de la matière pour améliorer vos articles de blogs.
C’est dense et ça demande de la pratique. Mais ça paie. Croyez-moi.
Envie d’aller plus loin ?
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Oui oui, c’est le fameux appel à l’action à mettre en fin d’article dont je vous parlais 😉
A très vite !
Eddy